| | Dagnýr Taygart
 | Mar 1 Fév - 18:39 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Une fois partie de cette soirée, tu as l’impression d’avoir été pris pour un con depuis le départ, tu n’as servi que de bouche trou et une fois de plus tu es relégué à ce que tu as toujours été. Tu le savais qu’elle était amoureuse de Warren, tu savais très bien que tout ça allait te mener à ta perte, tu t’es confié à elle et tu es entrain de te dire que tu n’aurais pas dû, tu aurais dû éviter de montrer ce visage là. Et dans l’équation, tu es persuadé que tu as perdu tes amis pour avoir été toi, pour une fois avoir pensé à toi. Tu roules une bonne partie de la nuit, tu t’es arrêté sur ce parking et tu as réfléchi à ce qu’il s’était passé..La nuit passe, puis la matinée, il n’est pas loin de midi quand tu vas dans ton club, tu vas dans ton bureau directement pour ne voir personne, tu n’as pas envie de voir du monde, tu as encore besoin de réfléchir, tu as besoin de comprendre, tu as besoin de faire le vide surtout. Tu n’as pas dormi, tu as un peu trop bu même…
C’est là aussi que tu te dis qu’heureusement que tu n'es pas tombé amoureux d’elle car là la chute aurait été bien plus difficile. Tu sais que tu as fait des promesses à cette femme mais aujourd’hui alors que tu es seul face à ce énième verre, tu ne sais pas si tu seras capable de les tenir, pour le moment, tu es de nouveau en pleins doutes, tu soupire alors que tu finis ton verre, ça commence réellement à te monter à la tête, tu le sens, tu le sais que tu n’es plus apte de tous tes moyens mais tu t’en fous, t’en as même oublié de prévenir Anna que tu ne serais pas à la maison. Il est tard le lendemain quand tu penses qu’il est temps pour toi de retrouver le chemin de ta maison. Tu le sais que tu ne devrais pas prendre la voiture mais une fois de plus tu n’en as rien à faire, il peut arriver n’importe quoi que tu t’en fous dans un sens, tu te dis que ça ne sera pas une grande perte pour les autres.
Tu n’arrives plus à réfléchir correctement, tu dérailles et tu ne sais par quel miracle tu arrives à trouver le chemin de la maison. A peine es-tu sorti de la voiture que ton téléphone sonne, tu regardes le numéro, tu observes et tu finis par décrocher. Tu entends l’interlocuteur, mais tu ne comprends rien à ce qu’il te dit au bout du fil, tu tentes de rentrer dans la maison mais tu as l’impression que la serrure est changée mais non tu es juste bourré Dag. Tu finis par ouvrir la porte et tu es là à essayer de comprendre qui est au bout du fil “Kyllian ? Allo Kyllian ?” Tu hurles Dagnyr, tu ne t’entends pas, mais ce n’est pas lui, tu ne reconnais pas la voix et puis tu te souviens qu’il est parti avec un homme avant que tout parte en couille lors de cette soirée. Tu soupires, tu passes une main sur ton visage alors que tu loupes la petite marche pour atteindre le salon.
“Bon c’est qui ? Vous êtes qui ?” continues-tu d’hurler, tu ne t’entends vraiment pas Et voilà que l’homme vient de te dire que ton frère a fait quelque chose mais une fois de plus tu ne comprends rien du tout, tout est flou dans ta tête, tout n’est qu’une illusion dans ton esprit mais non tout est réel, tu le sais parfaitement Dag. Tu entends ses mots que tu ne pensais pas entendre, il était dans une autre ville non loin de saint hope et l’homme te dit qu’il te rappelle après, tu ne sais pas ce qu’il s’est passé avec ton frère, tu ne sais pas mais c’est grave, tu le sens au plus profond de tes tripes. Tu raccroches et tu poses ton téléphone sur la table après avoir envoyé plusieurs sms, tu cherches à rassembler tes esprits mais tu n’y arrives pas… Tu glisses sur ta veste que tu viens de faire tomber et voilà que tu te retrouves les fesses au sol complètement déchiré par l’alcool, tu reprends ton téléphone et tu envoies des sms à Rick avant de voir que tu avais mis de la terre sur le sol !
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Anna Azarov
| Sam 5 Fév - 22:27 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu ne connais pas les amis de Dag si bien que tu n'as pas souvenir d'avoir entendu parler d'eux avant ce soir, évidemment toi tu es resté à la maison puisque tu ne fais pas partie de la bande de copains de ce que tu as pu comprendre ils sont plusieurs… c'est étrange puisque tu n'as pas souvenir d'avoir eu un jour une bande de potes à toi… mais tu supposes que quelques part dans le monde tes amis se demandent où tu es passé et pourquoi tu n'as pas donné de nouvelle de toi depuis quelques temps maintenant parce que oui Anna, tu es chez Dag depuis 1 mois maintenant ou du moins à quelques jours prêt.
Quoi qu'il en soit, tu n'as pas été conviée à cette soirée et bien que dans l'idée tu aurais apprécié sortir et rencontrer du monde histoire de voir autre chose que la maison… Hadès et le jardin, tu as simplement sourit en laissant Dag se préparer pour rejoindre ses potes.
Quand il est arrivé dans le salon et qu'il remontait la manche de sa chemise, tu as directement compris que dans cette soirée une fille devait être présente, une fille particulière… tu n'as peut être plus de souvenir, mais tu sais reconnaître un homme qui pense avoir des chances avec une femme, un homme qui se fait "beau" pour une femme… et c'est ce que Dag a fait… en s'habillant ainsi, en mettant ses cheveux en arrière et en taillant sa barbe de cette façon sans oublier son parfum… autant dire qu'il était très beau, très élégant.
"Pas tard" avait-il affirmé en quittant la maison, il t'avait dit qu'il ne rentrera pas tard… et toi ? Aussi stupide, tu as pu être tu l'as attendu en piquant du nez de temps a autre sur le canapé. Sept heure, tu n'as toujours aucune nouvelle de Dag et bien qu'une part de toi te trouve stupide de l'attendre ainsi… une autre sait qu'il doit être avec cette fille pour quil s'est fait beau… une pointe de ton coeur est touchée à cette idée peut être parce que Dag te plaît bien peut être un peu trop ..
Quoi qu'il en soit Anna, tu as commencé ta journée… tu as nettoyé, tu as rangé et tu as tourné en rond en attendant des nouvelles… des nouvelles qui ne sont finalement jamais arrivées. Tu as pris le temps de cuisiner et son assiette est toujours sur la table … Là encore tu l'as attendu jusqu'à 21h00 avant de finalement manger seule… Tu sais que tu n'est qu'une tâche sur le tableau, mais tu aurais pensé être tout de même assez importante pour qu'il te prévienne de son absence prolongée comme quoi… Les apparences sont souvent trompeuses finalement tu ferais peut être mieux de trouver un job et de quitter le domicile de Dag qui après tout a le droit de retrouver sa maison rien que pour lui.
Vers 22h, tu pars te coucher en te disant que l'attendre ne servirait à rien… tu t'endors rapidement et c'est à 23h36 que tu entends du bruit, un vrai bordel venant d'en bas. Tu sors du lit, tu descends doucement très discrètement après tout tu ne sais pas qui est là et il se pourrait qu'un cambriolage ait lieu cette idée te fait frissonner. Tu avancés encore un peu et tu entends la voix de Dag enfin elle y ressemble… mais elle est différente… tu t'avances et tu le vois titubant posant son portable sur le meuble, il recule et glisse sur sa veste et toi Anna tu restes là au bout du couloir à le regarder … il est dans un état lamentable et tu te demandes pourquoi… est ce un trait chez lui que tu n'avais pas encore remarqué est til un bon pote de la bouteille ?
Tu le vois reprendre son portable et tapoter dessus, tu t'approches doucement en le regardant << Dag… est ce que tout va bien ? >> Tu le vois bien que ça ne va pas, mais bon tu poses la question pour voir s'il est ouvert ou non à la conversation . Tu te mets à genoux au sol pour être à sa hauteur.
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Dagnýr Taygart
| Dim 6 Fév - 16:27 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu le sais, tout ça n’est qu’une illusion, tout aurait pu être différent si tu ne t’étais pas laissé aller dans cette histoire. Tu as cru l’espace d’un moment que les choses pouvaient changer mais en vrai rien ne changera et une fois de plus tu as bien été pris par un imbécile. Tu n’es plus capable de réfléchir, tu n’es plus capable de penser à ce qui est bien et ce qui n’est pas bien. Tu es là complètement bourré à tenter de comprendre ce que l’homme au bout du fil te veut, tu ne comprends pas, tu ne comprends qu’à demi mots ce qu’il te dit. Il est tard, tu as besoin de te retrouver mais pire encore tu le sais, tu as besoin d’oublier. Quand tu rentres chez toi, tu fais attention à ne pas faire trop de bruit mais tu n’y arrives pas et tu finis par te retrouver au sol, tu te rends comptes lors d’échanges de sms avec Rick que personne ne sait où est ton frère, tu sais qu’il se passe quelque chose mais tu n’arrive pas encore à comprendre quoi, tu as l’impression que ton cerveau a été mis sur off.
Et voilà que tu es là assis au sol, ton regard dans le vide avant de voir Anna, un ange descendu des cieux pour te remettre sur le droit chemin. Tu regardes Anna, tu l’observes, tu n’arrives pas à prononcer un mot sur le coup et ton regard se pose dans sien alors qu’elle se retrouve face à toi. “Rien ne va Anna, je ne sais pas… c’est… compliqué” Tu laisses ton regard dans le sien, tu vois ton téléphone s’allumer, le même numéro qu’auparavant. Ton regard se pose sur Anna, cette femme qui sait te donner le sourire depuis qu’elle vit avec toi. Tu finis par décrocher et tu mets le haut parleur, tu veux qu’elle écoute au cas où tu ne serais pas capable de le faire. “Allo ?!” Ton regard croise celui d’Anna “Pardon j’ai eu une urgence, donc je vous disais donc, Kylian Taygart est bien votre frère ?”
Tu ne comprends pas et tu sens ta main trembler, tu passes une main sur ton visage, tu essaies vraiment de rassembler tes esprits “Oui ? où est-il ?” Tu essaies de rester cohérent mais tu as du mal. Dag tout ça n’est pas bon pour toi, tu le sais, tu as peur d’entendre une chose à laquelle tu n’es pas prêt d’entendre. “Nous venons de retrouver son corps… Je suis désolé Monsieur Taygart. Votre frère s’est donné la mort” Tu lâches ton téléphone, ton regard se plante dans le regard d’Anna, tu te demandes si tu as bien entendu, “Dis moi que ce n’est pas ça… dis moi que j’ai mal entendu Anna” Tu te sens perdu, tu te sens mal et encore plus alors que tu attrapes la main d’Anna dans la tienne. Tu te sens mal, tu ne t’es jamais senti comme ça auparavant enfin si lorsque tu es tombé dans la drogue.
Aussi loin que tu te souviennes, tu as toujours pensé que tu arriverais à être fort, tu as toujours cru qu’il fallait que tu montres toujours le bon côté de toi mais là tu n’y arrives pas, tu le sais Dag et tu n’as pas envie de le cacher à Anna, tu veux qu’elle te voit sous toutes les formes, bien sûr tu le sais, tu regretteras qu’elle te voit bourrer car, celà faisait longtemps que tu ne l’avais pas été. Tu passes ta mains libre dans ta barbe, tu laisses ton regard suppliant dans celui d’Anna. “Allo… Allo.. il y a quelqu’un ? “ Ton regard se porte sur le téléphone et tu finis par laisser couler les larmes sur tes joues alors que tu viens de saisir tout ce que l’homme venait de dire “Me laisse pas toi aussi” Dis-tu à Anna alors que tu n’arrives plus à te détacher de son regard.
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Anna Azarov
| Mar 8 Fév - 22:30 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tout le monde mène sa petite vie comme il l’entend cependant bien qu’il ne te doit absolument rien Dag a toujours été très respectueux et prévenant avec toi alors ne pas le voir rentré sans avoir aucune nouvelle t’a laisser dans l’inquiétude, mais également dans une sorte d’incertitude qui pousse à imaginer des scénarios qui conduisent à la jalousie… Sensation étrange au passage… Quoi que tu es pu imaginer dans la finalité Anna ce qui se passe actuellement, l’état dans lequel tu le vois efface toute histoire, tout scénario que ton esprit à pu fabriquer, lui qui jusqu’a ce soit donnait l’impression de tout supporter sans relâche semble finalement toucher le fond, tu t’approches doucement de lui venant lui demander si tout va bien après tout, toi tu ignores ce qui se passe… Regard dans le sien, tu te positionne face à lui attendant qu’il ne te réponde et ce qu’il te dit te laisse encore plus perplexe puisque tu ne comprends toujours pas le mal qui le ronge <<je vois, j’ai tout mon temps pour comprendre cette complexité>> dis-tu doucement alors que son portable s’éclaire, il le prend et tu le vois faire ne comprenant pas pourquoi il met l’haut parleur après tout, il ne te doit rien au contraire tu es celle qui lui doit énormément d’ailleurs tu as un service à lui demander… Mais cela va attendre un peu puisqu’il n’est pas en état.
Ton regard dans le sien, tu laisses parler la personne au téléphone, tu es surprise d’entendre que Dag a un frère d’ailleurs ta surprise est lisible sur ton visage… Tu sais que tu ne le connais pas bien, mais tu pensais au moins savoir ce genre de chose comme quoi.. Tu as encore beaucoup à découvrir sur lui. Tu écoutes la conversation sans pour autant écouter parce que tu ne veux pas être plus intrusive que tu l’es déjà pourtant quand tu entends que son frère s'est donné la mort, tu te figes entière, tes paupières ne battent plus et ton souffles s’arrête un instant alors que tu peux lire la douleur prendre place que les traits de visage de Dagnyr qui semble prendre un coup assez violent.
Tu l’entends te supplier limite de lui dire que ce n’est pas ça, de lui dire qu’il a simplement mal entendu, mais tu ne peux pas, tu ne peux pas lui mentir alors tu poses ta main sur la sienne comme pour lui dire que tu es là, pour lui dire que tu comprends sa peine même si ce n’est pas réellement le cas puisque tu ne te souviens pas d’avoir un jour perdu quelqu’un. Il attrape ton autre main et il vient y glisser la sienne, tu lui serres directement la main et tu entends la personne au combiné tenté de communiquer avec quelqu’un, tu regardes Dag qui fond en larmes et sa nouvelle requête te transperce le cœur… Tu déglutis doucement en serrant sa main et tu viens à dire << Je ne vais nulle part>> tu penses ce que tu dis et non pas parce que tu as nulle part où aller parce qu’en réalité tu aurais d’autre ouverture tu le sais, mais parce que tu ne le laissera pas.
Regard dans le sien, tu te penches vers lui pour prendre le portable présent à ses côtés et tu le cales à ton oreille venant dire << Allo Madame Taygart a l’appareil (...) oui veuillez excuser mon mari, le choc à été rude (...) je vois (...) dans quel morgue est-il possible de venir voir le corps ? (...) Très bien, je vous remercie pour ses informations, nous ferons le nécessaire (...) Aurevoir. >> tout en gardant ton regard dans le sien, tu raccroches et tu poses le portable au sol venant te mettre assise à ton tour, tu te traînes un peu venant le tiré contre toi tel un enfant qu’on peu réconforté, tu passes ta main dans ses cheveux en murmurant doucement <<ça va aller… ça va aller>> étrangement Anna, ce genre de drame te semble être courant, tu as l’impression d’avoir l’habitude de côtoyer ce sentiment qu’est la tristesse, la peine, la désolation, la douleur.
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Dagnýr Taygart
| Mer 9 Fév - 20:36 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu es là assis sur le sol, tu ne comprends pas ce qu’il t’arrive ou peut-être que si, tu es là à te dire que ce n’est que le retour de bâton d’avoir voulu être toi pour une fois. Tu essaies de te reprendre mais tu n’y arrive pas, tu essaies de réfléchir, de comprendre aussi cet appel concernant ton frère. Tu te dis que tu n’aurais pas dû y aller à cette soirée, tu n’en avais pas envie mais elle t’avait fait changer d’avis, elle t’avait ouvert cette porte qui s’est vite refermée, tu as été juste pris pour un con dès le départ, tu t’es ouvert à elle et là maintenant tu te dis que tu n’aurais pas dû. Tu n’arrives vraiment pas à réfléchir car tu savais, l’alcool est vraiment un bien mauvais compagnon. Tu regardes Anna, tu ne connais pas entièrement tout d’elle mais ce que tu sais te plaît, tu as envie d’en savoir plus, tu as envie de l’aider vraiment, non pas par pitié mais parce que tu en as envie. Même si tu ne le dis pas , elle est un rayon de soleil dans ta maison depuis qu’elle est présente, tu le sais, tu apprécies vraiment de rentrer et de la retrouver chez toi, non chez vous.
Tu ne sais pas par quoi commencer mais tu te sens bien avec elle et tu sais que tu peux lui parler cependant le mieux sera quand tu auras vraiment repris tes esprits. Ton regard dans celui de la jolie russe, tu lui souris « tu es sur ? » Tu ne veux pas qu’elle se sente obligée, tu le sais Dag, elle ne te doit rien mais nier que cela te touche, serait mentir. Voilà que ton téléphone sonne, tu mets le haut-parleur, tu veux qu’elle t’aide à comprendre, qu’elle t’aide à voir ce qu’il se passe, tu réponds, ton regard reste dans celui d’Anna, tu es là à rassembler tes esprits, tu es là te concentrer sur les paroles de cet homme avant que la nouvelle tombe, il est mort, tu regardes Anna, tu lui attrapes la main, tu te demandes si tu as bien entendu, tu te demandes si ce que cet homme vient de dire, tu lui demandes de ne pas te laisser, dans ton regard tu la supplies presque de ne pas t’abandonner elle-aussi.
Tu ne peux nier que tu t’es attaché à elle, tu apprécies sa présence, elle t’apporte une chose là maintenant que tu ne pensais pas possible, un réconfort, une sensation que tout va bien se passer sans pouvoir l’expliquer. Sa main dans la tienne, tu la sens se serrer doucement. Tu ne quittes pas son regard, tu le laisses un petit moment avant de détourner celui-ci quand les larmes roulent sur tes joues. Tu l’entends répondre à l’homme mais tu as l’impression d’être ailleurs pourtant tu l’entends dire qu’elle est ta femme et sans t’en rendre compte cela te tire un sourire, mais tu n’es plus là Dag, ce que tu ressens là maintenant, c’est bien plus qu’un coup de couteau, tu ne comprend pas une secondes ce qu’il t’arrive, tu ne comprends pas pourquoi tu n’as rien vu de ce qu’il s’est passé, tu ne comprends pas pourquoi il n’a pas demandé d’aide. Enfin si, tu le sais parce que tu est dans un sens comme ça mais là aujourd’hui, tu demande à la femme qui se trouve avec toi, de ne pas te laisser, tu as besoin d’elle.
Doucement tu la sens te tirer vers elle, tu te colles à elle, ta tête vient se poser sur son épaule et les larmes roulent sans cesse sur tes joues venant tomber sur son épaule. “Pourquoi il n’a rien dit ?...” Tu viens bouger doucement et tu enfouies ton visage dans son cou comme si elle était une évidence, comme si elle était bien plus aujourd’hui. Ta main vient saisir son haut, tu le serres alors tu es littéralement entrain de craquer, cela fait longtemps que tu n’as pas craqué comme ça et dire qu’il va te falloir l’annoncer à ton père et tu ne sais absolument pas comment il va le prendre, va-t-il le comprendre surtout, là est la question. Ton corps presse celui de la jolie russe, tu es là contre elle, tu te rends compte que même si elle ne sait pas tout de toi, elle est la seule à t’avoir vu ainsi, même à la mort de ta soeur, alors que le cercueil descendait dans sa dernière demeure, tu n’as pas pleuré autant parce que tu avais assez pleuré sur son corps et que tu devais pour ta mère rester fort.
Au bout d’un moment, tu finis par lever la tête vers elle, tu plantes ton regard dans le sien et tu finis par lui sourire “Merci Anna, merci d’être là, merci de… j’ai la tête en vrac… Je comprends rien… Pardon de ne pas être rentré hier… J’aurai dû te prévenir… Pardonne moi” Tu laisses ton regard dans le sien alors que les perles salées déferlent toujours avec abondance sur tes joues. Tu n’y peux rien, tu essaies de te contrôler mais tu as du mal, tu ne sais même pas de quoi tu as besoin là maintenant à part qu’elle te garde dans ses bras.
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Anna Azarov
| Jeu 10 Fév - 22:51 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu es loin de t’imaginer que tu es un rayon de soleil dans la vie de Dagnyr, toi, tu te vois comme un boulet de service qui ne sert qu’à manger les réserves qu’il a pu faire lors de ses nombreux passages au supermarché.. .Évidemment, tu fais de ton mieux pour l’aider à la maison d’ailleurs celle-ci est impeccable, tu es une véritable fée du logis, tu t’occupes également du jardin d’ailleurs tu aimes avoir les mains dans la terre aussi fou cela puisse être, tu aimes planté pour être ensuite surprise de la merveille que la nature laissera pousser parce que oui Anna, tu penses que tout est différent même si vient à planter deux roses, elles seront différentes, elles ne pousseront pas de la même manière, elles ne feront pas les mêmes bourgeons, tout comme les femmes chaque plant est différent, chaque rose fleurit différemment. Tu fais tout ce que tu peux pour te rendre utile, tu sais tout ce que tu peux pour ne pas être la femme qui le dérange dans son intimité pourtant tu le sais, le temps où tu prends ton envol arrive petit à petit parce que ta mémoire ne semble pas vouloir te revenir, mais également parce que tu ne peux pas rester ici à le déranger éternellement d’ailleurs Hadès cet homme qui semble te connaître et qui t’aide pas mal sur certaine chose ta proposer d’aller chez lui, il t’a proposé un emploi, tu as des options, mais pour le moment tu n’en as choisit aucune… Pourquoi ? Peut-être parce que tu te sens bien ici… L’état de Dag est nouveau, tu ne l’as jamais vu ainsi, tu t’inquiètes pour lui et tu lui demandes si tout va bien sa réponse te pousse à lui dire que tu as tout ton temps pour comprendre les choses histoire qu’il s’ouvre un peu à toi, histoire que tu puisses comprendre ce qui se trame dans sa tête et ce qui le pousse à se mettre dans un état pareil… Tu es sur le point de lui demander s’il s’est fait surprendre par le mari d’une femme infidèle ? Mais tu n’as pas le temps puisque le portable de celui-ci fait son entrée… Ce qui en ressort n’est rien de bon pourtant Anna tu as la sensation de connaître ce genre de situation pourquoi ? Tu n’en as pas la moindre idée, mais en réalité il s’agit simplement d’un fait de ta vie passée puisqu’autre fois tu voyais les filles passer, tu les voyais ne jamais se relever alors que toi, toi tu t’es toujours relevé…
Il souffre, tu le vois, tu le ressens si bien que ça vient à te faire mal également… Pourtant tu ne connais pas cet homme, tu ne savais même pas qu’un homme était le frère de Dag et pourtant, pourtant on en est là. Main dans la sienne, tu l’as serré doucement pour lui faire comprendre que tu es là. Tu le regardes droit dans les yeux un instant avant de prendre le téléphone et venir prendre la parole afin d’avoir toutes les informations que tu te fais passer pour la femme de dag, pourquoi ? Franchement, tu n’en sais rien, ton instinct a simplement pris le dessus. Tu finis par raccrocher et tirer Dag contre toi, il se colle à toi posant sa tête sur ton épaule, il pleure, tu le laisses pleurer, tu ne sais pas quoi lui dire, mais tu es là… Tu lui caresses doucement les cheveux en lui disant que tout va bien aller, mais tu le sais tout comme lui c’est une phase sombre qui l’attend.. Un deuil… Sa question… Tu ne sais pas quoi lui répondre, d’une tu ne comprends pas les personnes qui se retire eux-mêmes la vie, tu trouves cela lâche et cela tu le foie à la combattante que tu es sans même le savoir, mais tu ne sais pas quoi lui dire parce que tu ne connaissais pas cet homme… Alors, tu te tais, tu le laisses bouger pour enfoncer son visage dans ton cou, cette proximité est nouvelle, elle te parait un peu… Intime, mais ce n’est pas grave au contraire, tu le laisses faire venant lui caresser l’arrière de la tête doucement fermant doucement les yeux afin de le laisser évacuer ce qu’il a besoin d’évacuer, il serre ton haut et il pleure de plus belle craquant totalement et tu continues à lui caresser l’arrière de la tête pour lui dire que tu es là et qu’il a le droit de pleurer de la sorte, qu’il a le droit de foutre en l’air ton haut sans culpabiliser. Il presse son corps contre le tien, tu le laisses faire, il a besoin d’un soutien et tu seras le soutien dont il a besoin tout comme lui a pu le faire avec toi, tu vas l’aider, tu seras là à chaque instant << ça va aller >> murmures-tu une fois de plus doucement. Puis au bout d’un moment il relève la tête, il plante son regard dans le sien, ses joues sont sillonnées par les larmes, ses yeux sont rougis pas la tristesse qui l’envahit, ses pupilles dilatées par l’alcool présent dans son organisme, il n’a pas décuvé, mais la réalité le frappe malgré tout, malgré sa douleur il trouve la force de te sourire et toi, toi ? Tu le trouves adorable, craquant, touchant… Il te remercie d’être là… Il te parle de sa tête en vrac, il s’excuse…
Tu penches doucement la tête venant doucement essuyer de tes deux pouces ses larmes qui continuent de couler << Chutttt… >> il n’a pas lieu de te demander pardon, il est grand et ne te doit rien au contraire celle qui lui doit tout, c’est toi << ne t’excuse pas, c’est rien, tu fais bien ce que tu veux, tu ne me dois rien… Rien du tout, je n’ai rien a te pardonner >> dis tout doucement alors que ce petit accent russe bien en retrait est présent à chacune de tes paroles << on va aller te faire couler un bain chaud, ça va te faire du bien histoire de te poser un peu et de laisser ta tête reprendre le dessus >> la tête en vrac, c’est l’alcool, l’émotion… Tu sais pourquoi il pleure, pourquoi il est mal maintenant, mais tu ignores pourquoi il s’est mis dans un état pareil parce que l’alcool apparemment c'était avant d’apprendre la mort de son frère. Tu lui essuies une nouvelle fois la cascade de larmes qui inonde son visage, tu le serres contre toi venant dire doucement << viens… ça va te faire du bien >> doucement tu te décales de lui, tu te redresses te relevant et tu lui tends la main en souriant, un souriant confiant, tendre et rassurant, tu vas prendre soin de lui comme lui a pris soin de toi alors que tu étais cassé de partout. Main dans la sienne, tu le tires doucement vers la salle de bain alors qu’il se laisse guider, tu le fais s'asseoir sur la panière à linge assez solide et doucement tu viens à la baignoire où tu te penches pour régler l’eau puis tu mets le bouchon de la baignoire et tu laisses couler l’eau. Tu reviens vers lui et tu poses ta main sur sa joue chassant ses maudites larmes qui continue de dévaler ses joues << depuis quand tu n’as pas manger ? >> demandes-tu doucement te doutant qu’il n’a pas faim, mais la n’est pas la question.
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Dagnýr Taygart
| Sam 12 Fév - 15:55 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
La mort, tu l’as déjà vécu à plusieurs reprises, ta soeur s’est donné la mort, puis ta mère est morte, tu savais très bien que cela arriverai encore parce que c’est la continuité de la vie mais tu ne pensais pas une seconde à ce qu’une fois de plus ça soit un membre de ta famille puisse prendre la décision de se donner la mort. Tu te demandes ce qu’il s’est passé, tu te demandes comment tu n’as pas pu voir ce qu’il comptait faire cependant, tu avais bien remarqué qu’il n’était pas comme avant. Tu soupires, tu souffres, tu es totalement perdu, les larmes roulent sur tes jours, tu ne sais plus où tu es mais tu sais que tu as besoin d’elle, tu as besoin de cette femme qui se trouve là avec toi, tu as besoin d’Anna. Tu as besoin d’elle plus que tu ne pourrais le dire alors tu te colles à elle, ta tête se colle dans son cou, tu respires doucement son parfum, tu serres son haut, tu as peur qu’elle fuit, qu’elle parte loin de toi, tu ne sais pas pourquoi mais tu sais que là maintenant, elle est la seule que tu as envie de voir, la seule dont tu as besoin sans pouvoir l’expliquer.
Tu finis par lever la tête, tu la regardes, ton regard glisse dans le sien, tu ne sais pas ce qu’il se passe mais pour toi tu te dois de t’excuser, tu te dois de lui demander pardon, ton regard glisse sur ses lèvres avant de revenir dans ses iris, tu souris un peu tout en la remerciant d’être présente parce que oui, tu ressens ce besoin de le faire car tu sais que tu pourrais sombrer beaucoup plus rapidement. Tu laisses ton regard dans le sien alors qu’elle te dit que tu ne lui dois rien mais pour toi c’est faux car si tu le lui dois, tu lui dois tout ça simplement parce qu’elle vit avec toi, qu’elle partage ta vie même si ce n’est pas comme un couple mais elle est là, elle ne t’a pas abandonné, elle ne t’a pas menti. Tu la laisses faire, tu continues de l’écouter et tu finis par laisser échapper un léger soupir entre tes lèvres. Tu l’écoutes et quand ses mains glissent sur tes joues pour venir extraire les perles salées.
Tu le sais qu’elle n’a pas tort, tu as besoin de reprendre le dessus, tu la regardes avant de venir dans ses bras quand elle te tire vers elle “D’accord” Tu lève le regard pour la voir se lever et tu finis par lui attraper la main, tu te lèves venant ramasser tes affaires pour les poser sur la table tout en la suivant te guider vers la salle de bain. Tu essaies de te reprendre, tu essaies de passer au-dessus de tout ça mais c’est compliqué pour toi, c’est tellement compliqué pour toi que tu as l’impression d’être un robot qui avance sans but. Tu t’assoies sur le panier et ton regard se pose dans un premier temps sur l’eau qui coule pui tu reviens vers Anna, sa main sur ta joue te fait un bien fou, doucement ta tête s’appuie contre sa main, tu fermes l’espace de quelques secondes tes yeux alors que les larmes continuent de couler.
Tu finis par rouvrir les yeux et tu te redresses, tu passes une main sur ton visage pour essuyer ce qui coule encore sur tes joues “Je crois depuis avant hier” Ton regard glisse sur l’eau qui coule toujours puis tu reviens sur Anna, tu lui attrapes sa main, tu entrelaces tes doigts avec les siens et tu finis par te lever, ton regard se pose sur elle, tu es toujours au plus mal mais s’en t’en rendre compte, tu ressens déjà un bien être que tu ne peux imaginer, elle te réconforte, elle te fait du bien par sa simple présence. Les larmes s’épuisent doucement, tu serres doucement sa main alors que tes iris viennent se planter dans les siennes “ Merci pour tout, tu ne peux pas savoir à quel point ça me fait du bien que tu sois là. Merci Anna, je ne sais pas ce que je ferai sans toi” Tu souris doucement et tu finis par détacher ta main de la sienne et tu t’assoies à nouveau sur le panier et doucement tu retires les boutons de ta chemise. “Tu crois que tu peux me faire du café fort ?” Tu te relèves et tu viens lui prendre la main une nouvelle fois “Tu restes avec moi hein ? Enfin j’veux dire tu… tu ne pars pas ?” Tu sais qu’elle te l’a déjà dit mais tu as besoin une fois de plus qu’elle te le dise.
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Anna Azarov
| Lun 14 Fév - 1:05 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu vas prendre soin de lui comme il a su prendre soin de toi alors qu’il ne te connaissais pas, tu vas le bichonner tout comme il a pu le faire avec toi parce que tu penses que c’est ton rôle, tu penses que la générosité, la bienveillance et la douceur sont des choses qu’on partage et qu’on offre en retour alors oui Anna, tu seras là pour lui à tout instant et pas parce que tu penses lui être redevable, mais parce que ton coeur souhaite le faire.
Mine de rien, toi qui au départ était assez méfiante tu n’as aujourd’hui plus de doute sur le bon fond de cet homme, tu pourrais dire que tu as confiance en lui même s’il est toujours délicat de dire ce genre de chose puisque tu ne te connais pas réellement étant donné que tes souvenirs se sont envolés au moment ou sa voiture t’as percutée. Mais oui avec les jours, les rires partagés en sa compagnie, tu t'es attachée à lui si bien que tu le considères comme un ami au jour d’aujourd’hui…
En tant qu’amie, tu feras ce qu’il faut pour l’aider et c’est pour cela que tu le tires vers la salle de bain afin qu’il puisse prendre un bain qui dégage non seulement l’odeur de l’alcool qui empeste sur lui, mais qui détendra un peu son corps qui malgré sa peine est tendu par la peine. Tu le sais et il est bien connu qu’un bon bain à vapeur chaude apaise émotionnellement et physiquement. Main sur sa joue, tu le sens compresser son visage dessus tu es attendrie par ce geste qui dévoile le réconfort dont il a besoin, tu l’observe alors qu’il tente de s’offrir un petit moment de tranquillité, de paix en fermant les yeux, tu le trouves adorable véritablement adorable, lui qui jusqu’ici t’as toujours semblé être un homme portant le monde sur ses épaules te dévoile une face de lui que tu ne connaissais pas, il est vulnérable… Et aussi fou que cela puisse paraître, tu trouves cette facette de sa personnalité adorable.
Tu finis par lui demander depuis quand il n’a pas mangé et sa réponse te fais soupirer doucement… Tu ne cherches pas à comprendre pourquoi il n’est pas rentrée la nuit dernière ni même pourquoi il n’a pas mangé, tu penses connaître la raison après tout on ne peut pas forniquer et manger en même temps << Tu dois mourir de faim >> dis-tu doucement en le regardant attentivement alors que sa main attrape la tienne et que ses doigts s’entrelacent aux tiens, tu le laisses faire ce contact ne te gêne pas, tu es la pour lui alors tu le soutiens et tu le prouves en laissant ta main dans la sienne. Regard sur sa personne, tu clignes des yeux alors que tu remarques que ses larmes s’épuisent doucement, tu le sais la fatigue va finalement lui mettre un coup, c’est le processus normal après de grosses larmes versées. Le regard toujours dans le sien, tu l’entends et tu souris à celui-ci << Tu devrais plutôt te remercier, si je suis là c’est grâce à toi et ta générosité >> tu dis cela parce que c’est vrai dans le fond, tu es là parce qu’il t’a ouvert sa porte et qu’il ne t’a pas laisser mourir sur le bas côté de la route, sourire léger aux lèvres tu ajoutes << La question ne se pose même pas puisque je suis là >> petit clin d’oeil tendre, tu te retournes et tu viens doucement à arrêter l’eau plongeant ton doigts dedans pour vérifier la température, tu l’entends te demander un café fort, tu te redresses et tu viens à le regarder à nouveau voyant alors sa chemise ouverte, ton regard observe un instant le peu de son torse visible avant de finalement revenir dans son regard << Je vais te faire ça et un petit truc à manger >> il se relève et reprend ta main, tu t’approches de lui doucement et tu bouges tes lèvres doucement le laissant terminé sa phrase puis tu lui réponds << Dag… Je ne compte pas partir, tu vas prendre un bain, tu vas souffler un peu et quand tu sortiras de la salle de bain, tu ne trouveras dans la cuisine en train d’insulter tes ustensiles de cuisine >> tu souris manquant même de rire, mais ce que tu dis est véridique ! Tu t’approches encore de lui collant légèrement ton corps contre le sien et tu déposes un baisé sur sa joue << Je ne vais nulle part….promis >> tu te décolles de lui lâchant doucement sa main et tu le contournes venant sortir de la salle de bain, une fois dans le couloir tu te tournes et tu lui dis << Op op dans l’eau, elle va être froide sinon >> sourire aux lèvres tu t’éloignes un peu de la salle de bain pour rejoindre la cuisine gardant malgré tout une oreille attentive à des pleurs, des cris, des mouvements rapide qui pourraient signaler une détresse imminente.
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Dagnýr Taygart
| Lun 14 Fév - 14:57 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu es là à laisser les larmes couler sur tes joues, ton coeur est lourd déjà par ce qu’il s’est passé avec tes amis, avec Julia mais surtout par la mort de ton frère. Tu ne sais pas vraiment ce que tu vas devenir mais aujourd’hui, tu sais que tu as besoin de cette femme qui est avec toi. Il est vrai que tu ne la connais pas vraiment, qu’il y a des choses que tu ne connaîtras certainement pas mais depuis qu’elle est ici, elle t’apporte certaines choses que tu n’imaginais pas. Alors que tu es là dans cette salle de bain, tu es complètement paumé, tu ne sais pas du tout quoi faire, tu sais qu’il va te falloir faire le nécessaire pour récupérer le corps de ton frère et de préparer tout pour l’enterrement même si cela sera très rapide car tu sais parfaitement que ton frère n’était pas du genre à vouloir une grosse cérémonie. Enfin pour le moment, tu n’arrives pas à réfléchir, tu as besoin de temps, tu le sais. Ton regard se pose sur Anna, tu lui souris, alors que tu lui attrapes la main. Tu l’informes que tu n’as pas mangé depuis la veille, tu n’avais pas faim et c’est encore le cas là maintenant mais tu le sais, elle ne te laissera pas sans manger.
“Je n’ai pas trop faim…” Il est plus que sûr que tout ça t’a coupé l’appétit mais il te faut regarder droit devant toi et non en arrière. Tes doigts s’entrelacent avec les siens, doucement tu te calmes mais tu es fatigué, fatigué de passer toujours en second plan, de toujours être celui de l’ombre, celui qui écoute les misères des autres, celui qui ne dit rien mais là c’est terminé, tu en as assez, pour cela malgré tout ce qu’il s’est passé, tu le dois à Julia mais une fois de plus, tu as cette impression de n’avoir servi que de bouche-trou pour qu’elle puisse retrouver Warren. Tout se bouscule dans ta tête, tu as l’impression de t’être fait une nouvelle fois avoir… Tu finis par ne plus penser à cela et ton regard se pose à nouveau sur la femme face à toi. Tu ne peux que la remercier d’être là avec toi, d’être celle qui est là pour toi alors que cela devrait être l’inverse car oui tu as promis d’une certaine façon d’être là pour elle.
Tu souris doucement alors que tu vois son clin d’oeil, tu l’observes et tu te rends compte de la beauté de cette femme, tu te rends compte de ce qu’elle dégage, tu as déjà remarqué qu’elle était magnifique mais étrangement là, ça te saute encore plus aux yeux, ton regard glisse sur elle alors qu’elle éteint l’eau et tu finis par lui demander de te faire un café fort. Tu détournes le regard venant passer une main sur ton visage et tu reprends sa main dans la tienne, ton regard plonge dans celui d’Anna et tu l’écoutes, tu te sens mieux même si elle te l’avais déjà dit, tu avais encore besoin de l’entendre. Vos corps se frôlent, cette sensation que tu ressens là maintenant est étrange, tu fermes doucement les yeux alors qu’elle dépose un baiser sur ta joue “J’en suis heureux” Oui tu es heureux qu’elle reste là, qu’elle ne te quitte pas.
Tu tournes la tête pour regarder l’eau avant de tourner de l’autre côté pour regarder Anna qui est actuellement dans le couloir. “J’y vais” Tu lui souris et tu finis par te déshabiller complètement pour pénétrer dans le bain qu’elle t’a fait couler. L’eau est chaude et tu t’y plonge sans soucis. Tu fermes les yeux alors que tu plonges la tête sous l’eau avant de ressortir et de te coller contre la paroie, tu restes un petit moment les yeux fermés alors que les larmes roulent sur tes joues à nouveau, tu craques, tu as envie d’hurler mais tu ne le fais pas, tu te retiens, tu le sais, tu dois te montrer fort mais tu n’arrives pas, tu retournes sous l’eau, tu restes quelques secondes et tu remontes, tu essaies de faire le vide, tu essaies de trouver la lumière dans cette obscurité et tu le sais, pour le moment, ta lumière est dans ta cuisine entrain de faire à manger.
Les minutes défilent et tu sens la fatigue prendre le dessus, tu finis par sortir au bout d’un bon quart d’heure, tu t’essuies et ton regard se pose sur ton reflet dans le miroire, tu fais vraiment peur, tu soupires et tu finis par passer une simple serviette autour de ta taille. Tu mets tes cheveux en arrière et tu finis par quitter la salle de bain alors que tu vides l’eau de la baignoire. Au lieu d’aller dans ta chambre, tu vas voir si tout va bien dans la cuisine, tu n’es pas gêné de la tenue que tu portes, tu as un peu repris tes esprits, elle avait raison, le bain t’a fait du bien mais il n’y a pas que cela. “Tu as besoin d’aide?” Tu poses ton regard sur la femme qui s’affère dans la cuisine, tu es tellement subjugué par elle que tu ne remarques pas que la serviette est entrain de se détacher et finit par tomber te retrouvant complètement nu devant la femme qui partage ta maison aujourd’hui.
Tu baisses les yeux pour regarder la serviette à tes pieds puis tu relèves le regard vers Anna, tu as vraiment l’air d’un con devant elle et étrangement d’un coup cela te fait rire “Pardon Anna ! Je vais aller m’habiller ça sera mieux je pense..” dis-tu alors que tu remets la serviette autour de ta taille. Tu vas rapidement dans ta chambre pour enfiler un boxer et un pantalon puis tu reviens vers elle et tu regardes ce qu’elle est entrain de faire. “C’est mieux là, tu as besoin d’aide ?”
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Anna Azarov
| Lun 14 Fév - 22:49 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu l’ignores, tu ne le sais pas Anna, tu as oublié cette partie de toi, mais tu as été mère, tu as dorloter sans compter, tu as aimer sans juger, tu as réconforté, bercé sans jamais être fatiguer et ce soir c’est ce côté maternel qui ressort puisque tu comptes prendre soin de Dagnyr. Tu es d’ailleurs un brin autoritaire avec lui au moment où tu lui dis d’aller dans l’eau avant que celle-ci ne refroidisse, tu as souri quand il t’a dit qu’il y allait et toi, toi tu as quitté l’endroit pour rejoindre la cuisine.
Arriver dans la cuisine, tu as ouvert le frigo puis les placards cherchant ce que tu pouvais bien lui faire sans oublier que celui-ci n’a pas réellement faim, chose que tu comprends, mais tu ne le laissera pas rejoindre ses draps sans avoir quelque chose dans le ventre… Tu as mis quelques minutes à te décider et finalement tu as choisi une omelette, simple, efficace et ça s'avale facilement. Saladier en main, œuf sans coquille à l’intérieur -ouais c’est mieux- tu fouettes les œufs alors que la poêle préchauffé à feu doux derrière toi, une fois les œufs parfaitement battu, tu laisses le tout sur le plan de travail pour t’occuper des champignons, tu les épluches comme tu as pu voir le maître de la maison le faire un tas de fois et tu les coupes en fine tranche mettant le tout dans la poêle les laissant revenir doucement avec une petite touche d’huile et des oignons, une fois fait tu ajoutes tes œufs, tu es concentré Anna puisque la cuisine ce n’est pas ton rayon… Évidemment, tu te débrouilles, mais tu as tendance à oublier ce que tu es en train de faire pour preuve l’autre jour, tu as tenté un cake au chocolat et tu l’as oublié dans le four… La cuisine avec toi, il faut que ça aille vite… Et cela tu le tiens de l’homme à qui tu es marié et à qui tu appartiens toujours dans un sens puisque tu ignores qu’il est mort… Il n’aimait jamais ce que tu cuisinais et avec les années, tu as perdu l’envie, le goût à la cuisine si bien que tu t ‘en désintéressé sans même t ‘en rendre compte… Mais ce soir, tu veux que le repas soit bon, tu veux que Dag reprenne un peu de force alors tu gardes les yeux sur la poêle, tu observes les œufs faire des petites bulles.
Concentré sur les oeufs ou pas finalement puisque tu t’es perdu dans tes pensées, tu reviens à toi en entendant la voix de Dag derrière toi, tu tournes la tête tenant en main la spatule ton regard bleu se pose sur lui avant de glisser sur son torse puis sur la serviette qui se fait gentiment la malle, tu ne le préviens pas tu penses qu’il va réagir, mais non il ne réagit pas t’offrant ainsi une vue… Cette vue… Que dire… appart…. Woow… Mmh… c’est encore mieux que vous avez observé lors de votre premier soir ensemble (celle du jardin, lac, étoile)
Il a dû suivre ton regard puisqu’il baisse les yeux et il remarque que la serviette la gentiment laisser tomber et toi, toi tu rougis bêtement, stupidement, tu es rouge comme une tomate non pas parce que tu es gêné d’avoir vue son instrument, mais parce qu’il t’a vu le regarder… Contre toute attente, il se met à rire et toi, tu es trop gêné pour le regarder alors tu te retournes << Ce n’est rien ne t’en fais pas… J’en ai vu d’autre >> tu te demandes s’il a remarqué la couleur rouge qui a envahit ton visage avant de te tourner puis tu réalises ce que tu viens de dire alors tu reprends rapidement, précipitamment << C’est pas ce que j’ai voulu dire… >> tu as réalisé que ta phrase sur le fait est que tu en as vu d'autres laisse un peu à croire que tu es une fille facile… Et tu tentes de te reprendre, mais lorsque tu te tournes il n’est déjà plus là.
<< Ya videl drugogo ? Shutki v storonu ? Zhalkaya, glupaya Anna ! >> lâches-tu en te parlant à toi même venant alors éteindre le feu estimant que l’omelette est prête, il revient d’ailleurs tu ne sais pas depuis quand il est revenu ce mec est réellement discret, tu souris légèrement venant à le regarder voyant alors qu’il a enfiler un pantalon << Au moins il n’y a pas de risque qu’il t’abandonne celui-ci >> clin d’oeil rapide, tu ris te moquant un peu de la situation qui a pu se produire il y a quelques minutes… Tu prends la poêle et tu lui dit << Assied-toi, ton café est déjà sur la table et le repas arrive >> dis-tu gentiment venant faire glisser l'omelette sur l’assiette par chance celle-ci ne colle pas, c’est un progrès indéniable.
Tu poses la poêle sur la vitrocéramique froide et tu prends l’assiette venant lui poser sur la table << En espérant que ce soit comestible >> dis-tu en te moquant de toi-même. Tu prends place en face de lui et tu poses ta main sous ton menton tandis que ton coude est sur le table, tu le regardes, tu attends qu’il te dise ce qu’il pense de l’omelette et puis surtout, tu le surveilles tu veux le voir manger. Après un moment, tu viens à lui demander << Qu’est-ce qui s’est passé ? Je me doute bien de la raison du pourquoi tu n’es pas rentrée, mais je ne comprends pas pourquoi te mettre dans un état pareil… >> oui, tu ne comprends pas puisqu’il a apprit la mort de son frère après être rentré complètement ivre et au lieu d’être triste, il devrait être ravie d’avoir passer cette nuit dans les bras d’une femme… Alors que tu viens de lui demander, tu viens à te demander si tu n’es pas le problème après tout, il n’a pas ramener cette femme chez lui… Pourquoi ? Es-tu le soucis ? Le déranges-tu ?
Ton regard glisse sur le marbre de la table, tu hésites, mais finalement tu lui demandes en remontant le regard << Tu sais que tu aurais pu ramener cette femme ici ? Je veux… dire qu’il ne faut pas t’empêcher d’user de ta maison comme tu le souhaites parce que je suis là… Et si vraiment, je peux toujours me trouver un motel où trouver un autre pied à terre, je ne voudrais pas être le boulet qui t’empêche de faire ce que tu souhaites Dag >> tu lui a promis que tu ne partirais pas, mais si toutefois il s’avérait que cela était le mieux alors tu le ferais et puis rien ne t’empêche d’aller à l’hôtel le soir où il invite son amie chez lui… Un hôtel, une fois, un soir ce n’est pas dérangeant… Et pour l’argent ? Tu en trouveras de toute manière, il est temps pour toi de t’assumer, mais ça ses un sujet dont tu lui parleras un peu plus tard.
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Dagnýr Taygart
| Mar 15 Fév - 16:46 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu es dans le bain, tu penses, tu craques, tu es complètement perdu, tu te demandes comment tu as fait pour en arriver là mais tu sais aussi que tu dois ta redemption à la femme qui est dans la cuisine, cette femme qui fait tout pour te réconforter, qui ne te demande rien en échange comme tu n’as rien demandé quand tu l’as accueilli chez toi. Anna, tu n’arrêteras pas de dire qu’elle est un rayon de soleil pour toi, qu'elle est une joie de vivre au sein de ton… votre foyer car oui, aujourd’hui c’est autant ton foyer que le sien. Quand tu sors du bain, tu vas un peu mieux, ta tête résonne toujours mais tu te sens un peu mieux, la fatigue est de mise aussi mais ce n’est pas important car là maintenant tu vas aller rejoindre Anna, tu y vas au départ avec une simple serviette, tu lui demandes si elle a besoin d’aide et sans t’en rendre compte, tu te retrouves le sexe à l’air, loin de toi d’être pudique, tu laisses ton regard sur elle avant de tourner la tête pour ramasser la serviette et tu la remets autour de ta taille et tu t’excuses alors que tu viens à rire légèrement de la situation mais tu remarques aussi que ses joues ont rougies et tu trouves cela craquant. Tu l'écoutes et tu souris, cela te fait du bien, tu te sens étrangement bien même si tu sais que derrière c’est loin d’être réellement le cas.
Tu finis par partir t’habiller, enfin tu ne passes qu’un pantalon et un boxer en dessous puis tu reviens “ça devrait tenir oui” Tu t’installes comme elle te le demande et tu attrapes la tasse de café que tu viens boire une longue gorgée malgré qu’il soit bien chaud. Ton regard se pose sur la femme qui vit avec toi, tu l’observes silencieusement, elle est magnifique, c’est ce que tu te dis, mais elle a ce petit truc en plus, une truc que tu n’arrives pas à expliquer, tu souris alors que tu poses ton regard sur l’assiette qu’elle vient poser devant toi. “Je suis sûr que c’est bon” Tu coupes un morceau que tu viens mettre en bouche, tu maches doucement et tu finis par relever le regard vers Anna “C’est vraiment bon, merci Anna” Tu continues doucement à manger même si tu n’as pas vraiment faim mais tu veux faire honneur à ce repas qu’elle a fait pour toi alors qu’elle n’en était pas du tout obligé. Tu finis par relever le regard vers elle alors qu’elle vient te demander ce qu’il a pu se passer.
Tu attrapes ta tasse pour en boire une gorgée et finir d’avaler et tu fronces les yeux quand elle parle d’une femme, tu ne comprends pas sur le coup mais rapidement tu comprends ce qu’elle veut dire. Tu poses la fourchette sur le coin de ton assiette et tu viens poser ton regard dans celui d’Anna “Je t’arrête Anna, je n’étais pas avec une femme, j’ai roulé une bonne partie de la nuit avant d’aller au club jusqu’au moment où j’ai repris la route pour rentrer à la maison.” Tu lui souris doucement avant de passer une main sur ton visage “Il y a peu de temps, j’ai été voir une femme dont mon père lui loue un appartement, cette femme, je la connaissais mais ce n’était pas la grande entente jusqu’à ce soir là. Pourtant tu vois, je la connais depuis des années mais on arrivait pas à communiquer et ce soir alors qu’elle avait des soucis avec son appartement, on a parlé et on a passé la nuit ensemble”
Tu fais une pause et tu repenses à tout ce qu’il s’est passé, tu en veux en partie à Julia mais tu t’en veux aussi. “On a échangé des sms beaucoup et je me suis confié à elle sur certaines choses de mon passé. J’ai laissé une porte ouverte mais elle a toujours été amoureuse d’un mec qui n’a jamais rien fait en 14 ans, il a fallu que je m’ouvre à elle, que je tente quelque chose pour qu’il se réveille et il ne faut pas être idiot pour comprendre que dans tout ça, je n’ai servi que de bouche-trou en espérant qu’il se réveille… Du moins c’est ce que je pense… C’est sans compter qu’une petite révélation a fait que je me suis brouillé d’une certaine façon avec tout le monde. Je n’ai pas cherché à rester plus à cette soirée et je suis partie et bien sûr personne n’a cherché à me rattraper donc tout a été clair. Elle a dû aller le voir et on connaît la suite..” Tu as vraiment cette impression d’avoir été pris pour un con, tu soupires et détournes le regard avant de revenir sur Anna.
Tu laisses ton regard sur elle, tu as honte dans un sens de t’être fait prendre dans tout ça mais tu te rassures en te disant qu’il valait mieux cela maintenant que de tomber amoureux d’elle et qu’à la fin cela se passe exactement pareil. “Après valait mieux que ce soit maintenant, imagine, j’aurai été amoureux d’elle…. Mais dans l’histoire, j’ai l’impression vraiment d’avoir été pris pour un con, sans compter tout le reste. Cependant ça met un claque surtout quand tu t’ouvres et que tu avoues certaines choses…” Tu finis par baisser le regard et tu te lèves pour venir te mettre devant la baie vitrée, tu sais que tu as des rêves, que tu n’es pas comme les autres hommes d’une certaine façon mais toi tu es comme ça “Il y a des rêves qu’il faut savoir mettre de côté et il faut reconstruire cette barrière…” Cependant, tu ne peux nier que cette barrière tu n’as pas envie de la remettre pour Anna “Cependant pas avec toi…. Je ne veux pas que tu ailles dans un motel ou que tu partes Anna… Cette maison est la nôtre aujourd’hui, elle est autant la mienne que la tienne… J’ai vraiment besoin de toi… c’est dur à comprendre mais… C’est comme ça”
Tu restes planté comme un i devant la baie vitrée, tu ne peux pas avouer plus à Anna sur cette histoire car il n’y a rien de plus à dire, tu viens de tout lui révéler et surtout tu lui as dit ce que tu penses, c’est peut-être faux, c’est peut-être vrai, tu n’en sais strictement rien et tu ne penses pas que tu le sauras dans les jours à venir. Tu glisses tes mains dans tes poches de pantalon et tu finis par baisser la tête honteux de ce que tu as montré à Anna mais au moins, elle t’a connu dans la pire des situations.
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Anna Azarov
| Mar 15 Fév - 23:09 |
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Dagnýr Taygart
“Les larmes sont l'extrême sourire.” << C’est vraiment bon, merci Anna >> tu souris grandement ravie d’apprendre qu’il apprécie ce que tu as pu faire maintenant tu sais que tu es capable de faire une omelette sans tuer personne, c’est une étape importante pour toi puisque l’omelette va probablement devenir ton repas préférée puisque tu sais cuisiner plus ou moins que ça ! Regard sur sa personne tu le regardes manger, tu veux être certaine que ce soir son ventre sera plein et que la nourriture ingérée épongera l’alcool qui doit probablement encore remplir son estomac… Tu finis par lui demander ce qui s’est passé tout en ajoutant ce que tu penses de la situation, tu le vois froncer les yeux, mais tu continues parce que tu veux qu’il sache qu’il est parfaitement en droit de mener sa barque où il le souhaite, il pose sa fourchette et son regard se plonge dans le tien et voilà qu’il met un stoppé à ce que tu peux penser, imaginer… Tu es surprise d’entendre qu’il n’était pas avec une femme puisque les signes de sa préparation pour cette soirée étaient plus que claire, mais tu ne dis rien le laissant parler, le laissant s’expliquer alors qu’en réalité, il n’a réellement pas besoin de le faire puisqu’il ne te doit rien absolument rien. Il te sourit et toi tu lui rends son sourire alors qu’il passe sa main sur son visage avant de reprendre et voilà qu’elle est là… Elle apparait cette fameuse femme, tu le savais…
Tu l’écoutes te parler de cette demoiselle que tu ne connais pas, tu es attentive à chaque parole qui quitte sa bouche, tu clignes des yeux alors qu’il te dit avoir passé la nuit avec elle… Tu te souviens de ce fameux soir où il est parti et n’est pas revenu avant le lendemain, mais tu n’avais pas demandé d’explication et il ne t’en avait pas fourni… Toujours la main sous le menton, le coude sur la table, tu le regardes attendant qu’il termine son histoire parce que oui Anna, tu te doutes que cette histoire ne s’arrête pas là. Il parle de message et là encore tu n’es pas surprise simplement parce que tu avais bien remarqué que son téléphone était tout d’un coup collé à sa main et puis toi, toi tu les entendais les bips signalant un nouveau message, maintenant tu sais que ses bip était des bips de drague…
Tu plisses les yeux en entendant la suite de l’histoire, tu as du mal à tout comprendre, mais tu parviens à comprendre le nécessaire, il détourne le regard avant de te regarder une nouvelle fois, il est peiné de cette situation tu le vois et le fait est qu’il est détourné les yeux le prouve parfaitement… Silencieuse puisque tu as le sentiment qu’il n’a pas terminé, tu lui laisses le temps et voilà qu’il reprend en te parlant d’amour… Mais pour le coup Anna, tu n’es pas certaine qu’il n’est pas déjà piqué… Après tout, toi l’amour tu n’y connais rien puis tu n’as même pas souvenir d’être amoureuse de quelqu’un alors bon… Il baisse le regard et finit par se lever allant à la baie vitrée, tu te redresses un peu en le regardant malgré qu’il soit dos à toi, tu le fixes en ressentant ce qu’il ressent… Etrangement, tu comprends ce qu’il veut dire, ce qu’il ressent, il a été relégué à la deuxième place alors qu’il voulait être à la première et toi Anna, tu as le sentiment de connaître ce genre d’émotion.
Il parle de rêve, de barrière puis il ajoute qu’il ne souhaite pas mettre ses barrières avec toi, qu’il ne souhaite pas te voir partir dans un motel où bien même ailleurs et qu’il estime que cette maison est également la tienne, mais tu n’es pas d’accord sur ce point, ici rien est à toi, tout lui appartient à lui… Uniquement à lui. Tu es cependant toucher d’entendre qu’il a besoin de toi, tu le rejoins doucement prenant place à ses côtés regardant à ton tour l’extérieur à travers la baie vitrée et enfin tu viens à lui dire << Je ne pense pas être la meilleure niveau conseil sentimental, mais si tu le vis aussi mal c’est peut-être parce que cette fille est plus pour toi que ce que tu penses non ? >> tu tournes la tête le regardant alors souriant doucement << Pourquoi tenter quelque choses avec elle si tu savais que son coeur était pris ? Il était évident dès le départ que tu aurais eu le second rôle dans le film… >> pour toi, c’est logique maintenant tu aimerais comprendre peut-être qu’ainsi des souvenirs te reviendrai… Tu poses doucement ta main sur son épaule et doucement tu lui demandes << Est-ce que tu penses que cette fille est ton âme sœur ? >> question totalement débile, mais bon tu demandes malgré tout et avant qu’il ne répondre tu viens à lui dire << parce qu’on se bat pour son âme sœur Dag… >> tu pinces tes lèvres sentant le fou rire te menacé, tu te retiens, mais tu n’y parviens pas plus de quelques secondes, d’un coup tu éclates de rire mettant ta main sur ta bouche en reculant << Pa..r…d..on…>> dis-tu dans un roucoulement d’éclat de rire… Ton rire est franc, il est sincère, si pur qu’il est aussi beau à entendre qu’une cascade naturelle, il est aussi beau qu’un coucher de soleil d’été… Tu respires plusieurs fois pour te reprendre et tu viens à ajouter << Non non, je ne viens pas te citer une phrase du film Crazy stupid love, absolument pas >> dis-tu avec sarcasme, tu ventiles ton visage de ta main en respirant pour te reprendre puis une fois cette crise passé tu reviens à ses côtés regardant droit devant toi te retenant de rire, mais les fossettes de ton visage te trahisse << je ne ris plus promis… pardon…>> tes dents supérieures mordent ta lèvres inférieure pour t’empêcher de rire une nouvelle fois, tu ne veux pas qu’il pense que tu te moques de lui parce que ce n’est pas le cas, tu as juste ce fou rire incontrôlable qui te prend aux tripes…
Après quelques instant, tu tournes la tête le regardant avec bien plus de sérieux et tu lui dis << Si elle te plait vraiment et que tu penses qu’elle en vaut la peine alors ce n’est pas de la bouteille que tu devrais t'accompagner, mais d’elle Dagny peu importe ce que les gens en pense… Et oui, elle a peut-être terminée la soirée avec ce gars qui ne voulait pas d’elle en 14 ans, mais ça ne veut pas dire que c’est avec lui qu’elle restera >> tu hausses les épaules doucement << Parfois on veut tellement un truc que quand on là, on est déçu et on se rend compte que finalement ce n’est pas ce qu’on veut, c’est peut être son cas >> ajoutes-tu en poussant doucement l’homme qui est dans un sens un ami pour toi << Moi aussi, j’ai besoin de toi… Tu es le seul à me faire rire comme ça >> évidemment, tu le taquines un peu parce que tu as besoin de lui uniquement parce que tu t’es attaché à lui plus que tu n’aurais dû.
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Dagnýr Taygart
| Mer 16 Fév - 23:10 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu goûtes ce qu’elle a fait à manger et tu aimes ça, c’est bon, tu bois en même temps du café tout en mangeant. Tu manges doucement, petit morceau par petit morceau, même si tu n’as pas vraiment faim. Tu finis par poser ta fourchette pour la regarder alors qu’elle te demande ce qu’il s’est passé, tu n’hésite pas une seconde à lui dire, tu lui racontes tout ou presque, tu lui parles de Julia, tu lui parle de ce qu’il s’est passé et le fait que tu as plus l’impression d’avoir été pris pour un con qu’autre chose, tu ne sais pas vraiment si tu l’expliques bien mais c’est le cas, enfin c’est peut-être plus que cela, tu as plus l’impression d’avoir été pris pour un bouche-trou mais bon c’est ce que tu te dis mais tu ne sais pas vraiment si cela est réelle ou non. Tu finis par te lever pour aller devant la porte fenêtre et tu regardes le lac pui tu continues de parler avant de la voir à ses côtés, tu tournes la tête pour la regarder “Ce n’est pas que je le vis mal, c’est plus complexe c’est surtout le fait d’avoir parlé de choses qui m’appartenait, de lui avoir ouvert des portes qui auraient dû rester fermer.”
Tu tourne la tête pour regarder de nouveau devant toi “Parce que dans un sens elle a laissé une porte ouverte et tout ça n’était que du vent, j’ai peut-être été un peu trop à vouloir me mettre en avant par rapport à d’habitude. Quand elle te demande si tu penses qu’elle est ton âme soeur, tu n’as pas de doute là-dessus car non, pour toi elle n’est pas ton âme soeur, car son âme soeur est Warren, ça l’a toujours été. Tu t’apprêtes à répondre mais tu la vois rire, tu la vois avoir ce fou rire et sur le coup tu ne comprends pas du tout le pourquoi mais voilà qu’elle te parle d’un film, une fois de plus, tu ne connais pas ce film, tu n’as pas la référence mais si au moins ça la fait rire alors tant mieux car tu aimes la voir rire, tu aimes quand elle est naturelle et c’est vraiment ce qu’elle est, elle te plaît… Oui elle te plait et tu viens de le remarquer enfin non tu le savais mais tu étais bien trop dans ton monde pour le voir.
“Tu sais que je ne connais pas ce film, remarque il y a plein de trucs que je n’ai jamais vu…. Sinon pour revenir à Julia..” Tu tourne la tête pour venir planter son regard dans le sien “Elle m’a plu, je ne peux pas le nier cependant non elle n’est pas mon âme soeur, elle est celle de Warren, c’est tout, regarde elle a quand même attendu 14 ans… donc non, je veux avancer, je n’ai pas ou plus envie de me mettre dans une histoire qui n’aura certainement pas de sens car à la fin je serais celui qui restera toujours en retrait.” Après tu te dis qu’elle peut ne pas avoir tort sur le fait qu’elle pourrait être déçue de sa relation avec Warren mais toi Dag, tu sais que tu n’attendras pas…. Toi tu as envie de vibrer pour une femme, tu as envie de vivre, tu as envie de séduire une femme qui ne tournera pas les pages du livre trop vite, tu es complexe parfois mais tu es comme ça.
Tu finis par sourire alors qu’elle te pousse doucement, tu te tournes complètement pour lui faire face, ton regard dans le sien et tu viens à sourire alors qu’elle reprend la parole, tu laisses tes iris dans les siennes, tu viens remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille sans la quitter du regard “Ah bon je te fais rire, je n’ai pourtant pas une tête de clown si ?” Cette femme est vraiment exceptionnelle, tu as l’impression qu’elle ne se laisse jamais abattre et pourtant, elle pourrait avec tout ce qu’il se passe pour elle, tu ne sais pas ce qu’il s’est passé avant mais tu as remarqué cette force dés le départ et aujourd’hui, c’est encore plus flagrant. “Alors dis moi Anna, comment as-tu besoin de moi…” Tu es curieux, tu as besoin de l’entendre peut-être pour comprendre pourquoi quand ton regard est dans le sien, tu te rends compte que tu tiens à elle peut-être bien plus que tu ne le comprends.
Tu fais un pas vers elle alors que ton regard est toujours dans le sien, tu ne te rends pas compte que l’air est différent, est-ce que cela vient de toi ? Du fait que tu n’es pas dans ton assiette par la perte de ton frère, tu ne sais pas du tout, c’est une étrange sensation qui parcourt ton échine. “Merci Anna, je sais que je te l’ai déjà dit mais merci d’être là, tu n’aurais pas été là, je me serais laissé abattre, je n’aurai pas cherché à me relever mais grâce à toi, j’ai envie d’avancer même si je sais que les jours à venir ne seront pas facile mais tu es là… C’est tout ce que je veux… que j’ai besoin…” Tu es sérieux, là maintenant tu n’as envie que d’être avec elle… Tu as envie…. tu ne sais même pas de quoi tu as envie… Où peut-être que si mais c’est dingue à comprendre…
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Anna Azarov
| Mer 16 Fév - 23:52 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
“Ce n’est pas que je le vis mal, c’est plus complexe c’est surtout le fait d’avoir parlé de choses qui m’appartenait, de lui avoir ouvert des portes qui auraient dû rester fermer.”
Tu ne comprends pas bien le problème dans tout cela Anna puisque ce confiée veut simplement dire qu’il a eu confiance en elle alors en quoi le fait est qu’elle choisisse un autre change la confiance qu’il a mis en elle, si effectivement il n’y a aucun sentiment en jeu ? Il est évident qu’il te manque des cartes pour comprendre tout ce qu’il veut dire puisque toi tu ne sais pas comment il est d’ordinaire alors tu ne peux pas comprendre totalement ce qu’il veut dire quand il dit s’être mit en avant plus que d’habitude.
Cependant Anna, tu l’écoutes afin de comprendre puis tu lui poses quelques questions et là encore tu trouves que tout est flou… Peut-être es-tu trop stupide pour comprendre les choses ou trop ignorante sur le sujet de l’amour et compagnie… Il faut dire que toi, tu n’as aucun souvenir concernant les hommes qui ont pu partager ta vie tout comme tu n’as rencontré personne pour partager ta vie depuis que tu t’es faite renversé… Enfin… Il y a Hadès, mais c’est un ami… un très très bon ami. Dag lui aussi est un très, très bon ami (steuplait fait semblant d’y croire).
Tu prends conscience qu’il a peur d’être simplement mis de côté et dans le fond tu le comprends même si tu ne parviens pas à t'identifier à la situation, tu comprends parfaitement et puis tu réalises qu’il ne se bat pas pour cette femme uniquement parce qu’il ne pense pas faire le poid << Si tu étais en course avec un homme qui vient d’entrée dans sa vie comme toi, tu te mettrais en retrait aussi ? >> demandes-tu en le regardant attentivement, ajoutant ensuite << Elle t’a plu ?Elle ne te plait donc plus ? Tu sais ce n’est pas parce qu’elle semble avoir choisi un autre homme qu’elle ne tient pas à toi… Après tout, tu l’as connait depuis des années >> curieuse Anna, tu es trop curieuse et tes intentions ne sont peut être pas si bonnes que cela dans le fond << Pour le film, c’est un truc qui est passé à la télé, le type disait ce genre de parole >> dis-tu en souriant << Moi aussi, il y en a plein que je n’ai pas vue ou alors je les ai oublié, mais bon au final je me retrouve avec 30 ans de films à rattraper >> toi qui au départ était dérangé par ton manque de souvenir aujourd’hui, tu en souris puisque cela ne t’empêche pas d’avancer << Et pour Julia vu qu'apparemment la demoiselle s’appelle Julia… Qui te dit qu’elle est vraiment avec lui ? Peut être qu’elle aussi a besoin de souffler et de faire le point sur ce qui s’est passé… Enfin, je te dis ça, mais moi je ne connais rien à toutes ses histoires d’amour a trois, je connais déjà rien à l’amour a deux >> tu ris doucement te moquant de toi et de ta pathétique vie.
Tu l’entends ensuite te dire qu’il a besoin de toi et tu lui dis la même chose venant à le pousser doucement alors qu’il se tourne pour te faire face, ton regard dans le sien, tu le vois sourire et son sourire fait apparaître le tien. Tu le laisses remettre une mèche de tes cheveux derrière ton oreille tandis que vos regards ne se quittent pas, tu remontes un peu ton nez << Non, tu es loin d’avoir la tête d’un clown, mais tu me fais rire tous les jours et j’aime ça >> avoues-tu doucement alors qu’il te demande comment tu as besoin de lui, tu clignes des yeux doucement laissant tes iris venir frôlé les siennes une nouvelle fois, il fait un pas vers toi, vous n’êtes plus loin l’un de l’autre et toi, tu ne sais pas quoi lui répondre… Tu as besoin de lui pour un tas de choses, mais tu ne parviens pas à trouver les mots parfaits alors tu lui réponds << J’aime quand tu es la… >> ce n’est sûrement pas suffisant, mais c’est le mieux que tu puisses faire actuellement…
Il vient te remercier une nouvelle fois d’être là et il avoue qu’il n’aurait pas été en mesure de combattre quoi que ce soit sans ta présence, tu te doutes cependant que ses amis ou cette fille serait venu l’aider, mais tu es contente d’être là et d’être celle qui l’aide << Tu vas réussir à avancer, j’en suis certaine et puis je serais là pour t’aider comme tu l’as fait pour moi >> sourire sur les lèvres, tu viens doucement déposer un baiser sur sa joue et tu lui dis << D’ailleurs, il serait grand temps d’aller dormir jeune homme, il me semble que la nuit dernière n’a pas été très reposante pour vous >> tu recules doucement plantant une nouvelle fois ton regard dans le sien et tu ajoutes avec une sincérité déconcertante << Tu peux compter sur moi… Pour tout, quoi que tu aies besoin , je suis là… Tu n’as qu’à demander >>.
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Dagnýr Taygart
| Jeu 17 Fév - 23:06 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
C’est compliqué ce que tu ressens à cause de ce qu’il s’est passé avec Julia, simplement parce que tu avais ouvert une porte qu’elle a fermé aussi vite qu’elle n’avait été ouverte, tu n’es pas tombé amoureux d’elle mais oui tu t’attachais à elle d’une façon plus personnel, cependant, tu n’as été qu’un pion sur l’échiquier alors que Warren a toujours été le roi alors que toi tu n’étais que le fou dans l’équation. Ton regard se pose sur Anna, tu la trouves belle, non belle n’est qu’un euphémisme car tu la trouves magnifique et ce depuis le début. Tu écoutes sa question et tu réfléchis l’espace d’un moment “Franchement, y’a des chances oui car ça a toujours été ainsi” Tu as toujours été comme ça pour protéger d’une certaine façon les tiens mais aujourd’hui, tu en as assez, tu en as marre d’être ce genre d’homme qui reste derrière, tu as envie d’être toi, d’être libre d’aimer qui tu veux et surtout d’être un homme meilleur. “Julia est une belle femme et elle le restera mais ça s’arrêtera là… Je ne sais pas tu sais avant cette nuit, on était plus à se faire la gueule et à s’envoyer chier qu’autre chose, on ne pouvait pas se supporter”
Tu laisses ton regard sur la femme présente à tes côtés, tu écoutes pour les films et celà te fait sourire “On pourrait voir des films que je n’ai pas vu ensemble ?” Tu regardes dehors, tu repenses à tout ça puis tu écoutes une nouvelle fois Anna, et cela te fait sourire, elle a l’air si innocente. “Parce que c’est comme ça, sinon elle serait déjà venue me voir. Enfin on ne va pas parler de ça toute la soirée, j’ai plus envie de parler d’elle et de tout ce qui a pu se passer. Y’a bien d’autres choses à penser et à faire” Tu dis cela sans arrière pensée, tu parles surtout pour la préparation de l’enterrement de ton frère, de pouvoir avancer et te retrouver, car oui c’est ce qu’il faut que tu fasses, te retrouver et faire de ta vie celle que tu as toujours voulu. Tu souris alors que tu te rends compte que vous êtes pareils, que vous avez besoin l’un de l’autre, tu viens remettre une mèche de ses cheveux et tu souris venant lui demander si tu avais une tête de clown et sa réponse… elle te fait fondre.
“Et toi, tu me rends heureux, c’est étrange mais c’est comme ça” Tu finis par lui demander comment elle a besoin de toi, tu es curieux de savoir cela, tu as besoin de savoir. Tu l’écoutes et ton regard reste dans le sien, tu lui souris une nouvelle fois, elle a ce don de te faire sourire et d’envoyer tes larmes un peu plus loin, du moins l’espace de ce moment. Tu la remercies encore d’être là, de t’aider comme elle le fait, tu lui en es reconnaissant et même plus encore. Oui, tu n’as aucun doute sur le fait que tu vas avancer et l’entendre dire qu’elle sera là, te fait un bien fou, tu ne comprends pas pourquoi mais ça te fait un bien de fou. Puis voilà qu’elle te dit qu’il serait temps pour toi d’aller te coucher, tu n’es pas vraiment fatigué, tu n’as pas envie, tu sais que tu n’arriveras pas à dormir de suite. Tu regardes autour de toi puis tu regardes la cuisine “Je n’arriverai pas à dormir maintenant, je te propose qu’on aille ranger la cuisine et après on pourrait regarder un film..”
Ton regard reste dans le sien car tu te doutes qu’elle veut surtout que tu te reposes et toi tu vas finir par le faire mais étrangement tu veux qu’elle soit là “On peut mettre le film dans ma chambre.. Enfin j’veux dire j’aimerai que tu sois près de moi ce soir… Mais je peux aussi comprendre que ça ne soit pas possible pour toi… Enfin…. ça ferai un ciné au lit… Enfin…. euh…. et puis si je m’endors, tu seras au courant et là…” Tu bafouilles un peu, tu as peur de ce qu’elle pourrait penser, tu lui souris venant passer une main derrière la tête pour la gratter doucement attendant qu’elle te réponde mais tu ne peux nier que tu as envie de la savoir à tes côtés, tu as envie de l’avoir prêt de toi et d’être dans ses bras…
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Anna Azarov
| Jeu 17 Fév - 23:55 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu es peiné d’apprendre qu’il est du genre à s'effacer pour les autres puisque cela dévoile qu’il n’atteint jamais le bonheur qu’il souhaite. Tes lèvres se plissent signalant ta peine suite à ses paroles << Peut-être est-il temps d’arrêter de laisser les autres être sur le devant, toi aussi tu as le droit au bonheur… ça ne doit pas être évident de voir tout le monde heureux sous ton nez alors que toi, tu es dans ton coin pour qu’ils puissent être heureux >> son coeur est pure, son coeur est doux et généreux, tu l’as toujours su dès l’instant où il t’a offert le gîte et le couvert, mais tu n’avais pas imaginé l’étendu de sa gentillesse << Tes amis ont de la chance de t’avoir dans leurs vies >> dis-tu en le pensant sincèrement tout en souriant avant de revenir sur le sujet Julia. Tu l’entends confirmé qu’elle et une belle femme, tu n’avais aucun doute là-dessus bien au contraire puisque Dag est loin d’être repoussant et ce que tu as eu le droit de découvrir même si cela était bref doit plaire au dame également << Tu ne penses pas que vous étiez chat et chien parce que justement il y a toujours eu ce truc entre vous ? Tu sais comme dans les films où les émissions à la télé, les gens se détestent, mais en fait c’est parce qu’il lutte inconsciemment par l’attirance qu’ils ont l’un envers l’autre… Comme tu es du genre à te mettre à l’écart peut être que c’est l’explication ? >> tu regardes probablement trop la télévision Anna, mais tu n’as rien d’autre à faire de tes journée une fois le ménage fait, le jardin fait, tu tournes un peu en rond et comme tu fais tout cela tous les jours et bien… Il n’y a plus grand chose à faire les jours suivants, de ce fait la télévision est une amie indispensable pour toi.
Tu parles de films et de cette mémoire qui a foutu le camp finalement vous êtes pareil niveau cinématographie alors ce qu’il te propose te plait << ça me va, on fait comme ça ! >> dis-tu en souriant avant d’ajouter qu’il ne peut pas être certain que cette demoiselle est avec ce fameux Warren et tu lui demandes comment il peut en être aussi sur et sa réponse n’est pas tout à fait fausse enfin, tu présumes << Je suis désolé pour toi Dag, tu ne mérites pas d’être le second choix >> une nouvelle fois tu penses ce que tu dis, tu as de la peine pour lui parce qu’il est tellement doux, adorable qu’il ne mérite pas d’être traiter ainsi << Je peux aller la voir et lui refaire le portrait si tu veux, c’est comme ça que vous faites vous les hommes quand on s’en prend à vos amis ou famille non ? >> regard dans le sien, tu hoches la tête << Parlons d’autres choses >>.
Tu lui réponds au sujet de cette tête de clown, tu ne peux pas faire mieux qu’être honnête avec lui alors oui, tu lui avoues aimer son humour et ce qu’il fait de toi, il te répond et tu souris grandement en entendant que tu le rends heureux << Tu dis pas ça quand je passe 45 minutes dans la salle de bain pour le sécher les cheveux >> tu ris doucement, tu ne le sais pas Anna, mais tu n’as jamais autant ris de ta vie… Le rire, c’est nouveau pourtant et c’est pour cela que tu aimes autant rire, ça te fait sentir vivante. A sa nouvelle question, tu lui réponds que tu aimes sa présence… C’est réellement le cas puisque ses 48h00 sans lui ont été réellement longues, toi tu aimes te réveiller le matin et savoir que tu vas le croiser dans la cuisine, tu aimes voir sa tête de mal réveillé… Tu aimes sa taquinerie… Peut être que tes paroles ne sont pas suffisante, mais tu ne peux pas faire mieux pour le moment, il ne le sait pas, tu ne le sais pas, mais c’est la première fois que tu dis ce genre de chose a un homme, c’est la première fois que tu vis ce genre de situation avec un homme puisqu’avant tu n’étais que la putain maltraité d’un enfoiré.
Un nouveau remerciement, de nouvelle parole sincère et voilà que tu lui dis qu’il est temps d’aller se mettre au lit, mais il avoue ne pas être fatigué chose qui ne te surprend pas puisque la nouvelle qu’il a apprit doit encore le retourné après tout même si tout semble normal, rien ne l’est… << Moi, je te propose qu’on laisse la cuisine comme ça j’ai largement le temps de le faire demain >> ça ne te ressemble pas vraiment de remettre les choses au lendemain, mais ce soir il y a bien plus important que la vaisselle, ton ami est en détresse, il est donc ta priorité.
Regard dans le sien, tu l’entends parler de mettre un film dans sa chambre, tu ne saisis pas tout et voilà qu’il éclaircit ta lanterne en disant qu’il souhaite que tu sois avec lui, tu le regardes sa demande te surprend dans un sens et d’un autre ? Pas temps que ça… La solitude amène au question, à la remise en question tu le sais puisqu'à chaque fois que tu es seule, tu cherches à savoir qui tu es, tu te poses des questions, tu te remets en question et ce qui en ressort n’est que frustration, douleur et un sentiment d’être qu’une moins que rien alors tu supposes que la solitude lui fera le même effet surtout après cette soirée… Tu le vois, tu l’entends bafouiller et tu le trouves amusant, craquant, tu souris venant à dire << Si tu ronfles je te pousse au sol >> petit rire, tu penches la tête amusé avant de venir lui prendre la main et de le tirer en dehors de la cuisine, au passage tu éteins la lumière et finalement tu le laisses te guider jusqu'à sa chambre, chambre que tu connais puisque tu as passer ta première nuit dedans le soir de ton arrivée…
Une fois dans la chambre, tu prends place du côté où la table de chevet est vide ce qui signale que la place est vacante, tu lèves la couverture et tu te glisses en-dessous sans malaise, sans gêne étrangement tu ne ressens rien de tout cela, tu le regardes prendre place à son tour, tu fixes la télé << Tu vas mettre quoi ? >> demandes-tu en remontant un peu les jambes afin d’avoir les pieds plats sur le draps et les genoux pliés. Tu le laisses mettre le film, il éteint la lumière, tu le regardes un instant avec attention, ta main glisses sous la couverture et doucement tu viens prendre la sienne la serrant légèrement comme pour lui dire que tu es là, là pour lui et que tu feras tout ce qui peut apaiser ses besoins, son coeur et sa douleur.
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Dagnýr Taygart
| Ven 18 Fév - 17:41 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu le sais, il faut aujourd’hui que tu avances, il faut vraiment que tu arrêtes de regarder derrière toi, tu le sais que le meilleur reste à venir malgré que tu sois dans le noir, que tu sois complètement dans le noir mais grâce à la femme qui se trouve à tes côtés, tu l’écoutes, tu sais qu’elle a raison, tu sais que le conseil qu’elle te donne serait réellement bon pour toi puis tu viens à sourire quand elle dit que tes amis ont de la chance mais toi, tu ne trouves pas, du moins aujourd’hui, tu ne trouves pas car si cela avait été le cas, tu ne serais pas dans cette situation mais ce n’est pas grave, tu n’as plus envie d’y penser pour le moment, tu sais que cela ne servira à rien, tu n’as pas peur de ce qu’il peut se passer, si cela doit être écrit alors que ça le soit. Tu confirmes que Julia est belle, tu le trouves sincèrement, ce n’est pas pour rien qu’elle a été ta muse, qu’elle a été même plus que ça. “Je vais essayer d’avancer…” Tu lui souris et tu laisses ton regard sur elle alors qu’elle reparle de ta relation avec Julia, tu n’as jamais réellement pensé à tout ça, peut-être qu’elle a raison, peut-être non mais là maintenant tu ne penses pas, tu ne sais pas, tu es complètement paumé. “Je ne sais pas….. et puis ce n’est plus important”
Tu finis par changer de sujet pour parler des films et tu lui proposes de regarder des films et rattraper tout ça ensemble, tu es content de voir qu’elle est d’accord puis tu viens lui répondre une nouvelle fois pour Julia et Warren et elle se dit désolé… tu ne comprends pas vraiment pourquoi elle est désolé puis tu te mets légèrement à rire quand elle parle d’aller refaire le portrait de Julia, cela te fait rire “Non ça va aller mais c’est très gentil de ta part, j’apprécie vraiment” Tu lui souris alors qu’elle accepte de changer de sujet. La conversation part sur la tête de clown, tu souris, tu aimes ce qu’elle dégage, tu aimes ce qu’elle fait pour toi, sa façon de bouger son nez quand elle réfléchit, tu sais que cette femme a pris une place dans ta vie même si tu ne peux pas l’expliquer, tu ris à nouveau avec le fait de la salle de bain, personne ne peut comprendre ce qu’il se passe, même toi, tu ne sais pas ce qu’il se passe, tu es là face à cette femme qui t’attire, tu ne peux le nier alors que ton regard se pose sur elle.
Tu finis par lui répondre sur le fait d’aller te coucher, tu n’en as pas envie, tu as plus envie d’être avec elle, tu ressens ce besoin au plus profond de ton être alors tu lui proposes de ranger la cuisine et après d’aller vous poser pour aller regarder un film, tu proposes même de regarder un film dans ta chambre. Tu as d’un coup l’impression d’être un peu con et tu bafouilles un peu, tu finis par te reprendre un peu et tu fronces les yeux quand elle parle de ronfler, tu rigoles doucement, tu sais que cela peut arriver alors tu espères que cela n’arrivera jamais “ça marche alors” Tu souris avant de sentir sa main dans la tienne, ce contact te fait un effet que tu n’arrives pas à comprendre, tu passes une mains sur ton visage et tu la suis avant de passer devant sans la lâcher pour aller directement vers ta chambre. Tu attrapes la télécommande qui était sur la commode sous la télé puis tu te tournes pour la regarder alors qu’elle se trouve dans ton lit.
Celà te fait dans un sens étrange, on pourrait presque croire que vous êtes un couple, que vous êtes ensemble et rien que de le penser te fait sourire légèrement. Tu vas t’allonger à ses côtés, ton corps est non loin d’elle “hummm on regarde si sur Netflix il y a quelque chose de bien, tu as une préférence pour les films? Enfin j’veux dire un film d’action ou autre ?” Tu attends qu’elle te réponde puis tu lances un film dont tu as entendu parler mais que tu n’as jamais vu Gladiator “J’ai entendu parler en bien de ce film, c’est gladiator, il n’est pas récent mais je ne l’ai jamais vu, ça te va ? enfin tu l’as déjà vu ?” Tu finis par lancer le film puis tu éteins la lumière avant de mieux t’installer. Tu la regardes et d’un coup tu sens sa main venir chercher la tienne, tu souris alors qu’elle la serre doucement, ce moment est magique, étrange mais cela te fait tellement de bien. Ton regard sur le film, tu finis par quitter l’espace d’un instant le film du regard pour venir regarder la jolie blonde à tes côtés, tu restes un petit moment à la regarder silencieusement puis tu reviens sur le film alors que tes doigts viennent entrelacer les siens.
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Anna Azarov
| Sam 19 Fév - 0:49 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu n’as aucun doute Anna, tu sais qu’il va réussir à avancer parce que toi, tu vois en lui une force qu’il ne soupçonne même pas avoir. Sa vulnérabilité ne fait que dévoiler la force qu’il a en lui parce que pour toi personne ne peut avoir une touche de vulnérabilité sans être fort, c’est à tes yeux à ton sens une paire, un duo.
Tu lui parles de Julia évidemment tu n’es pas tout à fait neutre dans tes propos parce que Dag, tu l’aimes bien vraiment bien, mais tu lui souhaites que du bonheur alors a tes yeux il serait dommage qu’il passe à côté de quelques choses de vrai, de bien uniquement parce qu’il n’ose pas se battre pour ce qu’il souhaite réellement, il te répond que ce n’est pas important et toi, toi et bien tu n’as plus rien à dire sur le sujet enfin pas de suite puisque tu reprends en t’excusant alors que tu n’as pas lien de le faire après tout, tu n’as rien fait dans l’histoire toi Anna tu es simplement la femme qui l’a attendu pendant des heures… Mais oui, tu t’excuses parce que tu penses sincèrement qu’il ne mérite pas d’être traité de la sorte…
Sourire sur les lèvres, tu le regardes alors qu’il avoue apprécier ta gentillesse puis tu acceptes de changer de sujet après tout, il n’a pas besoin d’un casse tête supplémentaire surtout pas ce soir… La conversation part sur sa tête qui est à tes yeux bien loin d’être une tête de clown cela dit, tu admets volontiers qu’il te fait rire et que tu apprécies cela puis tu parles de la salle de bain et du temps que tu y passes pour sécher tes cheveux chose qui le fait rire, tu n’en doutais pas. Tu viens ensuite l'informer qu’il est temps de se coucher et tel un enfant, il signale ne pas avoir sommeil, tu le comprends cela dit alors tu comprends sa requête si bien que tu proposes de tout laisser ainsi pour rejoindre directement ce lit/cinéma… Tu lui prend la main venant le tirer hors de la pièce avant de le laisser prendre les devants, il te guide à sa chambre et toi une fois dedans tu t’installes sans gêne peut être simplement parce qu’avec Dag, tu es totalement naturelle, tu ne cherches pas à être une autre personne depuis le départ il n’y a aucune gène il faut dire que votre rencontre est unique et que l’intimité que vous avez directement partager par le fait de ta présence dans son domicile a suscité à ce naturel simple, léger.
Tu le regardes prendre place à tes côtés, tu es loin d’imaginer l’image d’un couple, toi tu ne penses pas à cela peut être que tu devrais y penser pourtant ça ne te traverse pas l’esprit, tu te sens simplement bien comme si tu étais enfin à ta place.. Etrange sensation pourtant bel et bien présente. Tu hoches la tête signalant ton accord pour Netflix, puis tu hausse les épaules << Euh… Non pas vraiment pour être franche, j’ai regarder principalement des films comique où à l’eau de rose, mais l’action ça me va >> dis-tu en souriant alors qu’il regarde ce qui se trouve dans le catalogue numérique, il lance un film de gladiator et toi tu n’as pas de souvenir de l’avoir déjà vu << ça me va, je ne crois pas non >> réponds-tu alors qu’il lance le film, il éteint la lumière et tu le regardes avant de remettre ton regard sur l’écran, tu observes sans rien dire la couverture sur toi, tu finis par glisser ta main sous la couette pour chercher celle de Dag doucement tu laisses ta main glisser dans la sienne la serrant légèrement comme pour lui faire comprendre que tu es là pour lui peu importe ce dont il a besoin.
A moitié allongé/assise dans ce lit qui n’est pas le tien, tu te sens bien Anna le parfum de Dag est présent que ce soit sur l’oreiller, la couette où le draps, c’est simplement un plaisir pour tes narines, concentré sur le film tu ne remarques pas le regard de Dag sur ta personne, c’est seulement quand tu sens ses doigts s'entrelacer les tiens que tu tournes doucement la tête pour le regarder << Tout va bien ? >> chuchote-tu pour ne pas déranger… déranger le film ? De toute évidence cela doit être le cas puisque tu chuchotes…
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Dagnýr Taygart
| Dim 20 Fév - 21:07 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu ne sais pas ce que sera demain, tu ne sais pas du tout si tu arriveras réellement à te relever de tout ça et de la perte de ton frère, cependant tu le sais, la femme qui est là avec toi, à toutes les capacités pour te faire grandir et surtout te remonter cette pente qui est raide pour le moment bien trop raide. Ce bain te fait du bien, il te permet de te ressaisir un peu, il te permet de te calmer surtout et puis tu finis par aller rejoindre la femme qui partage ta maison. Tu es là devant elle maintenant et vous parlez de ce qu’il s’est passé, vous parlez de cette femme qui a pris une place importante dans ta vie l’espace d’un moment avant que tout ne se retourne contre toi. Tu as été pris pour le pire des idiots, tu as été pris pour ce que tu n’as jamais été, c’est ça de faire confiance et de se laisser aller sur une pente bien trop risquée. Mais là face à Anna, tu n’as plus envie de parler de cela, tu n’as plus envie de parler de Julia, tu as envie de parler d’autre chose, tu as envie de profiter de ce moment avec Anna et tu lui proposes alors d’aller regarder un film après avoir pris le temps de tout nettoyer.
Cette femme, malgré tout ce qu’il a pu se passer pour elle, elle est forte, c’est une chose que tu as remarqué, c’est une chose qui fait d’elle une femme différente, une femme qui ne cherche pas à faire semblant et tu as pu le remarquer à plusieurs reprises depuis qu’elle est ici, tu es surpris de sa force mais en même temps tu la trouves courageuse de se battre comme elle le fait. Tu finis par la suivre puis tu l’entraines jusqu’à la chambre, tu mets le film puis tu viens t’installer à ses côtés, tu te glisses sous les draps, tu finis par éteindre la lumière puis tu lui demandes si elle a déjà vu le film quand elle te dit non, tu lui souris et tu mets en route celui-ci. Pendant un petit moment, tu regardes le film, sa main dans la tienne, te fait un bien fou puis tu finis par entrelacer tes doigts aux siens alors que tu tournes la tête pour la regarder, tu observes chacun de ses traits, tu observes l’arrête de sa mâchoire, la courbure de son nez, tu apprends chacun de ses traits.
Tu serres un peu sa main puis voilà que tu plantes ton regard dans le sien alors qu’elle te demande si tout va bien “Oui tu vas bien puisque tu es là…” Tu lui souris et tu viens tirer sa main jusqu’à tes lèvres tout en souriant, elle te fait du bien, elle te réconforte, elle te fait te sentir bien, elle te fait te sentir vivant même si ce n’est que l’espace d’un instant, d’un moment. Tu reviens poser ton regard sur le film puis tu reviens sur elle, tu viens remonter ta main jusqu’à son menton que tu caresses du pouce alors que tu l’obliges à te regarder, tu lui souris “Tu es magnifique” Tu souris alors que sans réfléchir, tu viens à te pencher pour venir poser tes lèvres contre les siennes, tu restes un petit moment comme ça tes lèvres contre les siennes puis tu finis par te reculer doucement venant planter tes iris dans les siennes.
Tu en avais envie, tu en ressentais le besoin aussi et tu l’as fait sans réfléchir, tu lui souris alors que tu viens te coller contre elle, ta main reste dans la sienne que tu poses sur sa cuisse et tu regardes à nouveau le flm tout en souriant, tu as l’air d’un idiot, enfin c’est ce que tu dois faire penser surtout quand on voit le sourire qui est affiché sur tes lèvres, c’est étrange mais c’est tellement bon, après avoir versé des torrents de larmes voilà que maintenant, tu as envie de sourire, tu sais que l’orage n’est pas loin mais avec elle, là maintenant, tu te sens beaucoup mieux même si tu sais que la fatigue t’attirera dans ses filets dans quelques temps. Tu tournes la tête pour la regarder une nouvelle fois “Le film te plaît ?” dis-tu doucement alors que tu regardes la scène qui se déroule à la télé. Tu le sais s’il venait à ne pas lui plaire, tu le changerais sans hésitation.
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Anna Azarov
| Dim 20 Fév - 22:37 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
En lui demandant si tout va bien, tu ne lui demandes pas son état mental parce que tu sais parfaitement qu’il ne va pas bien, personne n’irait bien dans ce genre de contexte après tout, il a été utilisé à son sens, rejetté de ses amis, jeté par cette femme et maintenant le destin le fouette une nouvelle fois en lui retirant son frère… Personne ne pourrait aller bien avec ce genre de contexte alors quand tu lui demandes, si tout va bien c’est uniquement pour savoir si actuellement, il a tout ce qu’il lui faut… Parce que toi, tu te ferais un plaisir d’aller lui chercher un café, une couverture supplémentaire peu importe, tu veux être là pour lui.
ça réponse te fait sourire, tu es contente d’entendre que ta présence l’aide à se sentir mieux même si tu sais que cela n’est que pour quelques minutes, heures au moins il sait qu’il n’est pas seul et c’est ce qui tu penses est le plus important en ce moment précis. Il embrasse le haut de ta main et toi, toi tu souris ce n’est pas la première fois qu’il fait ce genre de chose et tu trouves cela adorable et touchant, tu remets ton regard sur le film puisqu’il vient d’en faire autant, tu regardes, tu as un peu de mal avec l’histoire pourquoi ? Tu ne sais pas, mais elle te prend intérieurement… Tu tournes la tête alors que tu sens sa main sur ton menton, tu le regardes, il caresse doucement ton menton, il te sourit, tu lui rends ce sourire et voilà qu’il te complimente, un compliment qui accentue ton sourire, tu sais que si tu es aujourd’hui comme tu es c’est grâce à lui puisqu’à ton arriver tu ne ressemblais pas à la femme que tu es au contraire, il t’a embellit en te payant un soin du corps, un coiffeur et des vêtements propres… Pourtant tu ne vas pas lui dire que tout cela c’est grâce à lui parce que sur le moment tu n’as pas le sentiment qu’il parle de ton image, non tu as l’impression qu’il parle de toi des traits de ton visage… Sourire aux lèvres, tu le regardes et d’un coup il se penche, venant plaquer ses lèvres contre les tiennes. Surprise, étonnée, tu ne bouges pas d’ailleurs ses lèvres non plus ne bouge pas, tu restes planté là comme une idiote le regard écarquillé par la surprise de ce contact… Ce n’est pas un vrai baiser, c’est ce qu’on peut appeler couramment un smack… Il se recule, ton regard rejoint le tien, tu le fixes essayant de comprendre ce qu’il souhaite, mais il te sourit simplement avant de venir se coller à toi, vos mains restent unies tandis qu’il regarde à nouveau le film et toi Anna ? Tu ne sais toujours pas comment interpréter ce qui vient de se passer…
Tu le regardes encore un instant et tu remarques son sourire et tu te demandes, si tu as loupé un épisode puisqu’il y a moins d’une heure trente il rentrait complètement ivre a cause d’une femme, une femme qui n’est pas toi… En pleine réflexion, tu ne regardes plus vraiment le film pourtant ton regard est sur l’écran, mais ses tes pensées qui se bousculent qui te perturbent plus qu’autre chose. Tu le sens bouger et voilà qu’il te parle du film, tu le regardes et tu hoches doucement la tête << Oui, oui, c’est très bien ne t’en fais pas >> dis-tu en souriant doucement remettant ton regard que le film comme pour prendre encore le temps de réfléchir et toi… Toi, la seule explication que tu vois à toute cette histoire, c’est qu’il a besoin d’affection, il a besoin de se sentir aimé… Et c’est compréhensible, ça doit être le bordel dans sa tête, il est seul, il vient de prendre de perdre un membre de sa famille et la femme qui lui plaisait… Alors oui, c’est de l’amour dont il a besoin, il a besoin de contact, de douceur, de câlin et toi ? Toi, Anna tu peux lui offrir tout cela ne serait-ce que pour une soirée afin de l'apaiser, tu peux le consoler…
Tu lâches sa main doucement, tu te redresses et tu tournes la tête pour regarder Dag. Tu clignes des yeux doucement et finalement c’est toi qui te penche vers lui venant coller plaquer tes lèvres sur les siennes alors qu’il n’est pas face à toi, tes lèvres sont plaqué contre le côté gauche des siennes, tu te déplaces venant alors rapidement à califourchon sur lui, tes lèvres glissent sur les siennes de manière à ce qu’elle soit bien en face des siennes… Un smack, rien de plus pour l’instant pourtant doucement tu laisses tes lippes venir caresser les siennes commençant à lui offrir ce qu’on peut appeler un vrai baiser… Enfin, s’il répond positivement.
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Dagnýr Taygart
| Lun 21 Fév - 0:06 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Tu ne peux pas expliquer pourquoi là maintenant tu te sens bien, enfin si tu le sais, ce n’est que parce qu’elle est présente, parce qu’elle est là, parce que sa présence, te fait du bien, te rends heureux, tu le sais parfaitement, rien n’est simple aujourd’hui, tout se mélange dans ta tête, tu as l’impression que plus rien ne va mais là maintenant alors que tu es allongé dans ce lit, tu te sens parfaitement bien, tu te sens relaxé et tu finis par l’observer, par lui prendre le menton que tu caresses doucement de ton pouce puis tu viens poser tes lèvres contre les siennes, tu le fais parce que tu as envie de cela, tu le fais parce que là maintenant c’est tout ce dont tu as envie, tu ne la forces pas, elle est libre de te repousser, elle est libre de te faire descendre de ce lit si elle se sent mal, tu n’es pas du genre à ne pas comprendre qu’on ne veut pas.
Tu reviens sur le film, tu souris, ta langue glisse sur tes lèvres alors que tu es là entrain de repenser à ses lèvres contre les tiennes pourtant ce baiser était un baiser chaste et pourtant ce baiser tu ne peux nier que tu aurais voulu qu’il soit différent mais ça tu ne l’expliques pas. Tu viens te coller à elle, tu viens déposer tes lèvres sur sa main puis tu poses ta main et la sienne sur sa cuisse alors que tu viens regarder le film. Ce film, tu le trouves magnifique, tu trouves qu’il a de magnifiques paysages, cependant tu ne peux nier que là maintenant dans ta tête c’est tellement le bordel que tu as l’impression de ne pas arriver à tout comprendre mais cela va arriver, il va te falloir te concentrer sur ce film et non sur cette femme présente contre toi?
Elle te répond que le film est très bien et tu souris, tu es content de voir que cela lui convient mais elle prend trop de place dans ta tête à ce moment précis et ça tu n’arrives pas à le contrôler, c’est étrange mais toi, tu te poses des questions à laquelle tu n’avais pas songé quand tu la regardais auparavant. Tu souris toujours et d’un coup elle te lâche ta main, tu la regardes faire, tu ne comprends pas, tu tournes la tête pour la regarder, te demandant ce qu’elle est entrain de faire puis ses lèvres se posent non loin des tiennes alors que d’un coup elle vient se mettre sur toi. Ton regard se plante dans le sien, sur le coup tu ne comprends pas, tu es surpris, elle te surprend. Puis voilà que ses lèvres se posent à nouveau contre les tiennes, doucement sans se mouvoir puis doucement ce baiser se transforme.
Tu lui réponds alors que tes mains viennent entourer son visage alors que le baiser devient tout autre, ta langue vient doucement franchir la barrière de ses lèvres pour venir chercher sa jumelle, elles se mettent à danser, elles apprennent à s’apprivoiser doucement puis tes mains glissent dans son dos pour venir se mettre sur ses fesses. Tes iris viennent plonger dans les siennes, tu l’observes pour savoir si ce qu’elle fait, elle le désire vraiment, tu ne veux pas qu’elle se sente obliger de quoi que ce soit, tu ne sais pas cette femme, tu veux vraiment qu’elle le fasse avec plaisir, avec envie. “Tu es sûre Anna ? Ne te force pas à faire une chose que tu veux pas faire” Tu ne la quitte pas du regard, tu caresses doucement ses fesses alors que tu attends une réponse de cette femme dont tu ne peux nier te donne envie.
Ta respiration est plus rapide et tu attends avant de venir prendre ses lèvres dans un baiser beaucoup plus poussé, beaucoup plus passionné, cette attraction est présente, cette attraction est puissante et pourtant même si tu le sentais déjà, tu n’aurais jamais cru que cela puisse avoir lieu. Tes mains caressent doucement son dos venant glisser tes mains sous son haut doucement, tes gestes sont tendres, tu prends le temps pour éviter de la faire fuir.
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Anna Azarov
| Lun 21 Fév - 0:34 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
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Dagnýr Taygart
| Lun 21 Fév - 23:45 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
Être là avec Anna est une chose que tu ne t’attendais pas et pourtant là maintenant, tu te sens bien, tu te sens apaisé, tu te sens parfaitement bien, c’est étrange de se dire cela, c’est étrange de penser à elle comme tu peux le penser là maintenant. Vos baisers sont chastes, vos baisers sont remplis de tendresse et qu’elle vient sur toi, tu l’observes, tu te demandes si elle le fait réellement par envie ou non mais tu l’embrasses, tu fais entrer ta langue pour venir chercher sa jumelle, elles s’entrechoquent, elles se caressent, elles se font du bien, elles apprennent l’une de l’autre, elles valsent toutes les deux pour venir en faire un couple parfait, un couple qui se comprend. Tu finis par planter tes iris dans les siennes et tu lui dis que tu ne veux pas qu’elle se force, tu ne veux pas qu’elle se sente obligé et pourtant, bordel que tu as envie d’elle là maintenant, tu ne le comprends pas et pourtant, là ce n’est pas d’une autre que tu as envie, non c’est de elle que tu as envie.
Tu l’écoutes et tu fronces les yeux parce que tu ne veux pas qu’elle soit Julia, tu veux qu’elle soit elle, tu veux qu’elle le fasse pour elle aussi. “Je ne veux pas que tu sois elle, je veux que tu sois toi” Tes mains glissent sur son corps venant jusqu’à ses fesses puis tu remontes dans son dos alors qu’elle dit qu’elle en a vraiment envie. Tu souris et tu profites de ses caresses sur ton visage avant que tes lèvres viennent se glisser sur les siennes, ce baiser est différent, ce baiser est passionné, tu aimes cette sensation que tu ressens et vos langues dansent cette danse endiablée qu’elles ont appris quelques secondes auparavant. Ton membre commence doucement à durcir sous l’envie et l’effet qu’elle te fait. Ses mains sur ton torse te font vibrer et lorsqu’elle commence à se mouvoir sur toi, tu te sens tellement bien, tu te sens parfaitement bien même.
Ton regard se pose sur elle alors qu’elle se redresse, tu poses ton regard sur ses mains qui glissent sous son haut qu’elle retire te laissant une vue imprenable sur ses deux monts. Tu te redresses pour venir la serrer contre toi, tes lèvres glissent sur les siennes, tes mains viennent dans son dos avant que tes lèvres glissent dans son cou puis sur ses seins, ta langue vient entourer son téton alors que ton autre main caresse doucement son sein avec douceur “Tu es tellement belle… Tu es magnifique Anna… Ne laisse jamais quelqu’un te dire le contraire..” Tu lui souris alors que tes lèvres glissent sur le dessus de ses seins et que tes bras viennent l'entourer. Cette femme a un don, un don que tu ne soupçonnais pas et tu as envie d’en savoir encore plus sur elle, tu as envie de pouvoir regarder devant toi et là ce soir tu le fais avec cette princesse, car oui elle est une princesse.
Tu regardes son corps, tu remarques de petite cicatrices - si je ne me trompe pas - que tu viens toucher du bout des doigts, tu les observes alors que tu te demandes ce qu’il a pu se passer mais tu ne poseras pas de questions du moins pas maintenant parce que là tu veux profiter de ce moment de tendresse, de volupté, de désir, oui tu la désires aussi étrange que cela puisse être car tu ne te disais pas en rentrant que cela puisse arriver, bien trop pris par l'alcool qui embrumait ton cerveau mais aussi cette nouvelle qui a déchiré ton coeur. Tu remontes vers elle et tu viens l’embrasser avec fougue alors que tes mains continuent de malmener ses seins.
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Anna Azarov
| Mer 9 Mar - 0:27 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
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Dagnýr Taygart
| Mer 23 Mar - 17:18 |
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“Les larmes sont l'extrême sourire.”
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