| | Hadès L. Ksénia
 | Ven 14 Jan - 22:43 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Une journée de travail bien chargé, il était le soir quand il décida d’aller un peu marcher dans les rues autour du casino avec ses seuls compagnons que sont le ciel noir, les étoiles, la lune qui était sa seule lumière et le silence. En marchant, il pense à son passé, il pense à son père, à cette promesse qu’il a faite puis il pense à son frère, enfermé à vie à cause de cette femme qu’il déteste tant. Il pense à ses jours d’aujourd’hui et à son avenir avant de réaliser que son passé ne se révélait qu’à lui-même et à personne d’autre dans ce décor. Il pense à cet avenir qu’il n’aura jamais avec une femme, à cette famille qu’il n’aura guère plus, il n’est pas un homme bon à avoir une famille, il suffit de voir dans quel drap il vient se perdre régulièrement. Il continue son chemin venant à sourir à cette vieille dame qu’il croisa, il lève la tête, rêveur en partie, observant les nuages puis il baisse le regard pour regarder droit devant lui alors qu’il allume une cigarette. Le bout rouge de sa clope éblouit son visage venant montrer cette cicatrice sur sa joue, une cicatrice que son père lui avait faite sans aucun remords.
Il finit par pénétrer dans ce petit parc plongé dans l’obscurité, il avance doucement tirant sur sa clope, il entend des bruits, une voix, cet accent qu’il ne connaît que trop bien même s’il n’est pas aussi prononcé que le sien. Il remonte le col de sa veste alors qu’une brise se fait sentir dans son cou, tel un félin, il avance vers le bruit, il cherche du regard avant de voir cette femme, une femme blonde, il l’observe de loin alors qu’elle fait fasse à un homme, il avance vers elle tel un loup prêt à sauter sur sa proie mais il n’est pas là pour faire le moindre mal non il est là pour l’aider, elle peut remercier le fait qu’elle est cet accent qui chante à ses oreilles. Elle est comme une étincelle venue de nulle part, une éclaireuse dans la nuit. “Nривет тебе нужна помощь*?” Il l’observe sans savoir si elle parle le russe malgré le léger accent qu’elle a.
Il tourne la tête vers l’homme puis il regarde à nouveau cette femme, il a une drôle d’impression, il ne sait pas exactement quoi mais elle lui rapelle une femme qu’il a connu quand il était beaucoup plus jeune mais ce ne peut pas être elle, elle doit être aujourd’hui dans d’autres cieux ou encore en Russie. “Je suis désolé du retard мой ангел** je cherchais une place” Il se tourne vers l’homme et le regarde de haut en bas “Vous avez perdu votre chemin ? vous voulez que je vous aide à le retrouver ?” Il s’approche de l’homme et plante son regard dans le sien “Un conseil mon gars casse-toi et rapidement si tu ne veux pas que je te crève là maintenant sous les yeux de la demoiselle” Il a murmuré ses mots puis il se recule pour venir se mettre aux côtés de la femme qui vient de perturber sa soirée. L’homme finit par quitter le parc sous le regard d’Hadès, il ne dit rien et vient observer la femme devant lui.
“Вы в порядке мисс?”*** Il s’écarte pour l’observer un peu mieux puis il sourit alors qu’il vient laisser son regard vagabonder autour d’eux afin de s’assurer qu’aucun danger n’arrive. Il est toujours comme ça, à l’affût du moindre danger comme on lui a appris dans le passé, il finit par revenir vers la femme, son regard se plante dans le sien, cette impression est toujours présente et il n’arrive pas pour le moment à poser un nom dessus.
*bonsoir, vous avez besoin d’aide ?
**mon ange
***Vous allez bien mademoiselle ?
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Anna Azarov
| Dim 16 Jan - 3:39 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Avec tout ce qui tes arrivé depuis que tu as mis les pieds dans cette ville, tu n'as pas eu la chance de la parcourir étant obligée de rester poser afin que ton corps puisse récupérer. Tu es une miraculée non pas seulement parce que tu as survécu à cet accident, mais parce que tu as passé ta vie à survivre, mais ça tu t'en souviens pas du moins pas encore. Aujourd'hui, tu te sens mieux et Dagnyr t'aide comme il peut, il est adorable tu ne pourras jamais le nié, il a le cœur sur la main et il fait tout pour que tu sois bien au début tu as pensée à de la pitié, mais ce n'est pas cela non il est simplement un homme bon et toi ? Les hommes bons tu n'en connais aucun il est le premier, mais ça tu t'en rappelleras quand ta mémoire voudra bien te revenir.
Dans la journée Dag ta fait visiter la ville et ce soir il a dû aller travailler alors tu t'es dit que te promener te ferait du bien… un moment seule dans l'obscurité afin de souffler et peux être retrouvée un peu ce que tu as égaré. Tu marches dans la parc de la ville, tu observes les lieux essayant de forcer ta mémoire bloquée à remonter. Tu te dis que ta venue dans cette ville doit être expliquée, un amant, un ami, une famille… des souvenirs quelque chose à du te conduire ici alors tu cherches dans l'espoir qu'un arbre, une barrière, un banc, quelque chose puisse venir t'aider à ne plus oublier, mais rien ne te vient… c'est le trou noir et dans le fond cela te fait peur. Alors que tu marches les mains dans les poches de ta veste la tête recourber ta ton écharpe, un homme t'arrête et commence à te parler tu ne saisis pas directement, mais quand tu comprends tu le remercier en disant que tu n'es pas intéresser.
Tu souhaites reprendre ton chemin, mais celui-ci insiste… c'est à ce moment-là que tu entends une langue différente, tu te tournes tu regardes l'homme qui arrive et tu viens a lui répondre << * Добрый вечер, я не против... настаивает он >> tu te surprends toi même puisque tu ne t'attendais pas a comprendre et encore moins répondre et pourtant tu viens de le faire… ta mémoire n'est peut être pas totalement foutu finalement. Tu souris doucement a cet homme qui malgré son apparence tu inspires bien plus la confiance que celui qui t'empêche de continuer ton chemin << ce n'est pas grave mon cœur… Je t'attendais >> tu laisses cet inconnu prendre les devants, toi tu recules doucement probablement par instinct après tout tu ne voudrais pas prendre un coup on ne sait jamais.
Tu n'entends pas ce que l'homme venu à ton secours raconte a laure, mais tout ce que tu sais c'est que l'idiot vient à déguerpir. Te voilà soulager, ton sauveur se retourne et tu lui souris doucement << **Я воряде, спасибо, и это благодаря тебе >> sourire aux lèvres tu ajoutes << vous êtes russes ? Pardonnez-moi, mais j'ai peur d'avoir perdu bien des notions >> effectivement que ta dernière phrase tu as eu du mal à t'exprimer et tu ne le sais pas, mais il manque un mot a celle-ci… En même temps Anna, tu as quitté ton pays à l'âge de 6 ans et bien que tu ne t'en souviens pas tu as perdu beaucoup de ta langue natale.
*bonsoir, je veux bien... il insiste.
**Je vais bien merci et c’est grâce à vous
©️crack in time | | | |
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Hadès L. Ksénia
| Dim 16 Jan - 22:47 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Alors que ses pas le guide vers cette frêle voix, il ne s’attendait pas une seconde à tomber sur une magnifique femme, quand son regard se pose sur elle, il a une drôle d’impression de revenir dans un souvenir lointain mais il doit rêver, la femme qu’il voit là ne peut pas être cette femme, le temps faisant son oeuvre sur chaque personne. Sur le coup, il est loin de se douter que la femme face à lui est son premier amour, cet amour enfantin, cet amour qui n’a jamais eu de sens pour les autres mais juste pour lui alors qu’il n’était qu’un jeune enfant mais il se souvient encore de cette marque qu’ils ont eu tous les deux en faisant les idiots comme des enfants à leur âge. Son regard se pose sur la femme venant à lui demander si elle a besoin de d’aide. Quand elle lui répond, il l’observe et fait comme s’ils étaient un couple avant de venir sur l’homme venant à le menacer puis il se retourne pour regarder la femme. Il lui sourit alors qu’elle lui répond qu’elle va bien.
“Je suis Russe oui et je trouve que vous vous débrouillez bien Mademoiselle” Il sourit tout en venant regarder autour d’eux puis il revient sur cette femme tellement troublante. Sa main se tend vers elle “Hadès Kséna” Il se présente à elle ne sachant nullement que cette femme face à lui n’a que de souvenir son prénom. La vie est étrange parfois, mais elle peut aussi se montrer d’une douceur quand elle vous met sur votre chemin le plus pur des cadeaux. Elle se présente donnant son prénom et là il a cette impression d’un retour dans le passé, rien que par son prénom mais ça ne peut-être elle, ça ne peut-être cette petite fille qu’il voulait épouser, cette petite fille qui le faisait redevenir enfant et pas un gamin que son père voulait qu’il grandisse trop vite. Avec elle, il se sentait heureux, avec elle, il était un enfant normal. Elle a été le premier amour de sa vie, celui qui vous donne l’impression que rien n’existe en dehors d’elle.
Mais c’était un amour enfantin, un amour qui dans le coeur d’un enfant est plus puissant que tout, il l’observe “Puis-je vous demander si vous avez une cicatrice sur l’épaule en forme de zigzag ?” Il la regarde avant de se reculer doucement “Извините*, je ne veux pas vous faire peur, vous me rappelez quelqu’un que j’ai connu enfant, enfin aujourd’hui, elle serait beaucoup plus âgée mais elle avait une fille… du même âge que moi. Je vous demande pour cette cicatrice parce que j’ai la même. Et si vous êtes cette personne ce n’est juste parce qu’on s’était lancé un paris” Il se souvient encore de se paris à la con, ils étaient inconscient à cet âge, ils étaient tout simplement dans un monde qui ne leur appartenait qu’à eux. Ensemble, ils refaisaient le monde à leur image, une image en couleur, une image avec des reflets arc-en-ciel.
Sa main passe sur son visage puis il regarde autour d’eux une nouvelle fois puis il tourne la tête pour la regarder. “Vous voulez que je vous raccompagne chez vous afin d’éviter que ce type revienne vous embêter. Sinon on pourrait aller au casino pour boire un verre ? Entre compatriotes, rien ne peut faire de mal ?” Il tend la main vers la femme alors qu’il voit l’homme non loin “Venez avant qu’il ne revienne et que je sois obligé de le tuer” Il lui sourit, il l’a dit sur le ton de la plaisanterie mais il est capable de cela, il est prêt à tuer si l’on vient à l’emmerder mais aussi à emmerder les personnes qui font partie de sa vie et si cette femme est cette petite fille qu’il appelait принцесса**
*pardon
**princesse
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Anna Azarov
| Lun 17 Jan - 21:54 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
En sortant ce soir, tu ne pensais pas qu'on serait venu t'embêter, toi tu voulais simplement te promener avec un espoir d'un flash qui t'aiderait à te souvenir de qui tu es, toi tu espérais simplement te retrouver et au lieu de ça ? Tu t'es simplement retrouvé enquiquiner par un homme, tu détestes la Sensation que tu as ressenti face à cet homme qui te voulait des problèmes, mais un autre est apparu et mine de rien tu as rempli une pièce de puzzle de ton histoire puisque tu viens de lui parler Russe…
Il est vrai que cette pièce ne te rapporte rien puisque parler Russe n'a pas de grand intérêt dans le secteur, mais tu ne peux pas ne pas dire non plus que cette révélation est neutre puisqu'elle raconte tout de même quelque chose sur toi… tu ne savais même pas que tu avais connaissance d'une autre langue que la tienne. Quoi qu’il en soit cet homme vient à t’aider, il fait fuir le mec lourd, tu ne peux t’empêcher d’être curieuse et tu viens à lui demander s’il est Russe sa réponse te fait sourire étrangement ça te fait du bien de savoir que tu n’es pas la seule russe sur le territoire.
Il temps sa main vers toi, tu l’as prend doucement en souriant << Enchanté Hadès, voilà un prénom bien lourd de sens >> dis-tu en soulevant l’origine de ce nom et tu ajoutes << Moi, c’est Anna >>. Tu reprends ta main en le regardant toujours, il est fascinant bien que tu ne le connais pas. Sa question te fait lever un sourcil, tu trouves cela étrange comme question et il doit clairement le comprendre puisqu’il vient à s’excuser et t’expliquer, tu poses ta main sur ton épaule droite et tu n’as pas la moindre idée si une trace de la sorte est présente, mais tu te laisses emballé par l’idée qu’il pourrait être une aide face à ta mémoire << Je ne sais pas du tout, mais ont peut vérifier si vous voulez >> doucement tu ouvres ta doudoune que Dag t’a gentiment acheté, tu pourras dire ce que tu veux ce mec est adorable !
Tu glisses ta veste sur tes épaules alors qu’il te propose de te ramener ou bien même d’aller boire un verre, tu n’es pas contre l’idée après tout Dag n’est pas là ce soir et toi… Tu as bien envie de voir d’autres personnes et pourquoi pas te faire des amies même si tu le sais… Tu dois être discrète, tu n’as pas de papier…
Tu vois l’homme de tout à l’heure non loin et tu soupires apparemment il n’est pas décidé à lâcher le morceau chose qui t'agace particulièrement.. La remarque qu’il utilise te fait sourire parce que tu ne le prends pas au sérieux autrement tu aurais probablement peur de lui, tu remontes ta veste en te disant que vous pourrez regarder cette possibilité de tache au chaud parce que oui, il fait froid << Super, je ne suis pas contre une boisson chaude je suis gelée ! >> dis-tu en marchant à ses côtés demandant ensuite << Vous êtes en ville depuis longtemps ? >> peut être que c’est lui que tu es venu voir… Non… bah non autrement lui te connaîtrait -réfléchis un peu Anna-.
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Hadès L. Ksénia
| Mar 18 Jan - 10:28 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Ce soir, il voulait simplement aller se promener, ce soir, il voulait juste marcher sans arrière pensée quelconque et là il se retrouve face à cette femme, sublime créature, une appel à la tentation par la beauté qu’elle dégage et c’est certainement pour cela que ce type a tenté de la draguer, de l’emmener dans les abyss d’un univers qui n’est peut-être pas destiné à la femme qui se trouve face à lui. Ses iris se glissent dans celle de la femme, il sourit alors qu’il se présente, sa réponse le fait sourire, elle est loin d’imaginer qu’il est comme son prénom que sa venue n’est dû qu’au fait qu’il avait simplement envie de changement mais non il est là pour tuer une femme, une traitre… Quand elle annonce son prénom, son coeur loupe un battement, il l’observe et parle de cette cicatrice qu’ils ont en commun avec cette fille qui était son rayon de soleil dans ce froid.
Hadès regarde autour de lui, avant que son regard parcourt l’épaule de la femme pour y voir cette cicatrice présente, si ce n’est pas elle alors il y a bien trop de coïncidences. Il lui propose d’aller boire un verre avant que l’homme ne revienne pas trop loin pensant certainement qu’il aurait fini par quitter les lieux et cette femme afin de lui laisser le champs libre pour revenir et être bien plus oppressant qu’avant. Ensemble ils marchent, à plusieurs reprises, son regard se pose doucement sur cette femme, il cherche la petite fille qu’il a connu mais elle a grandi, elle est devenue femme, une femme troublante, une femme perturbante, une femme touchante sans qu’il ne puisse dire pourquoi il pense ça d’elle. “Je suis arrivé en ville, il y a quelques semaines, j’ai racheté le casino de la ville et vous ?”
Il l’entraîne jusqu’à son casino, il l’emmène au bar et ils s’installent un peu à l’écart, venant reposer son regard sur Anna, “Vous avez envie de boire quoi ?” Il appelle la serveuse puis il laisse Anna commander sa boisson puis il commande un whisky venant aussi demander de ramener quelques trucs à grignoter. Puis il revient sur cette femme, cette femme d’un passé bien trop présent. “Je suis désolé pour mes questions mais j’ai l’impression que nous nous connaissons, enfin vous ressemblez à une femme que j’ai connu qui avait une petite fille, qui portait le même prénom que vous qui a cette cicatrice car j’ai la même. Vous vous souvenez de comment vous vous êtes fait cette cicatrice ?” Il est curieux, peut-être trop mais il est comme ça, et puis il ne sait pas cette fille est particulière et il est bien loin de se douter de la souffrance qu’elle a subi.
La serveuse ramène les deux boissons, il retire sa veste pour la poser sur le fauteuil, c’est une étrange sensation qu’il a maintenant, c’est une douce mélodie dont les accords viennent le percuter en plein fouet. Elle est un rayon de soleil dans son malheur, une bouffée d’oxygène dans sa vie, une porte ouverte dans cette ville où il pourrait se réfugier comme quand ils étaient enfants. Un espoir de rédemptions sans pour autant lui retirer ce qu’il est et son but. Est-elle cette princesse ? Sa princesse ?
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Anna Azarov
| Dim 23 Jan - 1:59 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Cette tâche, cette cicatrice tu ne sais pas si tu l’as et il ne semble pas que tu l’es puisqu’il ne te dit rien alors que son regard à eu le temps de parcourir ton épaule, mais tu ne tardes pas à remettre ta veste puisqu’il fait frais réellement frais ce soir… Mais le froid, tu ne le crains pas réellement probablement parce que tu es russes, mais en réalité c’est simplement que tu n’as jamais eu le droit au confort d’une chambre chauffer, toi tu n’étais que la servante, la maîtresse, la femme qui dormait dans une pièce fraîche quand le maître des lieux lui autorisait un peu de repos. Tu finis par accepter l’idée d’aller boire un verre et puis l’autre gars est toujours non loin alors tu te sens plus en sécurité avec cet homme qui porte un nom particulier qu’avec l’autre psychopathe !
Tu marches à ses côtés et tu laisses ta curiosité prendre place puisque tu viens lui demander s’il est en ville depuis longtemps, tu l’écoutes et il n’est là que depuis quelques semaines c’est étrange puisque toi tu venais en ville pour quelques choses alors peut être qu’il en et la cause ?- Non, bah non Anna il te reconnaîtrait voyons je te l’ai dit avant - cette petite voix dans ta tête a raison pourtant tu as l’impression de connaître ce type << Je suis de passage enfin c’est compliqué >> dis-tu alors en le regardant tout en continuant à marcher, c’est évident de dire au gens que tu ne gardes aucun souvenir de ton passé, qu’aucun fantôme ne traîne dans le placard.
Une fois au Casino, tu prends place à l’endroit qu’il a soigneusement choisi, tu réfléchis un instant en disant alors << un café, un corsé s’il vous plait >> oui bon d’accord tu aurais pu prendre un verre d’alcool, mais tu ne souhaites pas dépenser la totalité de l’argent que Dag t’a donner étrangement tu as conscience que l’argent ne tombe pas du ciel. Tu passes ta commande auprès de cette serveuse et tu regardes les lieux, c’est joli, c’est sympas bien que ce soit bruyant. Tu poses ton regard sur Hadès et tu l’écoutes, tu entends alors que cette cicatrice est bien présente sur ton épaule, tu poses ta main sur ton épaule << J’ai la cicatrice que vous avez décrite ? >> demandes-tu alors un peu surprise, tu ouvres ta veste venant à la faire tomber et tu tires sur ton haut voulant la voir de tes propres yeux, tu as tellement de marque sur le corps qu’au final tu n’as pas fait attention à celle-ci, tu te tords pour la voir et elle apparaît sous tes yeux, tu l’as regarde un instant et tu soupires venant reposer tes océans sur l’homme que tu ne connais pas réellement << Non aucune idée… En Faite, je me souviens de rien >> tu remontes ton haut sur ton épaule << Je me suis fait renversé et depuis j’ai tout oublié… Je cherche a savoir pourquoi je suis venue dans cette ville >> dis-tu alors en remerciant la serveuse qui arrive avec vos boissons et les grignotages commander par son patron juste avant << Vous ne semblez pas me connaître, je veux dire vous êtes russe, moi aussi, j’ai cette marque, vous aussi, mais apparemment je suis pas venue en ville pour vous autrement vous me reconnaitrez.. Je pense que cette marque est juste une coïncidence non ? >> dis-tu alors en le regardant cherchant toi-même des réponses à tout cela, chercher la lumière pour éclairer ta mémoire.
Tu souffles doucement sur ta tasse de café et tu ajoutes << Je sais simplement que je m’appelle Anna enfin je crois, c’est écrit sur le médaillon que je porte autour du cou >> tout en le regardant tu portes le café a tes lèvres et tu le recules rapidement en grimaçant malgré que tu es souffler tu viens à te brûler la langue << C’est chaud >> dis-tu alors en pinçant tes lèvres face à ta stupidité.
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Hadès L. Ksénia
| Lun 24 Jan - 23:41 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Là face à la femme, il se demande pourquoi tout ça est entrain d’arriver, il se demande ce qu’il lui est arrivé au fond, c’est étrange, il ne comprend pas sur le coup, il se demande s’il n’est pas entrain de rêver, si cette femme n’est pas une simple illusion dans la nuit alors qu’il y a toutes ses choses qui lui rappelle cette petite fille aux cheveux couleurs blés qui courait avec lui dans les champs tout en rigolant comme deux êtres innocents. Il la regarde alors qu’ils marchent tous les deux, il tourne doucement la tête pour la regarder, il ne dit rien même s’il n’a qu’une envie en apprendre plus sur elle, apprendre ce qui a pu lui arriver mais est-ce vraiment cette petite fille qu’il a connu, est-ce vraiment cette femme qui se trouve là maintenant, celle qu’il a connu et pour qui cette confiance qu’il ne donne que très peu lui avait été donné sans rechignier. Installé au casino, il la laisse commander une boisson, il l’observe doucement puis il annonce sa commande avant de regarder à nouveau la femme face à lui.
“Oui vous avez cette cicatrice, la même que la mienne, la même forme” Il lui parle encore et il finit par l’écouter une nouvelle fois, il fronce les yeux alors qu’elle l’informe de ne pas se souvenir, qu’elle n’a aucun souvenir, il fronce les yeux, il ne comprends pas si ce n’est que passagé ou alors bien plus que cela. “Je suis désolé pour vous !” Il la regarde alors que la serveuse amène les boissons et de quoi grignoter, il remercie la serveuse puis il pose son regard sur la femme “Disons que si vous êtes celle que je crois, nous nous sommes connu quand nous étions enfants, nous jouions ensemble, nous étions toujours ensemble puis un jour elle est partie” Il pense à ce qu’elle vient de dire sur la coïncidence, oui cela peut-être ça, cela peut-être une simple coïncidence mais quand elle parle de ce collier, il se penche doucement pour regarder le collier, il l’observe et il se souvient…
Il se souvient de ce jour, c’était peu de temps avant son départ, elle était venue avec ce collier autour du cou, elle était fière, elle était tellement souriante d’avoir reçu ce présent. Elle le sort de ses songes alors qu’elle vient de dire que le café est chaud. “Ne vous brûlez pas” Il sourit puis il attrape sa boisson pour en boire une gorgée, le liquide coule le long de son œsophage alors qu’il pose le verre sur la table. “Ce collier, je le connais, vous êtes la personne que j’ai connu, il y a trop de choses qui le laisse penser. Vous voulez voir la cicatrice que j’ai ? Peut-être que cela vous rappellera quelque chose, un souvenir, même infime” Il se remet dans le fond de son siège, si elle le souhaite, il tentera de l’aider “Mais dites-moi ? Vous avez un endroit pour dormir ? Vous avez un emploi ? Enfin je sais que vous ne vous en souvenez pas mais peut-être dernièrement”
Il attrape son verre pour en boire une nouvelle gorgée “Avez-vous trouvé de l’aide pour tenter de vous aider à trouver les personnes que vous deviez rencontrer ici ? J’ai l’impression qu’il vous est arrivé bien des choses….” Il passe une main sur son visage, il ne sait pas, il ne peut pas savoir et puis est-ce qu’un jour il le saura, si elle ne retrouve pas la mémoire, ça sera compliqué, ça c’est plus que sûr mais si elle est cette fille qu’il a connu, en plus d’être une compatriote, alors il se doit de l’aider à savoir pourquoi elle est ici….
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Anna Azarov
| Dim 30 Jan - 1:37 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Ton corps est parsemé de cicatrices différentes alors tu ne pensais pas avoir la même que lui, pourtant il te confirme que c’est bien le cas et maintenant tu te demandes comment cela peut être possible, le monde serait-il aussi fou ? Aussi petit ? Tu le regardes et tu as envie d’en savoir plus sur cette marque qui semble vous unir sans que tu n’en es le moindre souvenir, tu l’écoutes alors qu’il explique ce que vous étiez quand vous n’étiez haut que comme trois pommes, toi tu lui fais part de ton manque de souvenir et il est bienveillant puisqu’il est désolé, tu lui souris simplement tu n’as rien d’autre à dire ou même à expliquer face à ce qui t’est arrivé… Ce n’est pas comme si, il y avait plusieurs façons de se faire renverser par une voiture..
Tu finis par lui montrer le collier en ajoutant alors << Vous pensez qu’il soit possible que je sois en ville pour vous retrouver ? Est-ce qu’il y aurait eu un moyen quelques comptes que je sois informé de votre arrivée dans cette petite ville ? >> tu pars peut être loin dans ta question, mais bon tu cherches des réponses, tu viens à te brûler la langue et celui-ci te conseil de ne pas te brûler << C’est déjà fait >> dis-tu en reposant la tasse sur la table devant toi alors que le bout de ta langue te picote à cause de la brûlure que tu viens d’imposer à ta langue.
Tu lui montres ton médaillon en lui disant que tu penses être celle qui se nomme “Anna” évidemment tu es loin de te douter que ce n’est qu’une abréviation de ton prénom puisqu’en réalité tu es Annastasia et que lui cela il doit le savoir.
Tu hoches doucement la tête quand il te propose de te montrer sa cicatrice à son tour << Je veux bien s’il vous plaît >> dis-tu alors en t’approchant de lui venant alors juste à ses côtés pour bien voir cette marque qui te fait te poser un tas de question << Comment avons-nous eu cette marque déjà ? Enfin, si on part du principe que je suis celle que vous pensez >> Tu laisses ton regard océan regarder sa peau et cette cicatrice, rien ne te vient a ton grand déssaroi, tu soupires doucement << Pardon, rien ne me vient >> dis-tu alors en le regardant reprendre place au fond de son siège.
Tu penches légèrement la tête quand il te demande de lui dire quelque chose et ses questions suivent sa demande << Oui, oui, l’homme qui m'a renversé m’héberge le temps que j’aille mieux pour le travail… Pas pour le moment >> dis-tu alors en sachant que tu ne dois pas précipiter les choses, mais surtout parce que tu n’as aucun papier… Mais ça tu ne vas pas en parler à un inconnu que tu ne connais pas du moins dont tu ne te souviens pas. << Oui, enfin je compte un peu sur ma mémoire histoire qu’elle revienne… ça m’aiderait… je n’ai aucun souvenir et aucune affaire personnelle >> tu viens sans même t’en rendre compte lui faire comprendre que tu n’as pas de papier, mais bon tu ne confirmera pas ce fait.
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Hadès L. Ksénia
| Mer 9 Fév - 23:45 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Tu es assis là dans ce fauteuil et tu regardes cette femme qui ressemble tellement à cette femme que tu as connu dans le passé avec sa petite fille, elle avait le même prénom, elle porte la même cicatrice que toi, cette cicatrice que tu as aussi, cette cicatrice qui est la même que la tienne. Tu avales une gorgée de ta boisson et tu reviens sur elle alors qu’elle prend la parole “Je ne sais pas du tout, cela fait vraiment des années que nous ne nous sommes pas vu, tu sais à l’époque tu étais un peu comme ma petite ami et nous n’étions que des enfants” Tu souris Hadès parce que tu le sais parfaitement, tu te souviens de cette histoire, tu te souviens de tellement de chose et puis un jour tout est partie en fumée, tout n’a été qu’une illusion dans ton esprit et tu as continué de vivre ta vie sans te dire que quoi qu’il arrive, un jour vous vous reverrez et vous rigolerez de ce passé en commun mais là tu es seul à te souvenir.
Tu lui souris une nouvelle fois alors qu’elle dit qu’elle vient de se brûler. Tu regardes le médaillon et pour toi, c’est comme une évidence, elle est cette femme, tu en as la certitude, tu lui proposes de regarder ta cicatrice, tu te redresses et sans aucune gêne, tu retires les premier boutons de ta chemise et tu te tournes pour qu’elle regarde la cicatrice que vous avez en commun. “On avait fait un pari, un truc à la con, un pari qu’on ne fait que quand on est enfant et surtout inconscient. J’ai lancé le pari et tu me l’as retourné, je n’ai pas pu te dire non. On est monté sur un vieux camion pour atteindre une fenêtre ouverte d’un bâtiment abandonné quand on est passé par la fenètre, on n’a pas fait attention, il y avait une barre de fer et on s’est blessé au même endroit mais c’était pas vraiment la même marque, on a rit et j’ai fait en sorte d’avoir la même que toi”
Tu rigoles légèrement en te souvenant de cela puis tu viens lui poser des questions, si elle a un endroit pour dormir etc… tu le sais Hadès, tu ne la laisseras pas dehors si tel est le cas. Car pour toi elle est ta Anna, ta princesse, quand tu apprends qu’elle vit chez l’homme qui l’a renversé, tu fronces les yeux, tu trouves cela étrange “Il te traite bien au moins ? Enfin il ne te fait pas faire des choses que tu ne désires pas” Tu sais parfaitement de quoi tu parles Hadès, car ton organisation traite ce genre de chose avec la prostitution, la traite des femmes même si pour le deuxième, depuis que tu as pris la tête de la Bratva ici aux USA. Puis tu réfléchis, peut-être que tu pourrais lui proposer un emploi. “Si tu recherches un emploi, on pourrait trouver un truc ici en attendant que tu trouves mieux”
Tu l’observes et cela dans un sens te fais mal de la voir si mal, elle est pour toi important - s’il s'avère qu’elle est bien ta Anna - et elle le sera toujours. Elle vient de te dire qu’elle n’a pas d'affaires à elle, tu supposes donc là qu’elle n’a pas de papier et ça ce n’est pas bon. “Des affaires ça se rachètent Anna même ce qu’on ne pense pas pouvoir récupérer ou alors il y a le mariage blanc mais je pense que tu n’es pas encre à ce stade.” tu bois une nouvelle gorgée de ton verre puis tu le poses pour venir refermer les boutons de ta chemise “Si tu n’as réellement plus de papiers Anna, je suis en mesure de t’en fournir” Tu laisses ton regard sur elle, tu lui fais confiance et ce n’est pas dans son intérêt de divulguer ce que tu peux faire.
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Anna Azarov
| Jeu 10 Fév - 22:54 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Se souvenir de rien, c’est compliqué, ce n’est réellement pas facile puisque tu ne sais pas sur quel pied danser d’ailleurs c’est ce qui se passe actuellement, tu es en face de cet homme qui m'a fait découvrir que tu avais des notions de russe que tu ignorais, d’ailleurs comment peut-on oublier cela ? Tu as un tas de questions en tête Anna et à cause de cela tu te retrouves un peu perdu comme si tu étais un poisson dans un océan dépeuplé…
Tu lui demandes s’il serait toutefois possible que tu sois en ville pour lui, peu importe la manière, peu importe le comment tu cherches à comprendre cette coïncidence incroyable, mais il ne sait pas lui-même puisque votre histoire date d’un temps dont tu n’as pas de souvenir et qui ne mène à rien quand on est adulte une fois le contact perdu. Tu souris en entendant que tu étais comme sa petite amie << ah oui ? Dans ce cas, je suis certaine que je vais me souvenir de toi rapidement ! On oublie pas son premier amour n’est-ce pas ? >> Évidemment tu plaisantes tu te doutes qu’à 6 ans on n’est pas amoureux, quoi que ? Après tout… Il se pourrait bien qu’il soit le premier homme à l'avoir fait ressentir quelque chose.
Maladroite, tu te brûles et tu lui fais savoir, il sourit et il observe ton médaillon qui semble connaître d’après ses dires, puis voilà que vous parlez de la cicatrice, tu le laisses observer la tienne, tu regardes la sienne et tout s’emmêle dans ta tête parce que ça fait beaucoup, si bien que tu sens un mal de tête arriver en fond… Tu cogites trop Anna, tu cherches à accéder à tes parties de ta mémoire qui ne sont pas encore prête et cela te procure des maux de tête ingérables. Il t’explique cette histoire qui relit vos cicatrices, tu le vois, tu l’entends il est certain que tu es cette enfant qu’il a connue autrefois, tu souris en l’entendant parler de cette histoire, elle ne te rappelle rien, mais tu aimes a croire que tu es cette petite << tu as fait en sorte ? C’est beau… >> dis-tu alors en souriant tout en le regardant droit dans les yeux.
Aussi gentil soit-il, il vient à te demander ta situation et toi tu lui en fais part alors quand il te pose cette question qui est légitime bien assez étrange puisque pour toi lui aussi est un inconnu tu lui réponds << il est très gentil vraiment, il ne me force à rien au contraire il est compréhensible, il m’aide beaucoup, je suis tombé sur un mec bien vraiment >> déjà il aurait pu te laisser mourir sur la route ! Il te parle maintenant d’emploi et tu souris appréciant l’idée et la proposition << carrément, bon pour le moment je ne cherche rien le médecin dit que je dois me reposer, mais une fois rétabli je pourrais venir voir ce que tu as sous le coude pour moi… Actuellement, j’ignore en quoi je suis douée… Enfin à part… Le ménage >> parce que oui c’est ce que tu fais du ménage… Tu paies Dag ainsi. Sans t’en rendre compte tu parles d’affaires et tu soulignes dans un sens que le fait est que tu n’as pas de papier et malin comme il est Hadès comprend directement. Tu le fixes attentivement sans rien dire, réfléchissant, cherchant si un piège se cache dans sa proposition après tout, il est normal que tu te méfies de lui… Tu ne le connais pas, ton regard se plisse légèrement sans même que tu t’en aperçois laissant ainsi la vision à celui-ci de lire ta méfiance, tu te redresses un peu et tu réponds << Dag m’a acheter des affaires, je ne sais pas ce que j’aurais fait sans lui >> tu souffles sur la tasse que tu viens de prendre et tu ajoutes << j’ai des papiers, ce n’est pas le problème >> tu te trahit par ton comportement, mais ton manque d’assurance est dû à ta perte de mémoire parce qu’autrement Anna, tu es une femme infaible qui ne laisse aucune émotion apparaître si elle le désire.
Évidemment tu t’es grillée toute seule pour les papiers puisque tu ne connais pas ton prénom… Si tu avais des papiers, tu aurais connaissance de ton identité et puis tu as souligné que le fait est de ne pas avoir d'affaires personnelles… Tu regardes ta tasse venant boire une gorgée de liquide qui est bien moins chaud et tu ajoutes en levant le regard sur lui << tu es qui au juste ? >> Oui, il a frappé ta curiosité et cette histoire de papier t'intéresse, tu ne peux pas dire l’inverse maintenant il te reste à comprendre qui il est réellement pour avoir accès à ce genre de service.
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Hadès L. Ksénia
| Dim 13 Fév - 22:57 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Tu le sais rien n’est simple surtout quand on ne se souvient pas de tout ce qu’il y avait dans ta vie, tu ne sais pas ce que cela fait, tu ne sais pas du tout ce que signifie tout perdre en un claquement de doigts mais tu ne peux qu’essayer de comprendre alors tu lui racontes ce passé que vous avez en commun, du moins s’il s’avère qu’elle est cette personne qui fut dans son coeur dans le passé. Tu te remémores en même temps ce qu’elle a été pour toi, la façon dont elle avait de te faire rire, de te sourire aussi, étrangement tu as une bonne mémoire, une très bonne même. “Il paraît oui mais ça ne date pas d’hier alors si c’est oublié, ce n’est pas vraiment grave, j’avoue que je ne me souviens pas de toutes les bêtises qu’on a pu faire et je sais qu’il y en a eu beaucoup” Tu rigoles doucement car tu sais que tout n’est pas une évidence.
Tu la laisses regarder ta cicatrice, tu lui souris alors qu’elle regarde et tu lui racontes l’histoire de la cicatrice et tout ce qui a pu en découdre, ça t’as fait rire tout ça et tu avoues que ça te fait toujours rire, c’était con de faire la même chose mais vous étiez innocent, vous aviez tout pour vous, le monde était pour vous un vaste terrain de jeu. “C’était nous contre le monde entier à cette époque… Cela peut paraître beau mais c’était aussi con dans un sens” Tu te mets à rire doucement car tu n’a pas tort dans un sens et tu aimes lui faire savoir et puis c’est du passé, aujourd’hui, elle a sa vie, une vie qu’elle ne se souvient pas mais elle a une vie. Tu es aussi content de savoir qu’elle a un toit sur la tête même si tu te demandes si l’homme n’a pas une idée derrière la tête, enfin tu veux dire que tu espères qu’il ne se sert pas d’elle.
Étrange quand on sait qui tu es et surtout ce que la Bratva fait avec certaines femmes mais Anna, c’est Anna, vaut mieux pas que tu saches que quelqu’un lui a fait du mal, tu te connais, tu ne pourras pas rester sans rien faire. Tu le sais, si elle est cette femme, tu te devras de la protéger malgré l’homme que tu es. Tu souris alors qu’elle te dit qu’il est gentil et qu’il ne la force à rien, cela te soulage dans un sens mais tu restes à l'affût de tout car tu sais que tout peut vite tourner. Puis tu lui proposes un emploie si elle le souhaite, tu es en capacité de le faire alors pourquoi ne pas le faire. "Écoute une fois que tu te seras reposée, reviens me voir et puis on trouvera quelque chose de bien et pas en tant que femme de ménage hein.. Y’a mieux quand même” Tu lui souris et tu continues de parler, tu es direct dans tes propos, tu connais les possibilités qu’il peut avoir en cas de perte de papiers.
Tu la vois froncer son nez et ses yeux, tu trouves ça craquant, tu ne peux pas le nier puis tu l’écoutes et tu viens passer une main sur ton menton, elle essaie de se justifier mais tu le vois, elle ment mais tu ne peux pas lui en vouloir simplement parce qu’il est normal dans un sens de vouloir cacher ce genre de choses quand on ne connaît pas la personne. Tu la regardes et tu bois une gorgée de ton verre avant qu’elle ne te demande qui tu es, tu restes un moment silencieux, tu hésites mais tu as confiance en elle, étrangement elle est l’une des rares femmes en qui tu as confiance, cependant, ce n’est pas ici que tu pourras lui avouer, comme on dit les murs ont des oreilles. “Tu es sur de vouloir savoir ?” Tu lui souris avant de te lever “Suis-moi, trop d’oreilles ici, tu peux prendre ta tasse sinon on revient après ne t’en fais pas” Tu lui tends la main attendant qu’elle te suive pour parler plus librement.
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Anna Azarov
| Lun 14 Fév - 1:07 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Tu t’estimes chanceuse Anna puisque tu rencontres que des bonnes personnes puisqu’entre Dag et Hadès tu es véritablement gâté, mais tu as l’impression de ne pas avoir l’habitude à toute cette générosité, cette gentillesse pourtant tu apprécies réellement… Tu souris et tu viens à lui répondre << Tu sais moi je peux faire du ménage j’aime le ménage >> dis-tu en souriant en le regardant, tu lui es reconnaissante pour ce qu’il fait parce que non seulement il te parle de ton passé enfin celui qui est censé être le tien puisque toi tu n’as pas la preuve que c’est le cas, mais tu as envie de le croire oui, tu as envie de croire que tout cela est vrai… Mine de rien ça te donne envie d’en apprendre plus… ça te donne l’espoir de croire que tout peut revenir aussi fou que cela puisse être.
Rapidement, il parle de tes papiers et de ce qu’il pourrait faire pour t’aider, mais subitement la méfiance reprend sa place puisque tu le regardes un peu plus froidement, ton nez se fronce, tu tentes de te dépatouiller avec cette histoire de papier, tu mens, mais tu es eu piètre menteuse enfin sur le moment puisque d’ordinaire Anna tu es une experte dans ce domaine, dans celui-ci et dans le pickpocket !
Tu finis par lui demander son identité parce que tu ne comprends pas, parce que tu sais qu’un homme normal n’a pas les moyens de faire de faux papiers… Parce que… Parce qu’il t’a intriguée, il t’a poussé à comprendre une chose que tu ne comprends pas ses compliquée à expliquer, trop compliquer si bien que tu ne sais pas ce que tu es censé faire maintenant… Tu pourrais simplement partir, prendre la fuite, mais quelque chose te dit de rester ici et de l’écouter… Comme si le destin voulait te pousser vers lui… Puis tu te dis qu’il serait absurde de ne pas suivre ton instinct puisqu’après tout combien de chance tu avais de retrouver une personne de ton enfance ?
Coup de pute ou non, la vie te pousse vers lui alors tu restes assise et tu le regarde, tu attends qu’il te répondre et sa question te fait plisser les yeux << Si je demande c’est que je veux savoir >> dis-tu en le regardant toujours, il se lève ton regard suis sa silhouette et il te demande de le suivre. Tu hésites, tu ne le connais pas, tu ne sais pas ce qu’il pourrait te faire après tout il est fort, tu le vois à sa posture, à sa carrure il pourrait te briser en deux en un rien de temps, mais pourquoi ferait-il cela ? Il aurait pu te faire du mal depuis longtemps si cela était ce qu’il souhaitait faire…
Alors doucement tu mets ta main dans la sienne et tu décides de laisser la tasse de café, tu suis le pas regardant, observant les gens autour de toi, tu t’approches de lui pour que personne n’entendent et tu viens à lui dire << Ou est-ce que tu m'emmènes ? Je te préviens j’ai la voix qui porte ! >> manière de dire que tu peux crier à tout moment si toutefois il a des idées obscènes derrière la tête.
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Hadès L. Ksénia
| Jeu 24 Fév - 21:37 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Si la femme face à toi est réellement Anna, tu sais que tu ne pourras pas faire comme si elle n’existait pas, tu ne pourrais pas faire en sorte qu’elle n’est pas revenue dans ta vie car pour toi cette femme est aussi importante que ta soeur, elle l’a toujours été même si au fond votre relation n’avais rien de fraternelle même si vous n’étiez que des enfants. Tu lui proposes de lui offrir un travail et une fois de plus pour toi, ce n’est pas concevable qu’elle ait un simple job de femme de ménage, pour toi, elle mérite bien mieux, elle a besoin d’un job qui la fasse évoluer, un job qui lui permette d’évoluer et surtout de trouver ce qui lui convient le mieux, tu souris alors qu’elle te dit qu’elle aime le ménage, cela te fait même doucement rire mais ce n’est en rien pour te moquer non c’est surtout parce que tu trouves cela mignon.
“Tu mérites mieux qu’un job de femme de ménage” Tu ne sais pas encore ce qui pourrait lui convenir mais tu es sûr qu’elle aura un poste plus important. Tu fais rapidement la liaison avec le fait qu’elle n’a pas de papier, tu sais très bien qu’il n’y a pas beaucoup de scénario pour ça, soit elle trouve quelqu’un pour se marier, soit elle a pour le moment des faux papiers et toi tu es en mesure de les lui donner, enfin fournir. Cependant, tu ne peux pas tout lui dévoiler pas ici et tu ne lui diras pas pour le moment que tu es le parrain de la Bratva pour la protéger et puis si à la fin il s’avère qu’elle n’est pas cette fille que tu as aimé.. même si pour toi, elle l’est, que c’est une évidence.
Tu finis par lui demander si elle est sûre de vouloir savoir, tu lui diras une partie mais pas tout, pas tout de suite. Tu finis par te lever et tu lui fais signe de te suivre, tu préfères que vous soyez seuls, on ne sait jamais ici avec les personnes qui se pavanent autour de vous. “Ne t’en fais pas, on va juste dans mon bureau, ça sera plus simple pour parler et je pourrais passer un coup de fil pour tes papiers, ici disons qu’il y a des oreilles parfois un peu trop indiscrêtes encore plus quand une jolie femme se trouve dans la pièce.” Tu lui souris car oui tu viens de lui faire un compliment dans un sens, tu souris et tu la regardes avant d’ouvrir la porte pour la laisser entrer puis tu prends soin de la fermer sans fermer à clés.
Tu avances et tu te retournes pour la regarder “Alors pour être franc Anna, j’ai on va dire certains contacts qui me permettent de pouvoir aider ceux que je juge bien… Enfin si je peux dire ça comme ça… il y a des choses que je ne peux pas te dire pour le moment Anna mais disons que je fais partie d’une organisation qui peut faire beaucoup de choses mais tu n’as rien à craindre de moi, je ne te veux pas de mal alors laisses-moi faire ça pour toi Anna” Tu lui souris et tu attends son feu vert, tu te doutes qu’elle retrouvera ses papiers mais là en cas de soucis, ça lui permettra d’avoir ce qu’il faut pour être tranquille un petit moment.
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Anna Azarov
| Sam 19 Mar - 1:03 |
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Peu importe à quel point vous luttez... Vous tombez. Et c'est terrifiant... Si ce n'est qu'il y un bon coté à cette chute libre, c'est une chance que vous donnez à vos amis de vous rattraper !
Cette ville a peut-être plus à t'offrir que ce que tu pensais puisque toi, tu te disais que ton arrivée dans le coin était un pur hasard, mais maintenant tu te laisses croire que tu es ici parce que Hadès est là… Tu sais bien que ça n’a pas de sens puisqu’il t’a bien préciser que le contact à été rompu entre vous, mais une part de toi trouve plus rassurant l’idée que tu sois là pour lui… Disons que ça te laisse croire à quelque chose puisque tu ne te souviens de rien il est toujours plus agréable de croire en quelque chose et là, maintenant tu crois à cette théorie improbable et certainement fausse, mais ce n’est pas grave.
Tête légèrement penchée, tu l’entends te dire que tu mérites mieux alors toi, tu hausses les épaules << Tu vois je n’en suis pas si sûre que toi… je veux dire je me souviens de rien, je ne connais pas mes compétences et de ce fait je ne suis pas certaine que je peux prétendre à un poste meilleure >> puis étrangement femme de ménage te semble être un poste correcte et dans le fond c’est ce que tu es chez Dag. Plus intelligent que sa belle gueule pourrait le laisser croire, il comprend rapidement que tu n’as pas de papier en même temps Anna… Tu n’as pas été très discrète dans ta manière de t’adresser à lui, tu le sais à l’avenir il te faudra être plus méfiante, plus discrète et secrète, mais heureusement pour toi il ne semble pas te vouloir du mal.
Une conversation amène à une autre puis tu viens à lui dire que tu es certaine de vouloir savoir et voilà qu’il te conduit tu ne sais où d’ailleurs tu lui demandes et tu lui fais part de ton talent vocal si toutefois il souhaite te faire du mal ou profiter de toi, c’est stupide, mais bon tu te méfies après tout, tu ne le connais pas plus que cela même si lui semble certain de te connaître. Il t’informe que vous allez simplement dans son bureau afin de parler et téléphoner, tu le regardes tu avoues avoir du mal à tout comprendre, mais tu entends sont compliment et toi ? Toi tu lui réponds << Une jolie femme hein… Je ne pense pas que tout le monde soit de ton avis >> tu en es sûr même… Dag ne te regarde pas comme une jolie femme… Du moins c’est ce que tu penses à cet instant précis. Tu entres dans le bureau et tu le regardes fermé la porte, tu es cependant rassuré de ne pas le voir fermé à clef.
Tu le laisses avancer et d’un coup, il te parle de franchise et s’élance dans une explication, tu l’écoutes et tu soulèves un fait << Je dois comprendre que tu me juges bien ? >> ses fou, mais il ne te connaît pas non plus quand on y pense puisqu’il dit t’avoir perdu de vue depuis des années alors pourquoi, pourquoi t’aider ? Tu ne comprends pas tout puisqu’il reste mystérieux sur des points et finalement tu penses que c’est le mieux parce que ton instinct te dit qu’il n’est pas très blanc << Franchement ? Je ne veux pas savoir dans quoi tu trempes >> dis-tu doucement en te raclant la gorge, non tu ne veux pas de problème, de type qui te tombe dessus ou je ne sais quoi, toi… Toi; tu veux juste retrouver la mémoire << Je n’ai pas d’argent, j’ai rien a te donner en échange et puis.. Pourquoi tu ferais ça pour moi ? On se connait pas quand on y pense… Tu ne sais pas ce que je suis devenue avec les années >> bon toi non plus, mais quand même.
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