- Je suis pas certaine qu'on arrivera à tout ranger... je ne sais même pas dans quel carton on a mit les sous vêtement ! M'exclamais-je, en passant une main dans mes cheveux.
Je regardais Logan qui rangeait un carton de son côté, et grimaçais.
- Tu vas rencontrer mes amis d'enfance, c'est pas rien... et je me sentirais mieux avec une culotte pour le faire. Lui dis-je en ouvrant un énième carton, contenant des tupperwares.
Un baiser plus tard, une étreinte... et j'étais prête et culottée. Je sortis en premier, laissant Logan fermer, et je montais sur ma bécane, en lui tendant un casque.
- Let's go ?
Le moteur ronfla, et en traversant St Hope, j'oubliais le bordel dans la maison, les travaux à faire dedans encore, et toutes ces petites choses déplaisantes pour me concentrer sur l'important. Nous étions là. Je garais la moto devant le bar, et retirais mon casque, en un mouvement de cheveux. J'attrapais la main de Logan, et nous entrâmes dans ce bon vieux Cosca, posant mon regard sur le dos de William.
- Hello there !
Je posais une main sur l'épaule de Will, et l'enlaçais sincèrement, trop contente d'être là et de le retrouver.
- Tu m'as manqué. Lui dis-je en me séparant de lui, le regardant en posant une main sur sa joue. Bonjour toi. Je lui adressais un sourire tendre et complice. Je te présente Logan Morris...
Je reculais d'un pas, pour que les deux hommes échangent une poignée de main ou autre, et je posais mon regard sur Arizona, avant d'aller la prendre dans mes bras, tout sourire encore.
- 13 ans et tu es toujours aussi magnifique... avoues l'eau d'ici est bien meilleure non ? Lui dis-je avec humour. Logan je te présente la femme de Will, Arizona.
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Sam 29 Jan - 19:40
William était bien dans ce bar. Il aurait presque pu dire "son" bar, ou "leur" bar, tant lui et ses vieux complices y avaient passé de temps à rire, refaire le monde, pleurer parfois! Ca y était enfin... Elle s'était décidée, cette bourrique d'Aveline, à s'installer au pays... En plus avec un pompier dans ses bagages! Ceci dit, William n'aurait pas imaginé un instant qu’elle puisse supporter un type qui ne soit pas un peu baroudeur, risque tout....Bref, un mec à sa hauteur, en somme! Un instant, il s'était arraché à sa joie presque adolescente de retrouver son amie, pour rêver un peu le long d'un cheveux D'Ari qui s'égarait dans le soleil acidulé, rasant , de cet fin d’après midi hivernale. Arizona, dont il percevait la chaleur, tant il s'était assis prés d’elle sur la banquette, semblait avoir l'esprit ailleurs, comme souvent depuis quelques semaines. la crise semblait passée pour de bon cette fois, Il avait eu si peur de la perdre,...Plus que jamais même! n et la tornade est entrée, casque au coude, flanquée d'un grand brun , du genre aventurier négligé soigné!
Elle lui avait sauté au cou, et il avait retrouvé alors toute l'insouciance de leur jeunesse commune en la serrant presque aussi fort qu’elle en retour
- Wahoo...Ca fait du bien que tu sois là j'me sens avoir encore vingt ans, là...enfin vingt ans de moins, quoi!
Une fois passé l'étreinte, il avait répondu à son bonjour, par
- beinvenue chez toi...définitivement j'espére?
William , tout à sa joie des retrouvailles, en oublia les autres convives, jusqu'à Arizona! Et ce ne fut que lorsqu’elle introduisit Logan qu'il repris pied dans le concret.Un peu gêné, craignant d'avoir déjà froissé le compagnon d'Aveline avant même de le connaitre par sa distraction, il se hata, sans doute un peu gauchement, de lui tendre la main accompagnant le geste d'un franc sourire
-Pardon ... bienvenue à toi aussi. Tu vas t'acclimater, c'est sur!
Il détailla avec ostentation l'homme, avant de se tourner ver Aveline, juste au moment ou elle présentait Arizona à Logan, ce qui eut pour effet que le trait d'humour quil voulu lancer se superposa avec les paroles d'Aveline
-Belle prise Aveline...félicitation
Il ne laissa pas beaucoup le temps à Logna de s'approcher d'Arizona. A peine son accolade achevée avec Aveline, il passa tendrement la main autour des épaules d'Arizona, réaffirmant d'instinct, sa possession -Arizona, Ari, ma femme, ma muse, mon amour....Voila
William était si fier de pouvoir se prévaloir de posséder pareille merveille, que son regard trahissait une pointe de vanité que son éthique eut désapprouvée, si il l'avait suivie. Réalisant soudain l'aspect confiscatoire et une fois encore discourtois de son geste envers logan, il relâcha sa prise pour les laisser se saluer enfin. Seconde gaffe....C'était vraiment naze de recevoir Logan ainsi. Pour ne pas commencer à ruminer et risquer de gâcher ce moment tant attendu, il décidé d'aller commander un pichet de bière, comme au bon vieux temps, à Warren, lançant à la cantonade d'un ton enjoué
-Bon j'reviens...je vais au ravitaillement...Logan, Je te confie les dames..
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Sam 29 Jan - 19:52
La jeune femme devant le miroir se regardait avec un petit sourire ! Elle enfila une robe noire pour être présentable et laissa ses longues jambes nues, enfilant des petites chaussures à talons. Elle se maquilla légèrement, les bleus au cou commençait doucement a disparaître. Elle mit quand même du fond de teint, pour cacher un peu plus et poussa un long soupir. Elle appréhendait cette soirée plus qu'autre chose. Comment allait-il se comporter et surtout comment la blonde allait faire pour cacher qu'elle était si malheureuse ? Elle attrapa sa veste et embrassa son mari pour se rendre au restaurant. Elle était assise sur la banquette, le regard ailleurs, elle se demandait comment faire ! Elle poussa un discret soupire et la douce voit d'Aveline la sortie de ses pensées, elle se redressa et regarda son mari la serrer dans ses bras. Il avait l'air tellement heureux. Elle la serra fort dans ses bras "Arrête j'ai l'impression de ressembler à un zombie, toi par contre tu es toujours la même !"; Dit-elle en rigolant doucement, elle se sentait pourtant à l'écart de leurs retrouvailles avant qu'Aveline la présente à son compagnon! Avant qu'elle ne puisse dire quelque chose, son mari mit son bras autour de ses épaules! Elle sentit tout son corps se raidir, il jouait à quoi exactement ? Elle le regarda dans les yeux , doucement elle sentit son bras redescendre, elle s'approcha de Logan pour lui faire la bise "Bienvenue au pays". Elle proposa aux autres de s'assoir le temps que Wiliam revienne "Comment c'est passé votre aménagement ? Vous allez voir la ville est vraiment géniale" Dit-elle sans vraiment pourtant y croire elle même.
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Dim 30 Jan - 19:10
Aaaaah les joies des déménagements.... Franchement, quand je vois les tas de cartons dans les pièces, je comprend pourquoi j'en ai pas fais souvent... C'est comme une impression de guerre mondiale mais on est plutôt du genre spectateur, à subir les assauts des deux côtés. Je passe une main dans mes cheveux alors que je pousse un soupir, bruyant, tandis que je suis à la recherche d'un tee-shirt pour ce soir. Je grimace, plisse les yeux, fronce les sourcils et essaye tant bien que mal de me souvenir de la forme du carton et de sa couleur... Heureusement, je n'ai pas à chercher bien longtemps et je ne peux pas m'empêcher de m'esclaffer de bonheur alors que je tiens le précieux sésame dans les mains.
Par contre, ce n'est pas la même chose pour Aveline. Elle a l'air complètement flippée et comme elle ne trouve pas ses sous-vêtements, son stress monte d'un cran.... Alors forcément, quand elle me dit que pour la soirée, vaut mieux qu'elle soit culottée, je lui adresse un petit sourire en coin, amusé.
- Oh tu sais, ça me pose pas de soucis que tu n'en mettes pas hein...
Mais malheureusement, elle finit par mettre la main sur ce qu'elle cherche et je pousse un soupir bien senti, sourire aux lèvres.
Une fois prêts, il est temps de quitter la maison et après une dernière caresse à Orion, on quitte la maison. Je ferme la porte à clef, m'avance dans la petite allée et prend le casque que Aveline me tend avant de grimper derrière elle. Les mains posées sur sa taille, je regarde le paysage et les différents bâtiments qui défilent autour de nous. Nouvelle ville, nouvel endroit, nouveau départ et nouvelle vie... Fini le Capitaine des pompiers de New York, bonjour Logan le mécanicien... En effet, ce matin, j'avais trouvé un boulot dans un petit garage... Ce n'était peut-être pas le métier de mes rêves mais quand on fait le choix de quitter un endroit, autant en profiter pour apprendre à faire autre chose... et puis j'ai comme l'impression que ce nouveau départ va nous apporter que de belles choses.
Au bout de quelques minutes, on arrive enfin au lieu de rendez-vous. Je suis Aveline, casque en main, à l'intérieur du bar, alors qu'elle s'avance vers un homme et une femme, assis de dos. Sourire aux lèvres, je les regarde se saluer, attendant qu'elle fasse les présentations pour m'avancer. Je tend la main au type, William si j'ai bien suivi et lui adresse un signe de tête.
- Merci ! Ouais, ça a l'air sympa ici !
Puis je me tourne vers la femme de William à qui je fais la bise avant que son mari ne vienne passer sa main autour de ses épaules. Je fronce rapidement les sourcils mais ne dis rien et me tourne vers Aveline à qui j'adresse un immense sourire. William nous fait savoir qu'il va nous chercher de quoi boire, me laissant ici avec les filles. Du regard, je nous trouve une table et la montre aux filles.
- Allons nous assoir, on sera plus à l'aise...
Une fois installés, je me tourne vers Arizona et lui adresse un sourire.
- Longtemps que vous vous connaissez toutes les deux ?
Aveline est au courant, ce soir, je vais en profiter pour en savoir un peu plus sur elle et sur les petits secrets inavoués de sa vie d'avant qu'elle aurait pu me cacher.
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Dim 30 Jan - 19:18
- Arf les cartons... y'a des cartons de partout ! Et puis y'a des travaux à faire, m'enfin on y est... et Logan a trouvé un travail, c'est le premier de nous deux à trouver...
Je passe une main sur mon front, en soulevant ma pseudo frange. J'hoche la tête, et suis Logan et Arizona vers une table plus grande, et je pose mon casque sous la table, posant mes fesses en face d'Ari. Logan ouvre les hostilités.
- Hey là... tu commences l'interrogatoire, je vois le genre... Ari et moi on se connait depuis quoi ? 10 - 12 ans... ça fait combien de temps que Will et toi, êtes ensemble déjà ?
Je fronce les sourcils, cherchant dans mes souvenirs. ça doit faire ça oui, j'ai rencontré Will peut être 4 jours après qu'ils ne soient ensemble. Quelque chose dans ce goût là. D'ailleurs le principal intéressé revient et nous tends des verres.
- Ah... Will, t'as rien manqué, Logan commence à cuisiner Ari, et tu ne vas pas faire exception je le crains. j'ai beau lui dire que je suis un livre ouvert, et que je n'ai aucun secret...
Je tourne le visage souriant vers Logan, et le pousse délicatement de l'épaule.
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Dim 30 Jan - 19:52
L'aller retour jusqu'au comptoir avait permis à William de se ressaisir un brin. C'est fou comme la proximité entre un homme même innocente et Ari pouvait rapidement déclencher ses réflexes de possessivité maladive. L’émotion joyeuse provoquée par le retour de sa vielle copine( oui il fallait accepter, ils vieillissaient, tous) avait fissuré la gangue de protection rationnelle qui entourait le kyste vénéneux que représentait sa névrose dans son mental. A nouveau prêt pour contenir ses démons intérieurs, comme il s'astreignait à le faire autant que possible, surtout en public, il revenait avec un verre de vin blanc et un pichet de biére à la main. Bifurquant vers la nouvelle table, il déposa le verre de son épouse devant elle et le broc au centre du cercle qu'ils avaient reformé. Les chaises le mettaient un peu à distance de son adorée, et il le regrettait un peu.
_comment ça? Logan cuisine? Mais c'est du pur bonheur un homme qui cuisine!
Il jeta un regard en coin à Ari, cherchant une approbation complice de sa part qui tardait un peu à venir, selon l'estime qu'il portait aux menus diététiques qu'il s'évertuait à préparer avec amour à son inspiratrice afin de préserver sa santé, son bien être et la perfection du galbe de son corps. Elle était distraite, Ari, elle n'avait pas suivi, sans doute...
- n'est ce pas chérie?, ajouta-il pour appuyer son infructueuse œillade, et, craignant que même ses mots restent vains, afin de ne pas rester sur un four, il tenta un trait d'esprit auprès de Logan, espérant aussi un peu rattraper la maladresse de l'accueil qu'il lui avait fait
-Logan, vous...enfin tu... on va se tutoyer, on est pas encore de vieux, pas vrais? ... Ne pouvais pas choisir meilleure chaire en tout cas
Ce type avait un regard franc. celui d'un homme droit dans ses bottes, ce qui pour William était une qualité. s'écartant de la table, il ajouta
-Comme je me débrouille mal avec un plateau, je retourne chercher les choppes...Logan, si tu préfères autre chose qu'une bière, c'est le moment de le dire... Pour Aveline, je crois que la question ne se pose même pas!
Ils en avaient tant bus ensembles, dans ce bistro, durant les sympathiques soirées d'été
La jeune femme était contente de sortir de son enfer, au moins dans un restaurant il savait se tenir un minimum. Elle était contente de voir Aveline revenir ici, cela lui faisait du bien de voir des tête connues. Son homme avait l'air très sérieux, elle reposa son regard sur Aveline "Si tu as besoin d'aide pour nettoyer, je pourrais t'aider ! En ce moment j'ai un peu de boulot, mais je peux fermer la boutique pour toi". Oui après tout, elle était sa propre patronne, elle pourrait fermer quelques heures pour aider son amie. Puis passer du temps avec elle n'était que du bonus. Son mari partie chercher de quoi boire, elle commanda pour elle un verre de vin, même si elle savait que son mari allait lui prendre cela.
Prenant place, elle rigola doucement à la question du jeune homme et laissa Aveline répondre avant de sourire "Je suis avec Wiliam depuis maintenant bientôt 13 ans". 13 ans de malheurs, mais elle ne rajouta rien et tourna la tête vers un couple qui s'embrassait et s'aimer sans entendre son mari lui parler. Elle se tourna doucement vers lui les yeux ailleurs "Oui oui totalement". Elle ne savait pas de quoi les trois parlaient, mais elle souria avant de regarder la choppe et son verre en remerciant d'un grand sourire son mari et posa son regard sur les deux amoureux "et vous ? vous êtes ensemble depuis quand ? Et votre rencontre alors ?". Elle aurait préférée être comme eux, tout frais dans leurs amour
Assis prés de Aveline et face à Arizona, je fais un signe à William lorsqu'il me fait savoir que si je veux autre chose qu'une bière, pas de soucis.
- Une bière, ça sera parfait !
Je lui adresse un sourire avant de reporter mon attention sur les filles. Aveline me donne un petit coup d'épaule, je lui adresse un clin d'oeil et un sourire avant de poser mon regard sur Arizona qui me raconte depuis quand elles se connaissent toutes les deux. Je laisse échapper un sifflement lorsqu'elle me fait savoir que cela fait 13 ans maintenant qu'elle est avec William.
- 13 ans... Wow. Impressionnant !
Mais très vite, le sujet de la discussion change et c'est à Aveline et moi de répondre aux questions. J'affiche un nouveau sourire lorsque Arizona me demande comment on s'est rencontré Aveline et moi. Je commence à répondre, après un rapide coup d'oeil vers ma jolie blonde.
- On bossait ensemble à New York. Même caserne de pompiers.
Je m'arrête là, préférant laisser Aveline continuer. Après tout, je ne sais pas si elle veut encore parler de tout ce qu'elle a vécu à New York alors autant la laisser faire et dire ce qu'elle a envie de dire. Alors que je me met à observer les alentours, la décoration du bar et de l'endroit, un sourire se dessine sur mon visage tandis que notre chanson est jouée dans les enceintes de la salle. Par pur réflexe, je viens poser ma main sur celle d'Aveline, la serrant doucement...
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Mer 2 Fév - 15:57
- Ouais 13 ans, c'est dingue... vous avez grandis ensemble. Moi je suis admirative, je connais peu de couple qui tienne aussi longtemps ! Je pose une main amicale sur celle d'Arizona, en lui adressant un grand sourire sincère. Vous faites figure de modèle...imagine la pression.
Je ris, en retirant ma main alors que Will revenait avec les chopes. Oui il avait raison, la bière ne se discutait pas.
- Dis moi Willou, tu n'aurais pas envie de nous faire un tableau... j'aimerais bien t'accrocher dans notre maison. Lui dis-je en haussant les épaules, pour savoir s'il accepterait, alors qu'il avait déjà dit oui, sans jamais rien me léguer comme œuvre.
Je servis les chopes de bière, avant que nous trinquions tous, en faisant tinter nos verres les uns aux autres. J'entendais la musique qui passait, et je souris en coin en coulant un regard complice à Logan.
- Et Tyler, j'ai pas réussit à l'avoir au téléphone... il vient pas ce soir ?
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Jeu 3 Fév - 10:50
Les problèmes de logistique étant enfin résolu, chacun ayant un verre, William pu enfin s'asseoir parmi eux. Il commença par servi aveline.
- Comme au bon vieux temps, tu vois... Tyler? Ho tu sais comme il est à cette période! Sa mére...comme toujours, depuis 25 ans. Il n'arrive pas à faire son deuil, alors, pas sur qu'il passe, tu vois... Il ne t'appelle Jamais?
Tout en parlant William poursuivait sa tournée.
- Excellent choix, la Bière , Logan. L'uniforme aussi. Un vrai piège à filles!
En continuant de verser, il avait détourné son attention , afin de chercher un signe de désapprobation de la part d'Ari... Qu'il ne décela pas.
- meeerdee!
Le verre de Logan, débordant de mousse, laissait échapper son trop plein sur la table, et le filet de bière gaspillé menaçait de finir son cours sur les genoux, parfaitement joints, D'Ari! Voila ce qui arrivait quand on se déconcentrait!
- Quelqu'un a un truc...un kleenex, n'importe quoi pour éponger?
Tout en tentant d'endiguer l'inondation, il poursuivit la conversation
- 'Sur Aveline que je te peins...enfin , vous peins, un truc quand tu veux... Logan, c'est quoi tes goûts en terme de barbouille?
Ben que jouissant d'une certaine célébrité, William aimait rester modeste quand il parlait de son travail. Oui au fond, c'était un travail, rien de plus. Plaisant, bien sur, parce qu'il avait le loisir de ne se préoccuper que de choses qui l'intéressaient lorsqu'il l'exécutait, mais ni plus ni moins noble que toute autre activité.
- Aveline, j'ai pas entendu...Ca fait combien de temps vous deux?
Il réalisa alors qu'il ne s'adressait qu'à eux deux, comme si Ari, par son apparente indifférence à ses propos, avait commencé d’elle même à se gommer de son environnement.
Beaucoup par envie car tout en elle l'émouvait à chaque instant, un peu pour s'assurer de sa présence, il caressa doucement la tempe de sa femme pour en chasser une mèche folle, avant de proposer un toast. - Chérie, à la santé des amoureux?
Un sourire se dessina sur son visage quand Logan fut impressioné. C'est vrai que souvent les gens avaient du mal à comprendre comment cela était possible. Surtout quand elle disait qu'aucun des deux n'avaient trompé l'autre, enfin cela était avant. Elle avait encore le goût des lèvres du jeune James. Effaçant ses pensées pour le moment, elle regarda Logan "Oui je sais pas comment je fais pour le supporter" dit-elle tout en rigolant, pourtant elle se posait vraiment la question, elle sentie la main d'Aveline sur la sienne et rigola "Vivement que la pression un jour aille sur vous ". Elle lui fit un clin d'oeil et regarda son mari revenir "Ne surtout pas lui dire que vous êtes impressionnés sinon monsieur va m'en parler durant des jours". rigolant de plus belle, elle l'écouta parler de Tyler, elle l'aimait bien ce type et puis il était proche de Wiliam, tout en étant proche de la jeune femme. Il lui arrivait à la blonde d'envoyer des messages à Tyler pour prendre de ses nouvelles et lui proposait de passer à la boutique pour un café.
Elle était d'accord avec lui, Jordan était canon dans son uniforme, elle était pourtant assez choquée de la phrase de son mari. Mais, aucune émotion ne traversa son visage. Elle sursauta quand son mari dit merde, sans doute trop dans ses pensées. Elle chercha dans sa poche un mouchoir pour essuyer la table et sourire à celui avec qui elle partageait sa vie. Elle essayait de suivre la conversation, de comprendre ce qu'il se passait, ce qui se jouait en son absence. Elle était présente bien sur ! Mais son esprit était ailleurs "C'est super comme rencontre ! Par contre tu prends soin d'elle sinon tu vas voir", elle laissa échapper un vrai rire, comme avant dans les premières années avec Wil "Je suis créatrice de bijou, je pourrais très bien créer une petite broche très piquante"dit-elle en roulant des yeux.
Elle regarda son mari remettre une mèche de cheveux et leva son verre pour trinquer avec les deux "A votre santé les jeunes". Elle but une gorgée de son vin, il était vraiment bon. Elle remercia de la main Warren qui était dans le coin "Vous vous êtes connu comme toi et Wil ?"
La première chose que je fais toujours lorsque je rencontre de nouvelles personnes, c'est de les observer... et inutile de préciser que depuis que j'ai posé les pieds dans ce bar, j'observe tout et tout le monde, en particulier les deux personnes avec qui on boit un coup. Oh, je n'ai rien contre eux d'eux hein, je pars du principe que si ce sont des amis d'Aveline, c'est qu'ils ne sont pas fous ou autre... Mais je ne peux pas m'empêcher de voir de quelle façon les deux tourtereaux agissent entre eux et c'est assez... déconcertant.
J'essaye de ne pas trop y penser pour ne pas gâcher la soirée et profiter et bois une longue gorgée de ma bière après que le toast ait été porté. Je les laisse discuter tous les trois, tandis que moi, mon regard se perd un peu partout, observant la décoration, les gens et tentant d'écouter des brides de conversation... Déformation professionnelle ou pas, je remarque au passage que l'endroit a une sortie de secours facile d'accès... bon plan.
Je pose ma pinte sur la table et dépose un baiser sur la joue d'Aveline avant de me tourner vers William.
- Une partie de fléchettes ça vous dit ?
Un sourire se dessine sur mon visage et je hausse les épaules avant de lui adresser un clin d'oeil puis de me lever.
- Laissons les filles discuter et faire nos éloges.
Je laisse échapper un rire puis me lève, prend mon verre et m'approche du comptoir pour récupérer deux jeux de fléchettes avant de les agiter en direction de William pour qu'il me rejoigne...
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Mar 8 Fév - 16:05
Nous voilà seules avec Arizona, et je regarde les deux hommes, se diriger vers le tableau de fléchettes.
- Si seulement il savait que nous sommes bien meilleures à ce jeu, que Will... Je me souviens d'une soirée, où il avait réussit à planter la fléchette dans le bois du mur. Prions pour qu'il n'y ait pas de blessés! Dis-je à Arizona. Bon il faut que je vienne faire un tour dans ta boutique, t'as bien une boutique en ville du coup ? J'ai pas acheté de bijoux depuis... des lustres, je crois. Dis-je en riant.
Je terminais ma pinte tranquillement, tendant la main vers le pichet, pour me resservir.
- Avec will on s'est rencontré au cinéma, j'avais la vingtaine, en vacances chez ma cousine Julia, et on a sympathisé direct. Du coup, Tyler et Will je les connais depuis de longues années, entrecoupées de mes mois à NYC. Potes de longue date, de vacances.
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Mar 8 Fév - 21:01
William saisi l'occasion offerte par Logan avec un empressement non dissimulé. Il ressentait Une gêne vis à vis d'Arizona aujourd'hui. Un malaise aussi désagréable que déstabilisant, qu'il n'avais jamais encore éprouvé une fois leurs difficultés de couple passées. Après ses égarement violent, épuisé par la tempête, il dormait profondément, et, comme si ce sommeil avait le pouvoir d'effacé les horreurs de la veille, il se levait le lendemain à nouveau plein d'entrain, d'amour et de délicatesse envers son épouse meurtrie. Son déni était si puissant qu'il avait développé une aptitude remarquable à enfouir dans son subconscient tout souvenir négatif de cette union qu'il considérait aussi vitale que l'oxygène pour sa survie. Cette faculté d'amnésie sélective radicale lui avait surement permis de supporter sans trop de dommage les chauds et froids de leurs quotidiens aussi longtemps. mais son effet pervers résidait dans le fait qu'il n'avait effectué aucune remise en question sur ses fonctionnements profonds, laissant en lui la source du mal qui tuait aussi lentement et surement les sentiments d'Arizona pour lui.
Étonnamment, pour qui fréquentait un peu les Potts, William qui couvait d'un œil alangui son épouse, qui ne manquait jamais une occasion de lui prodiguer une caresse chargée de plus d'amour et de désir que ce que sa volonté de rester décent lui commentait, qui était attentif à ses moindres respirations, son plus battement de cil, au point que parfois il fallait lui rappeler que les reste du monde existait, C'était lui, aujourd'hui qui ressentait le besoin de se détacher d’elle, comme s'il eut été victime de quelque allergie soudaine.
Avec joie, Logan... Je vais tenter de me montrer à la hauteur des espérances qu'Aveline place en mon poignet
Ce propos, ambigu, aurait pu être tout aussi mal interprété par un étranger capable de trouver normal l'enthousiasme d'un homme pour une sympathique partie de fléchette, dusse-t-il pour cela s'éloigner de quelques pas de sa compagne. William, pourtant, avait lancé cette réplique qu'il voulait légère, en toute innocence, songeant que ses mains devraient bientôt se montrer talentueuse pour la réalisation de la toile qu'il destinait au jeune et dynamique couple. Entrainé devant face au panneau en liège, il espérait faire mieux que lors des précédents tournois. William n'était objectivement pas très bon à ce jeu. mais tout, même un cuisant ridicule lui semblait préférable à rester à table. Fermant une paupière, sans pour autant parvenir à totalement trouver la concentration requise pour au moins jouer sans danger pour autrui, il poursuivit l'amorce de discussion avec Logan. Pas simple, avec les interruptions...Interruptions de son fait, il s'en rendait compte, comme si ce sentiment nouveau d'éloignement , de façon larvé, dictait déjà la fuite à son subconscient.
Pas question de craquer pour autant. Il devait faire honneur à Logan par respect pour son amie, préserver son image pour ne pas faire honte à sa femme.essayant de se reconcentrer sur leur précédente conversation, il lança:
Dis moi? la caserne locale te conviens, j’espère. Le capitaine Brooke est bourru, mais quand on le connait mieux, il est sympa. Tu l'as déjà croisé?
le jet de la fléchette qui accompagnait ses mots était tout aussi adroit pour atteindre sa cible: Plein bois!
sa légendaire précision fut salué par une ironique salve d'applaudissement par les filles.
Autant assumer jusqu'au bout la bouffonnerie. Se rengorgeant avec une exagérément feinte vanité, il dissimula cette maladresse sosu la comédie de la dignité offusquée
Voyez, mesdames, comme les artistes dignes de ce nom font fi des conventions! Nous fendons la bois, Mesdames, à la fléchette et non à la hachette comme de vulgaires bucherons! Un peu d'autodérision ferait peut être du bien à son âme qui avait le fâcheux penchant à sombrer trop souvent dans le mélodrame ces derniers temps.
Mince, elle devait vraiment passer pour une femme malpolie et non aimante de son mari. Elle posa délicatement sa main sur le dos de son mari pour lui dire qui pouvait totalement aller aux fléchettes. Quand il se redressa pour y aller la jeune blonde se mit à applaudir. Elle rigola doucement, il fallait montrer que leurs couple était parfait. DOucement elle écouta la jeune femme face à elle et rigola "Oh oui, je me souviens il m'avait raconté cela quand il était rentré. Attention à Logan surtout, il pourrait le viser sans même le faire exprès". Portant le verre à sa bouche , la jeune femme hôcha la tête en terminant sa gorgée "Oui , tu es la bienvenue quand tu veux ! Si aucun bijoux ne te plait, je pourrais t'en créer un .". Bien sur, elle lui ferait un prix d'amis, Aveline le méritait largement.
Elle tourna sa tête vers son mari, en essayant de suivre ce qu'il faisait et rigola à sa phrase et se mit à applaudir plus fort que tout à l'heure avant de reposer son regard sur Aveline "Oh c'est génial de garder contact ainsi ! Tyler, dommage qu'il ne soit pas là d'ailleurs". Elle fit un petit sourire avant de finir son verre de vin et de faire signe au serveur d'en reprendre un "Ca va pour le boulot ? tu fais équipe avec qui ? Il est sympa ?". La jeune femme voulait juste savoir si cela se passait bien, elle savait comment cela pouvait être dur de refaire sa vie et de ne connaître personne ou presque.
- Je veux bien oui, et encore je ne sais pas ce que je supporte le plus... les colliers sans doute, ou peut être... j'aimerais tester cet été, une chaine de cheville, à toi de me dire, j'accepte de te laisser la main sur ta discipline... regardes je porte même pas de bagues c'est dire ! Je ris nerveusement, avant Logan, je n'avais même pas de lingerie fantaisie ou sexy, avant Logan, le jean et les boots c'était ma tenue par excellence... avant lui, je ne me maquillais pas non plus. Mais j'aime son regard sur moi, quand je fais un trait d'eye liner, ou que je mets du gloss, des petites choses qui font la différence et qui font pétiller ses yeux de renard malin.
Le coup de William, nous fait nous lever, et applaudir de manière forte, en nous moquant gentiment, j'éclate de rire, et les regarde... mon ami et mon homme, Ari ici avec moi, et je suis la plus heureuse du monde en fait. On se rassoit, pour laisser les hommes jouer, et je tourne le visage vers Ari.
- Ils m'ont mise avec un cheval... dis-je en faisant de gros yeux et une petite grimace. Non pas que mon partenaire soit un cheval, quoique si en un sens... Le chef m'a mise avec Jordan, le genre mec trop beau pour être vrai ! Cowboy du montana, fan des chicago bulls... Il est sympa, mais j'ai encore un peu de mal à appréhender le cheval quand même. Quand je parlais de devenir flic, je pensais pas à devenir flic dans la police montée. Lui dis-je en racontant mes dernières 24h pour ainsi dire.
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Julia Solis
Crédits : Cynlis- Mcc- LadyDark- Blondie- Niagara- Tag On me surnomme : Tes proches te surnomme Jul'J'ai : Tu es née le 11 septembre 1987, une date qui restera marquée dans les anales non pas suite à ta naissance, mais à cause de la tragédie qui a frappé ton pays en 2001. C’est lors de ta onzième année que ton jour préféré s'est transformé en cauchemar, tu te souviens encore de l’horreur qui s’y est déroulée, tu étais sur place. Aujourd’hui, tu n’as pas oublié cette journée et tu n’as plus de goût a fêté les années qui passent et qui marque futilement, doucement ton enveloppe corporelle. Je vis : Zura Résidence Hall - Appartement 25. Je suis attiré par : Le temps passe trop vite pour ne pas avoir expérimenté les plaisirs de la chair qu’il soit masculin comme féminin. Tu as apprécié la découverte, mais tu gardes une préférence particulière pour la gent masculine. Tu as des humeurs aussi vacillantes qu’elles puissent être, tu enchaines les expériences qui s’offrent à toi en ne cherchant pas autre chose, le célibat te sied et tu le suis tel un compagnon de voyage sur lequel compter. et je suis : Harponnée à l’âme de Warren, sans limites ni condition. Ivre et apeurée de cette cascade de sentiments chaque jour plus grand. dans la vie mon travail est : D’après les souvenirs de tes proches, tu n’as jamais été comme toutes ces petites filles qui aspiraient à devenir chanteuses, danseuses ou tout autre rêve enfantin, toi tu n’as jamais fait part de tes envies d’avenir. Ta révélation t'a frappé le jour de tes onze ans lorsque ton pays s’est écroulé pour baigner dans l'effroi et la souffrance. Onze ans tu avais quand tu as affirmé à ta famille qu’un jour tu serais infirmière urgentiste pour soigner ce monde qui persévère à se faire tant de mal. Femme de parole, tu n’es jamais revenue sur ton choix, tu es donc infirmière aux urgences St Hope Memorial Hospital depuis maintenant treize ans. on me confond souvent avec : La magnifique Eiza Gonzalezma double personnalité est : Anna AzarovRien de plus beau que deux âmes en peine qui se fascine, s'attire. Vos Rps : File d'attente
J'ai encore une petite place pour qui voudra.
Rp terminés Warren n°1 j'ai en tout : 975messages postés et je suis ici depuis : 01/01/2022
Dim 13 Fév - 22:10
Je m'inscrute, j'espère ne pas me trompé dans ce que j'ai écrit
Il y a des jours où on ne fait pas toujours ce qu’on souhaite malgré qu’on essaie de faire au mieux et aujourd’hui c’est l’un de ces jours pour toi Julia puisque tu as passer la journée à courir de droite à gauche et tu n’aimes pas cela d’ailleurs qui aiment être dépassés les évènements ? Absolument personne, tu en es certaine ! Quoi qu’il en soit ta journée à commencer ce matin à 9h30 et depuis tu n’as pas eu un seul moment de répit, entre la paperasse, ta voiture, les courses et toutes les corvées de la vie en général tu as passer ton jour de repos à galoper, sillonner la ville. Et ce n’est pas encore fini malgré que la nuit soit maintenant tombée, il te reste encore deux petites choses à faire et tu es en route pour faire la plus simple des deux. Un passage rapide, éclair, flash dans un bar pour apporter à ta cousine le numéro d’Ellie qui est décoratrice d’intérieur, il est vrai que tu aurais pu attendre demain pour lui apporter ce morceau de papier ou se trouve le numéro griffonné, mais tu n’es pas du genre à remettre au lendemain d’autant plus que le temps sera lui aussi limité demain puisque tu travailles d’après-midi et le soir ? Tu comptes bien retrouver Warren… Tu pousses la porte du bar, tu fais quelques pas en cherchant du regard la chevelure dorée, la silhouette parfaitement courbée de ta cousine, tu ne l’as voit pas directement par contre Julia, tu vois parfaitement les regards des chiens baveux sur ta personne… Bon sang ce genre de regard a le don de t’agacer.
Tu fais encore quelques pas avant de la voir assise à une table qui semble bien entourée, tu t’approches en souriant malgré tout contente de la voir malgré cette journée de folie que tu viens de passer. Arrivant à la table, tu prends la parole << Avy’ ! Je suis à la bourre, je passe rapidement juste pour te donner le numéro dont je t’ai parlé pour la décoratrice d’intérieur, elle attend de tes nouvelles >> dis-tu en souriant tendant le morceau de papier, tu reprends un peu ton souffle puisque tu es essoufflée pourquoi ? Voilà, une bonne question.
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Jeu 17 Fév - 18:06
Je lance la première fléchette, ouvrant ainsi les hostilités. En pleine concentration, sans quitter la cible des yeux, je lance et paf, le drame. La flèche vient se planter dans le cercle extérieur et je pousse un grognement avant de me tourner vers William, en haussant les épaules.
- C'était le tour de chauffe, c'est normal.
Je lui adresse un clin d'oeil, m'adosse au comptoir et lui fais signe de prendre place pour s'installer. Il ne tarde pas et tout en lançant la flèche, il me demande ce que je pense de la caserne de la ville. Là encore, je hausse les épaules et croise les bras sur mon torse avant d'esquisser un sourire en coin.
- Je n'ai aucune idée de qui est le Capitaine Brooke. Pour tout t'avouer, nouvelle ville, nouvelle vie et nouveau métier... Je marque une pause et finis mon verre avant de reprendre. - Je vais essayer de trouver une place de mécanicien là où on voudra bien de moi.
Les filles applaudissent, je souris et donne une tape sur l'épaule de William qui, à l'évidence, est aussi nul que moi.
- Prochaine fois que je te propose une partie, assomme moi.
Je laisse échapper un rire avant de reprendre place pour lancer une nouvelle fléchette qui, cette fois,
- La fine équipe...
Mais cette fois, la flèche tape dans le mille et je ne peux retenir un cri de victoire, deux bras en l'air, sautillant comme un môme alors qu'une femme s'approche de la table occupée par les filles. Je fronce les sourcils avant de reconnaître la cousine de Aveline. Je la salue d'un signe de la main et me tourne vers William.
La jeune femme écouta attentivement la jeune Aveline et fit un grand sourire "Les chaînes de cheville c'est très sympa et si tu pas l'habitude de porter des bijoux c'est assez léger. Je pourrais te faire un croquis et tu me diras ce que tu en penses" . Quand Arizona parlait de bijoux, ses yeux se remplissaient d'étoiles. Elle avait trouvé sa voie, cette voie si parfaite. Dans son atelier c'était une autre femme. Prenant son verre, elle manqua de s’étouffer en entendant le prénom de Jordan. Elle attrapa une serviette pour s'essuyer la bouche avant de faire un sourire et de regarder la jeune femme. Merde le monde était vraiment petit. Il fallait qu'elle parle à Jordan rapidement pour lui dire qu'Aveline connaissait son mari et qu'il ne fallait faire aucune gaffe et surtout ne pas lu parler de William. "Désolé, j'ai cru voir quelqu'un que je connaissais dans le bar ! J'espère que cela se passe bien et que ce homme est gentil avec toi !. Le mensonge n'était pas vraiment son fort à la blonde, sauf quand il s'agissait de son propre couple. Elle fit un grand sourire, elle décrivait parfaitement le Jordan qu'elle connaissait, c'est vrai qu'il était presque irréel. En pensant à lui son coeur se réchauffa et un vrai sourire s'afficha sur son visage."J'ai hâte de te voir à cheval" Dit la jeune blonde en rigolant avant d'être interrompue par une jeune femme qui avait l'air de connaître Aveline. Arizona la regarda avec un grand sourire avant de reposer son regard sur les deux hommes qui jouaient aux fléchettes. Elle attrapa son verre de vin pour en boire une gorgée tout en faisant un signe à son mari de la main pour l'encourager.
A priori, Logan semblait aussi habile que William. C'était peut être pas grand chose, mais cet embryon d'accord lui avait fait le plus grand bien. William , dont l'univers bien organisé, figé dans une idée de bonheur si fortement construite qu' elle semblait indestructible, et qui pourtant se fissurait de plus en plus dangereusement . Même tout le dine dont il était capable ne suffisait plus à masquer la lèpre des remparts de ses certitude. William se sentait nu, démuni, désemparé sans cette sorte de citadelle protectrice que constituait pour lui sa relation de couple. Un soulagement que cette fugace impression de complicité, même avec cet homme qu'il connaissait pourtant si peu, avec qui il essayait de faire connaissance si mal. Diplomate, Logan n'avait pas relevé son manque d'attention quand à se réorientation de carrière. Avec délicatesse, il avait redonné l'information. Mais William, lors de la redite, avait eu l’écho du souvenir de la première exposition, et se morigénait de son inadvertance. C'était mal, oui, pour Aveline, d'abord, mais aussi pour cet homme dont il exagérait la sympathie sur insistent... Et puis pour Arizona, aussi, qui de fait s'affichait avec un époux bien pue prévenant. Être exemplaire, à la hauteur de ce qui lui semblait le minimum auquel une femme sublime comme elle pouvait prétendre en matière de compagnon, William y mettait toute son énergie, spécialement en public. Il voulait qu’elle soit fière de lui, ou, du moins, lors de se moments de doute quant à sa valeur, n'aie pas honte. Logan venait de réussir un lancer parfait. L'embellie aurait été de courte durée. William était certain de ne pas parvenir à l'égaler, certain d'endosser le tôle du perdant, donc de l'indigne de sa blonde vénérée. Mais, au son de la démonstration de liesse simple de Logan, il ne pouvait reculer pour tirer à son tour. Nul temps supplémentaire pour poursuivre son introspection torturé. Appliqué, William visait de son mieux, essayant de puiser un peu de force dans les son joyeux des filles attablées tout prés. Une autre voix féminine, connue, reconnue sans hésitation possible, vint compléter le duo de son Amour et son amie. Le regard un instant distrait par des courbes qui l'avaient fait , eles aussi voyaher, jadis, et un lâcher de fléchette, distrait, qui miraculeusement fut lui aussi, parfait!
William tenta de parodier Logan dans l'expression de son triomphe. Mais il n'avait ni le naturel, ni la prestance de son modèle.
Voila de quoi nous sommes aussi capables. Dehors, ou pleine cible. C'est ça, ceux qui ne se contentent pas des médiocres demi mesures!
C'était étrange pour William, qui s'était tourné vers leurs spectatrices de voir Arizona et Julia réunies... Comme une sorte de télescopage temporel. Il était curieux de mieux entendre leur conversation
Une pause bière s'impose, non? dit- il à Logan en désignant la table qui attisait sa curiosité.
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Dim 20 Fév - 10:00
C'est Julia, qui arriva à notre niveau pour m'apostropher.
- Hey, je ne savais pas que tu passerais, tu pouvais aussi m'envoyer un texto tu sais.
Je me levais, pour la prendre dans les bras, et lui claquer une bise sur la joue.
- Arizona, je te présente ma cousine Julia, et Julia je te présente Arizona la femme de William... fis-je pour les présenter, si elles ne se connaissaient pas déjà.
Je me rassis en face d'Ari.
- Viens t'asseoir ma grande, prends un verre avec nous, les mecs sont en train de revenir.
Logan avait déjà rencontré Julia chez nous, et je pense que Will et Julia se connaissaient déjà.
- Pour en revenir à ce que l'on disait, je suis assez preneuse que tu me crée un bijou Ari, au moins que j'en ai un personnalisé... j'aime beaucoup l'idée. Julia, tu savais qu'Ari avait une boutique de bijoux dans St Hope ? Lui dis-je en me tournant vers ma cousine.
Les hommes revinrent vers nous, et je souris radieusement à Logan et William.
- Et bien, vous ne pourrez pas faire les JO des fléchettes messieurs... un billard à tenter plus tard ?
J'attirais Logan à moi, pour lui voler un baiser.
- ça me fait bien plaisir de tous vous avoir là. Manque plus que je vous présente mon partenaire de travail... Will tu le connais peut être, il s'appelle Jordan James ? je me tournais vers Julia. En tout cas, le monsieur te connait...
Je souris, taquinant ma cousine, en buvant mon verre.
Julia Solis
Crédits : Cynlis- Mcc- LadyDark- Blondie- Niagara- Tag On me surnomme : Tes proches te surnomme Jul'J'ai : Tu es née le 11 septembre 1987, une date qui restera marquée dans les anales non pas suite à ta naissance, mais à cause de la tragédie qui a frappé ton pays en 2001. C’est lors de ta onzième année que ton jour préféré s'est transformé en cauchemar, tu te souviens encore de l’horreur qui s’y est déroulée, tu étais sur place. Aujourd’hui, tu n’as pas oublié cette journée et tu n’as plus de goût a fêté les années qui passent et qui marque futilement, doucement ton enveloppe corporelle. Je vis : Zura Résidence Hall - Appartement 25. Je suis attiré par : Le temps passe trop vite pour ne pas avoir expérimenté les plaisirs de la chair qu’il soit masculin comme féminin. Tu as apprécié la découverte, mais tu gardes une préférence particulière pour la gent masculine. Tu as des humeurs aussi vacillantes qu’elles puissent être, tu enchaines les expériences qui s’offrent à toi en ne cherchant pas autre chose, le célibat te sied et tu le suis tel un compagnon de voyage sur lequel compter. et je suis : Harponnée à l’âme de Warren, sans limites ni condition. Ivre et apeurée de cette cascade de sentiments chaque jour plus grand. dans la vie mon travail est : D’après les souvenirs de tes proches, tu n’as jamais été comme toutes ces petites filles qui aspiraient à devenir chanteuses, danseuses ou tout autre rêve enfantin, toi tu n’as jamais fait part de tes envies d’avenir. Ta révélation t'a frappé le jour de tes onze ans lorsque ton pays s’est écroulé pour baigner dans l'effroi et la souffrance. Onze ans tu avais quand tu as affirmé à ta famille qu’un jour tu serais infirmière urgentiste pour soigner ce monde qui persévère à se faire tant de mal. Femme de parole, tu n’es jamais revenue sur ton choix, tu es donc infirmière aux urgences St Hope Memorial Hospital depuis maintenant treize ans. on me confond souvent avec : La magnifique Eiza Gonzalezma double personnalité est : Anna AzarovRien de plus beau que deux âmes en peine qui se fascine, s'attire. Vos Rps : File d'attente
J'ai encore une petite place pour qui voudra.
Rp terminés Warren n°1 j'ai en tout : 975messages postés et je suis ici depuis : 01/01/2022
Dim 20 Fév - 21:15
Il te semblait avoir prévenu Avy de ta venue, mais il est possible que dans ton élan fou tu y sois simplement penser sans pourtant le faire cela tu arrives parfois quand tu es débordé. Quoi qu’il en soit, tu lèves un sourcil en regardant ta cousine << tu n’as pas eu mon message ? >> aussitôt dit, voilà que tu cherches le tien en plongeant tu as main à l’intérieur de ton sac à main, tu sors l’objet de ta recherche et tu ouvres tes messages, tu roules des yeux en réalisant que tu as bien écrit le texto, mais que tu n’as pas valider l'envoi pour cause ? Tu mets un instant ta mémoire à l’épreuve et c’est l’avant d’une BMW noire qui te frappe ! Oui, tu étais en train de traverser sans prêter attention à la couleur du feu… Une belle frayeur. Regard sur ta cousine << Mmh autant pour moi, je pensais t’avoir prévenu, mais je n’ai pas validé l’envoie >> tu roules les yeux doucement en signalant un épuisement de ta personne, tu te fatigues parfois Julia. Après l'étreinte qu’elle t’offre malgré ta venu imprévue, tu lui souris posant ton regard sur la charmante blonde que tu as déjà eu l’opportunité de croiser après tout St-Hope est une petite ville et tout le monde connaît tout le monde et si tel n’est pas le cas, tout le monde à déjà vu tout le monde si bien que les nouvelles têtes ne passent pas inaperçues à leurs arrivé. Puis, tu entends le statut de la blonde et ça te revient, oui tu l’as déjà vu au bras de William…
Tu souris à Arizona tandis que tu prends place puisqu’Avy te le propose gentiment, tu sais que tu ne resteras pas bien longtemps, mais tu as bien le temps de boire un verre << je suis ravie de faire ta connaissance Arizona, nous avons déjà eu le plaisir de nous croiser plus d’une fois dans les rues de la ville et au marché me semble-t-il >> sourire sincère, aimable et amical tu tournes la tête en entendant parler des hommes évidemment ton regard se pose sur le conjoint charmant de ta cousine puis sur Will’... Ah William… ça remonte à loin, si loin que tout cela te donne l’impression que votre histoire date d’une ancienne vie et pourtant cet homme t’a fait rêver avant de te faire cauchemarder cela dit, tu n’as pas de rancœur à son égard, vous étiez jeune et pas compatible si cela arrive à tout le monde. Sourire aux lèvres, tu salues les deux hommes d’un petit signe de main, le regard peut être plus long sur William, regard plus bienveillant probablement après tout, Will, c’est Will qu’il aura toujours cette petite place dans ton cœur même si cela ne ressemble plus en rien à de l’amour, ses justes une douceur de souvenir passé, un attachement passé, une sorte de connaissance avec qui tu as été plus intime. Tu reviens sur les filles alors que tu entends qu’Ari a une bijouterie en ville, tu hoches la tête << oui, oui d’ailleurs tu as bonne réputation, je me suis toujours promis de venir voir tes merveilles et je n’ai jamais pris le temps… >> dis-tu gentiment te permettant de tutoyer la demoiselle après tout, vous êtes dans la même tranche d’âge. Avy’ parle maintenant des JO et d’un billard, oh toi tu sais déjà que tu ne seras plus présente pour la partie billard, tu as encore trop de choses à faire comme retrouver les bras de l’homme qui est enfin le tien… Avy fait part de son ressenti et tu souris avant d’écarquiller les yeux en entendant parler de Jordan, tu rougis limite de gêne et tu pousses doucement ta cousine << mais tais-toi donc… Chut… >> tu ris doucement en regardant tout le monde levant la main pour faire signe à la serveuse que tu souhaites commander << je peux savoir ce que vous, vous dites à mon sujet >> demandes-tu en plissant doucement le regard illuminé par la curiosité, Jordan ? C’est un ami, un super ami avec qui tu as déraillé une soirée, un simple plaisir partager et depuis tout est comme avant, une complicité, de rire et rien de plus !
Julia Solis
Crédits : Cynlis- Mcc- LadyDark- Blondie- Niagara- Tag On me surnomme : Tes proches te surnomme Jul'J'ai : Tu es née le 11 septembre 1987, une date qui restera marquée dans les anales non pas suite à ta naissance, mais à cause de la tragédie qui a frappé ton pays en 2001. C’est lors de ta onzième année que ton jour préféré s'est transformé en cauchemar, tu te souviens encore de l’horreur qui s’y est déroulée, tu étais sur place. Aujourd’hui, tu n’as pas oublié cette journée et tu n’as plus de goût a fêté les années qui passent et qui marque futilement, doucement ton enveloppe corporelle. Je vis : Zura Résidence Hall - Appartement 25. Je suis attiré par : Le temps passe trop vite pour ne pas avoir expérimenté les plaisirs de la chair qu’il soit masculin comme féminin. Tu as apprécié la découverte, mais tu gardes une préférence particulière pour la gent masculine. Tu as des humeurs aussi vacillantes qu’elles puissent être, tu enchaines les expériences qui s’offrent à toi en ne cherchant pas autre chose, le célibat te sied et tu le suis tel un compagnon de voyage sur lequel compter. et je suis : Harponnée à l’âme de Warren, sans limites ni condition. Ivre et apeurée de cette cascade de sentiments chaque jour plus grand. dans la vie mon travail est : D’après les souvenirs de tes proches, tu n’as jamais été comme toutes ces petites filles qui aspiraient à devenir chanteuses, danseuses ou tout autre rêve enfantin, toi tu n’as jamais fait part de tes envies d’avenir. Ta révélation t'a frappé le jour de tes onze ans lorsque ton pays s’est écroulé pour baigner dans l'effroi et la souffrance. Onze ans tu avais quand tu as affirmé à ta famille qu’un jour tu serais infirmière urgentiste pour soigner ce monde qui persévère à se faire tant de mal. Femme de parole, tu n’es jamais revenue sur ton choix, tu es donc infirmière aux urgences St Hope Memorial Hospital depuis maintenant treize ans. on me confond souvent avec : La magnifique Eiza Gonzalezma double personnalité est : Anna AzarovRien de plus beau que deux âmes en peine qui se fascine, s'attire. Vos Rps : File d'attente
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Crédits : Cynlis- Mcc- LadyDark- Blondie- Niagara- Tag On me surnomme : Tes proches te surnomme Jul'J'ai : Tu es née le 11 septembre 1987, une date qui restera marquée dans les anales non pas suite à ta naissance, mais à cause de la tragédie qui a frappé ton pays en 2001. C’est lors de ta onzième année que ton jour préféré s'est transformé en cauchemar, tu te souviens encore de l’horreur qui s’y est déroulée, tu étais sur place. Aujourd’hui, tu n’as pas oublié cette journée et tu n’as plus de goût a fêté les années qui passent et qui marque futilement, doucement ton enveloppe corporelle. Je vis : Zura Résidence Hall - Appartement 25. Je suis attiré par : Le temps passe trop vite pour ne pas avoir expérimenté les plaisirs de la chair qu’il soit masculin comme féminin. Tu as apprécié la découverte, mais tu gardes une préférence particulière pour la gent masculine. Tu as des humeurs aussi vacillantes qu’elles puissent être, tu enchaines les expériences qui s’offrent à toi en ne cherchant pas autre chose, le célibat te sied et tu le suis tel un compagnon de voyage sur lequel compter. et je suis : Harponnée à l’âme de Warren, sans limites ni condition. Ivre et apeurée de cette cascade de sentiments chaque jour plus grand. dans la vie mon travail est : D’après les souvenirs de tes proches, tu n’as jamais été comme toutes ces petites filles qui aspiraient à devenir chanteuses, danseuses ou tout autre rêve enfantin, toi tu n’as jamais fait part de tes envies d’avenir. Ta révélation t'a frappé le jour de tes onze ans lorsque ton pays s’est écroulé pour baigner dans l'effroi et la souffrance. Onze ans tu avais quand tu as affirmé à ta famille qu’un jour tu serais infirmière urgentiste pour soigner ce monde qui persévère à se faire tant de mal. Femme de parole, tu n’es jamais revenue sur ton choix, tu es donc infirmière aux urgences St Hope Memorial Hospital depuis maintenant treize ans. on me confond souvent avec : La magnifique Eiza Gonzalezma double personnalité est : Anna AzarovRien de plus beau que deux âmes en peine qui se fascine, s'attire. Vos Rps : File d'attente
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